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Dentistry --- Dentisterie --- Aged --- Oral Medicine --- Aged.
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The topic concerns the using of the painkillers for the elderly, especially in osteoarthritis. This topic deals with the problem of the increasing number of seniors in the future. This phenomenon can be explained by the increase in life expectancy in our country and in ail developed countries.
These people, because of the aging of the body, suffer from many pains. A study conducted in France (Paquid's study), has revealed that the most common site was the limb joints (the prevalence of pain was 44.5%) especially osteoarthritis.
Pain is a response to actual or potential tissue damage, it can be acute or chronic. It may also be of three types: nociceptive, neuropathic, psychogenic. Arthritic pain is a nociceptive pain, only this one will be discussed. Its mechanism is quite complex, it is the result of stimulation of nerve endings that transmit a signal to the brain. There are three steps: transduction (transformation into a nerve impulse), transmission (it travels ail the sensory nerves, passes the posterior horn of the spinal cord to the cerebral cortex) and perception (impulses are decoded by the thalamus which transforms these into an understandable information by the brain).
This perception of pain is modified by age, notably through an amendment to the peripheral nociceptive system. These changes explain the later reaction to painful stimuli and the difficulty that an aider person to describe a sharp pain.
Moreover, the elderly express their pain differently. The care of elderly is requesting special adaptations, such as the use of different scales depending on whether the patient is communicating (visual analogue scale, pain questionnaire of San Antonio, ... ) or not (DOLOPLUS, scale of pain behaviour elderly). A specific scale for osteoarthritis (Womac) also exists.
Now consider the osteoarthritis, it is a noninflammatory degenerative joint disorder in the cartilage, characterized by a loss of flexibility of joints, swelling and pain for normal activities. At the joint, there is a destruction of articular cartilage, osteophyte formation, synovial effusion of a decrease in hyaluronic acid (the synovial fluid becomes more fluid and its lubricating and protective properties are strongly reduced).
Before considering the treatment of osteoarthritis pains, we must take into account pharmacokinetic and pharmacodynamic changes related to age. At pharmacokinetics; drugs absorption is very slightly modified, the distribution is changed via an increase in fat mass, a decrease in body water and a decrease in the amount of albumin in the elderly. The metabolism and elimination are the most affected in view of changes in liver function (decrease in blood flow and decreased liver enzyme activity) and kidney (decrease in glomerular filtration and decrease in tubular secretion). Ali these changes will lead to an increase in side effects of drugs treatments in the elderly.
As far as the treatment of pain in osteoarthritis is concerned analgesics are proposed first following three levels of WHO. For the first stage, paracetamol is preferred to anti- inflammatory because they cause fewer side effects. ln stage 2, dextromethorphan is not used for this indication and tramadol is preferred to codeine. ln stage 3, the patches of fentanyl are still used.
ln terms of local treatments, injections of hyaluronic acid and corticosteroids are proposed. New treatments are also emerging such as chondroprotective glucosamine and chondroitin, as well as collagen treatments.
Observations of practice go ahead and confirm this theory and emphasize the role of the pharmacist in treating pain in osteoarthritis. Indeed, it will avoid self-medication among these seniors, will emphasize the importance of the fixed pattern of analgesic treatment, will monitor the possible occurrence of side effects. A follow-up is therefore important in this disease and especially in the elderly Le sujet abordé concerne les antidouleurs chez la personne âgée, en particulier dans l'arthrose. De nos jours, ce sujet est d'actualité au vu de l'augmentation du nombre de personne âgée actuellement et dans l'avenir. Ce phénomène s'explique notamment par l'augmentation de l'espérance de vie dans notre pays et dans tous les pays développés.
Ces personnes, vu le vieillissement de l'organisme, sont amenées à souffrir de nombreuses douleurs. Une étude menée en France (l'étude Paquid), a révélée que la localisation la plus fréquente était les articulations des membres (la prévalence des douleurs était de 44,5%), plus particulièrement l'arthrose.
