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Jean Boulanger a été envoyé au Congo en 1958, année de l'Exposition Internationale en Belgique, afin de tourner une série de films sur les équipements industriels modernes du Congo et la place des Congolais dans l'économie du pays. Ce film, tourné à l'initiative du groupe «Formation Professionnelle», appartient à la série de ceux qui présentent ce type d'enseignement comme le meilleur gage de l'intégration économique des Congolais dans le monde du travail.Traitant uniquement de la formation dispensée par la Compagnie du chemin de fer du Bas-Congo (B.C.K.), le documentaire illustre l'utilisation massive de Congolais dans la société qui existe depuis 1916. Le commentaire insiste sur la pérennisation de cette politique qui emploie la main d’œuvre autochtone depuis sa création, notamment des mécaniciens. Cinquante ans plus tard, quelques 15 000 Congolais y travaillent dans les divers métiers que requiert l'aménagement du chemin de fer (artisans en construction métallique, électrique et du bois). Il met aussi en évidence qu'afin de réaliser le rêve des Congolais de conduire des trains, la B.C.K. a «cru de son devoir et de son intérêt de guider le jeune Noir dans cette voie». Pour ce faire, elle a mis en place un long cycle de formation à l'issue duquel les meilleurs éléments renforceront les membres déjà en place. Le documentaire met alors longuement en scène des Congolais intervenant à divers stades au sein du processus de fabrication du train et des voies de chemin de fer. Ces derniers sont montrés comme consciencieux et heureux du travail qu'ils accomplissent
Colonie --- Cinéma --- Sources --- Chemin de fer --- Enseignement --- Formation --- Travail --- Congo belge --- Katanga
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