La douleur est une réponse à une atteinte tissulaire réelle ou potentielle, elle peut être aigüe ou chronique. Elle peut également être de trois types: nociceptive, neuropathique, psychogène. La douleur arthrosique étant une douleur nociceptive, seule celle-ci sera abordée. Son mécanisme est assez complexe, elle est le résultat de la stimulation des terminaisons nerveuses qui transmettent un signal au cerveau. Il y a trois étapes: la transduction (transformation en un influx nerveux), la transmission (le signal parcourt les nerfs sensitifs, passe la corne postérieure de la moelle épinière jusqu'au cortex cérébral) et la perception (les influx sont décodés par le thalamus qui les transforme en une information compréhensible par le cerveau).
Cette perception de la douleur est modifiée par l'âge via notamment une modification du système nociceptif périphérique. Ces modifications expliquent la réaction plus tardive aux stimuli douloureux et la difficulté qu'a une personne âgée de décrire une douleur aigüe.
De plus, les personnes âgées expriment différemment leurs douleurs. La prise en charge des sujets âgés demande donc des adaptations particulières, comme l'utilisation de différentes échelles suivant que le patient soit communiquant (échelle visuelle analogique, questionnaire douleur de Saint Antoine, ... ) ou non (DOLOPLUS, échelle de comportement douloureux de la personne âgée). Une échelle spécifique à l'arthrose (Womac) existe également.
Considérons maintenant l'arthrose, c'est un trouble articulaire non inflammatoire dégénératif au niveau du cartilage, caractérisé par une perte de souplesse des articulations, des gonflements et douleurs pour des activités normales. Au niveau de l'articulation, on observe une destruction du cartilage articulaire, la formation d'ostéophytes, l'épanchement de synovie, une diminution de l'acide hyaluronique (le liquide synovial devient alors plus fluide et ses propriétés lubrifiantes et protectrices sont fortement diminuées).
Avant de considérer le traitement de ces douleurs arthrosiques, il faudra tenir compte des modifications pharmacocinétiques et pharmacodynamiques liées à l'âge. Au niveau pharmacocinétique, l'absorption du médicament est très légèrement modifiée, la distribution est modifiée via une augmentation de la masse adipeuse, une diminution de l'eau corporelle totale et une diminution de la quantité d'albumine chez la personne âgée. Le métabolisme et l'élimination sont les plus touchés au vu des modifications des fonctions du foie (diminution du débit sanguin hépatique et diminution de l'activité enzymatique) et du rein (diminution de la filtration glomérulaire et diminution de la sécrétion tubulaire). Toutes ces modifications peuvent entraîner une augmentation des effets indésirables des traitements médicamenteux de la personne âgée.
Concernant le traitement des douleurs dans l'arthrose, les antalgiques sont proposés suivant les 3 paliers de l'OMS. Au niveau du palier l, le paracétamol est préféré aux anti-inflammatoires car ils occasionnent moins d'effets secondaires. Au palier 2, le dextromethorphan n'est pas utilisé pour cette indication et le tramadol sera préféré à la codéine. Dans le palier 3, les patchs de fentanyl sont utilisés.
Au niveau des traitements locaux, des injections d'acide hyaluronique et de corticoïdes sont proposées. De nouveaux traitements chondroprotecteurs font également leurs apparitions tels que le sulfate de glucosamine et de chondroïtine, ainsi que le traitement au collagène.
Des observations de la pratique vont venir confirmer cette théorie et insister sur le rôle du pharmacien dans le traitement antidouleur dans l'arthrose. En effet, il évitera ainsi l'automédication chez ces personnes âgées, insistera sur l'importance du schéma fixe du traitement antalgique et surveillera l'apparition éventuelle d'effets secondaires. Un véritable suivi est donc important dans cette maladie et surtout chez les personnes âgées
Pain --- Aged --- Osteoarthritis --- Analgesics
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OBJECTIFS : Prise en charge optimale des infections urinaires (lU) chez la dame de plus de 65 ans. METHODE : Lecture de plusieurs revues de littérature et confrontations avec plusieurs spécialistes afin d’établir des recommandations stratégiques applicables en médecine générale et plus particulièrement chez la femme âgée de plus de 65 ans. RESULTATS : Avant tout, il semble indispensable de pouvoir déterminer à quel type d’infection urinaire nous devons faire face. En fonction de cette classification, dépendra non seulement la mise au point mais également le traitement et le suivi. CONCLUSION : Il n’existe pas, à l’heure actuelle, de guidelines bien établis en cas d’infection urinaire chez la personne âgée. L’évaluation au cas par cas reste, en effet, souvent nécessaire. Cependant, en fonction du type d’infection urinaire, plusieurs lignes de conduites sont applicables et à conseiller en médecine générale.
Urinary Tract Infections --- Aged --- Aged, 80 and over --- Female --- Diagnosis
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Heart Diseases --- Heart Failure --- Aged
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The prescription of psychotropic drugs, mainly anxiolytics, hypnotics, antipsychotics and antidepressants, is a major health problem among the elderly persons. They have beneficial effects when they are used appropriately, but numerous studies show that there is over-consumption of these drugs in these vulnerable individuals, and that the risk / benefit ratio is unfavorable to them, with significant adverse drug events. Inappropriate prescriptions are common and sometimes harmful, especially when there are co-prescriptions, while the prescription of antidepressants in really depressed elderly people is insufficient. It is possible to improve the use of psychotropic drugs in these patients by following the indications and contraindications, dosages which must take into account the ageing of organs, and by promoting alternative treatments such as herbal medicine or psychotherapy. La prescription de psychotropes, principalement anxiolytiques, hypnotiques, antipsychotiques et antidépresseurs, constitue un problème de santé majeur chez les personnes âgées. Ils ont des effets bénéfiques quand ils sont utilisés de manière appropriée, mais de nombreuses études montrent qu'il en existe une surconsommation chez ces sujets fragilisés, et que le rapport bénéfices/risques leur est défavorable, avec des effets indésirables importants. Les prescriptions inappropriées sont fréquentes et parfois nocives, notamment lors des co- prescriptions, alors que la prescription des antidépresseurs chez les sujets âgés réellement déprimés est insuffisante. Il est possible d'améliorer l'utilisation des psychotropes chez ces patients en respectant les indications et contre-indications, les posologies qui doivent tenir compte du vieillissement des organes, et en favorisant des traitements alternatifs comme la phytothérapie ou la psychothérapie.
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Internship and Residency --- Geriatrics --- Aged
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A lot of elderly people suffer from insomnia. ln Belgium, benzodiazepines are the most common class of drugs prescribed to manage insomnia.
Over the short term, the use of benzodiazepines reduces latency to fall asleep and lengthens sleep duration. However, caution is necessary when treating older patients because of the frequent adverse effects whose consequences may be serious (risk of confusion, falls and fractures). The vulnerability of the elderly results from pharmacokinetic changes and the risk of drug interaction increased by polymedication. As a consequence, the dosage of benzodiazepines for older patients must be reduced by half and molecules with long half-life or active metabolites must be avoided.
Moreover, the prolonged use of benzodiazepines potentiates the risk to suffer from adverse effects, in particular from tolerance and psychic or physical dependence.
After a long-term use, withdrawal from benzodiazepines is particularly difficult for older people, but a reinforced collaboration between health professionals including the chemist enables to inform patients, to support them and to encourage them to stop medication. As a result, a better communication between patient and health professionals seems to be the solution for a rational use of benzodiazepines. It is important to remind the non- pharmacological recommendations to improve sleep quality and to consider a future decrease in medication.
Every patient should have a person al withdrawal programme that takes into account the different factors which can influence withdrawal from benzodiazepines. Once the withdrawal strategy has been defined with the physician, the patient must taper off their dosage over several weeks. Progressive withdrawal, with or without cognitive behavioural therapy, has been proven to help stopping or reducing the use of benzodiazepines in elderly patients.
It is desirable to reinforce the education and the training of practitioners as regards withdrawal from benzodiazepines in older patients, in order to make them aware of the issue and to promote the success of such an intervention. L'insomnie est un problème médical fréquent chez les personnes âgées. En Belgique, les benzodiazépines représentent la classe de médicaments la plus couramment prescrite dans la prise en charge de l'insomnie.
L'usage de ces médicaments à court terme permet de diminuer le délai d'endormissement et d'accroître la durée totale de sommeil. Cependant, chez les personnes âgées, une prudence particulière est de mise en raison des effets secondaires fréquents et de leurs conséquences parfois lourdes (risque de confusion mentale, de chutes et de fractures). Cette vulnérabilité s'explique par des modifications pharmacocinétiques et par le risque d'interactions médicamenteuses majoré par une polymédication courante. Par conséquent, la posologie des médicaments benzodiazépiniques dans la population âgée doit être réduite de moitié et les molécules à longue demi-vie ou avec des métabolites actifs doivent être évitées.
De plus, l'utilisation prolongée des benzodiazépines potentialise le risque de développer des effets secondaires, particulièrement la tolérance et la dépendance psychique et physique.
Bien que le sevrage chez ces patients à la suite d'une utilisation prolongée ne soit pas chose aisée, une collaboration renforcée des professionnels de la santé, incluant le pharmacien, permet de sensibiliser les patients, de les accompagner et de les encourager à mettre un terme à leur médication. Dès lors, une meilleure communication entre patients et professionnels de la santé semble être la clé d'un usage rationnel des benzodiazépines. Un rappel des conseils non pharmacologiques est essentiel pour améliorer la qualité du sommeil et envisager une réduction ultérieure de la consommation de benzodiazépines.
Chaque patient doit se voir remettre un plan de sevrage adéquat prenant en compte les différents facteurs qui peuvent influencer l'arrêt des benzodiazépines. Une fois la stratégie d'arrêt établie avec le médecin, le patient procède à une réduction progressive de la dose sur plusieurs semaines. Cet arrêt progressif associé ou non à une thérapie cognitivo-comportementale a montré son intérêt dans l'arrêt ou la réduction de la consommation des benzodiazépines chez la personne âgée.
Il est souhaitable de renforcer les connaissances et les formations des praticiens relatives aux modalités de l'arrêt des benzodiazépines chez les personnes âgées afin de les conscientiser à cette problématique et de promouvoir la réussite d'une telle intervention.
Sleep Disorders --- Benzodiazepines --- Aged --- Substance-Related Disorders
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Geriatric Psychiatry --- Dementia --- Depressive Disorder --- Aged
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Orthostatic hypotension has a higher prevalence when age increases. It is also among the older patients that it is important to treat this condition, as a fali or any other complication could more easily cause an altered quality of life for these patients. The purpose of this work is to establish and review the management ofthis pathology in the elderly. It will also emphasize that statistical effectiveness is not necessarily related to clinical effectiveness and finally, that before starting a treatment, not only the evidence in favour of the treatment but also the impact on the patient’ s life and its cost should be considered. In conclusion, in practice the focus will be on the patient’s education (non pharmacological methods of management) and the re-evaluation of their ongoing treatment (searching for drugs that cause orthostatic hypotension that can eventually be withdrawn). In the future, we suggest studies with a larger number of participants to prove the effectiveness of these non pharmacological methods that have already proven theirselves usefull in practice La prévalence de l’hypotension orthostatique augmente fortement avec l’âge. C’est parmi les patients âgés qu’il est le plus important d’obtenir une amélioration des symptômes, étant donné qu’une chute ou autre complication dans cette catégorie de la population provoquera plus facilement une altération de la qualité de vie. Le but de ce travail est d’établir et de revoir la prise en charge optimale de cette pathologie chez le patient âgé. Par ailleurs, nous mettrons en évidence qu’un résultat statistiquement significatif ne va pas forcément de paire avec un résultat cliniquement significatif et inversement. D’autre part, nous verrons que lors de l’instauration d’une prise en charge, il faudra non seulement prendre en compte le niveau d’évidence de cette mesure, mais aussi l’impact qu’aura cette mesure sur la vie du patient ‘ainsi que son coût. En conclusion, dans la pratique, l’accent sera mis sur l’éducation du patient (et donc les méthodes de prise en charge non pharmacologiques) ainsi que sur une réévaluation du traitement de ce patient (pour rechercher des médicaments qui causent l’hypotension orthostatique et qui peuvent éventuellement être retirés). Dans le futur, nous souhaiterions voir des études sur un nombre plus large de participants, de manière à pouvoir prouver l’efficacité de ces méthodes non pharmacologiques qui sont déjà instaurées dans la pratique
Hypotension, Orthostatic --- Aged --- Patient Education as Topic
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Internship and Residency --- Geriatrics --- Aged --- Aging
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