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2009 (3)

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Prise de poids lors du traitement des psychoses : tous les neuroleptiques atypiques sont-ils égaux ?

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Abstract

Psychoses are very debilitating mental illness. In 1959, haloperidol was available in Belgium, this new molecule allowed to treat these pathologies. Then, other classical neuroleptics have been used. The problem is that the use of these drugs causes the emergence of extrapyramidal symptoms. There remained a real clinical need for better tolerated treatments for long-term management of psychotic patients. In 1996, the first atypical neuroleptic (risperidone) was placed on the market in Belgium. In subsequent years, other molecules were placed on the market until this year with the marketing of a new atypical neuroleptic: the paliperidone. These new drugs have helped to avoid extrapyramidal symptoms but were found to cause weight gain because they antagonize the H1 receptor. Among the molecules available in Belgium, aripiprazole causes the lowest weight gain, while clozapine is responsible for the most important weight gain. Les psychoses sont des maladies mentales très invalidantes. En 1959, la mise sur le marché Belge de l’halopéridol a permis de traiter ces pathologies. D’autres neuroleptiques dits classiques ont ensuite été utilisés. Le problème est que l’usage de ces médicaments entraîne l’apparition de symptômes extrapyramidaux. Il subsistait donc un réel besoin clinique de traitements mieux tolérés pour la gestion à long terme des patients psychotiques. C’est en 1996 que le premier neuroleptique dit atypique (la rispéridone) fut mis sur le marché en Belgique. D’autres molécules furent ensuite mises sur le marché jusqu’à cette année avec la mise sur le marché d’un nouveau neuroleptique atypique : la palipéridone. Ces nouveaux médicaments ont permis d’éviter les symptômes extrapyramidaux mais, ils entraînent un gain pondéral et ce d’autant plus qu’ils antagonisent le récepteur H1. Parmi les molécules disponibles en Belgique, l’aripiprazole entraîne la plus faible prise de poids, tandis que la clozapine est responsable du gain pondéral le plus important


Book
Evénements cérébrovasculaires et augmentation de risque de mortalité chez les patients âgés déments sous antipsychotiques

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Abstract

Behavioural and psychological symptoms of dementia (BPSD) in elderly patients are a common severe problem complicating dementia. Beside the obvious impact on the quality of life of people with dementia, BPSD are responsible for increased risk of patient’s institutionalization and increased costs. Antipsychotics are widely used as the first-line pharmacological approach to treat the BSPD. Atypical antipsychotic drugs have the best supporting evidence from studies for being effective in these patients. They have indicated a significant but modest improvement in aggressiveness. Other non-antipsychotic drugs have not been studied or the studies have not shown very good benefit in these patients.
The antipsychotics’ safety, however, has been challenged by data showing a potential increase in adverse cerebrovascular side effects and mortality in the last few years. Based on all available studies, there is a small, but significant increased risk of death, associated with the use of antipsychotic. Not all studies have found a significant association between risk of cerebrovascular events and antipsychotics. Unfortunately, there is thus no definite conclusion on this last association. The newer data suggest that typical and atypical antipsychotic drugs both represent a risk of serious adverse events. We do not know whether the actual risk for each of the typical and atypical drugs is the same for this population because they have not been studied equally well. Nonetheless, official sources, FDA and EMEA, decided to warn about these risks for all antipsychotics drugs. The management of behavioural and psychiatric symptoms associated with dementia should always rely first on non-pharmacological methods.
As a result, in clinical practice, the decision to use antipsychotic drugs to treat BPSD in these target patients must be based on careful individual evaluation of the relative risks and benefits of antipsychotic drugs and the relative risk of not treating BPSD. The results further highlight the need to seek less harmful alternatives for treatment of neuropsychiatric symptoms in these patients La gestion des troubles du comportement associés à la démence (BPSD) chez les patients âgés constitue un problème majeur dans le traitement de la démence. A côté de l’impact évident sur la qualité de vie des patients déments, les troubles du comportement associés à la démence sont responsables d’une augmentation d’institutionnalisation de plus en plus couteuse pour la société. Les antipsychotiques sont largement utilisés comme première approche pharmacologique pour traiter les BPSD. Les études ont montré que les antipsychotiques atypiques sont tout aussi efficaces que les antipsychotiques conventionnels chez ces patients mais ils présentent moins d’effets indésirables. Les antipsychotiques atypiques améliorent l’agressivité de manière significative mais reste limitée. Actuellement, les alternatives pharmacologiques aux antipsychotiques n’ont pas été suffisamment étudiées ou n’ont pas montré de bénéfices importants chez ces patients.
Depuis ces dernières années, un risque potentiel d’augmentation d’évènements cérébrovasculaires et de mortalité lié à l’utilisation de neuroleptiques a été mis en évidence. En se basant sur les études disponibles, il existe un risque significatif faible d’augmentation de mortalité, associé à l’utilisation des antipsychotiques. Toutes les études n’ont pas montré d’association significative entre le risque d’événements cérébrovasculaires et les antipsychotiques. Malheureusement, il n’y a pas de conclusion définitive sur ce dernier sujet. Les données récentes suggèrent qu’à la fois les antipsychotiques typiques et atypiques sont associés à une augmentation de risque de mortalité et d’événements cérébrovasculaires. Actuellement, faute d’études comparatives, on ne sait dire si ce risque diffère entre les antipsychotiques individuels, atypiques ou typiques. Néanmoins, la FDA et l’EMEA ont émis des avertissements sur les risques de mortalité et d’AVC pour tous les antipsychotiques. La prise en charge des troubles du comportement associés à la démence devrait toujours commencer par des mesures non-pharmacologiques.
En conséquence, en pratique clinique, la décision d’utiliser ou non les antipsychotiques chez cette population cible pour le traitement des BPSD repose sur une évaluation individuelle du rapport bénéfice-risque. Par ailleurs, les résultats obtenus jusqu’à présent mettent en évidence le besoin de trouver des alternatives moins nocives pour le traitement des patients âgés atteints de troubles du comportement associés à la démence


Book
The age of anxiety : a history of America's turbulent affair with tranquilizers
Author:
ISBN: 9780465086580 Year: 2009 Publisher: New York : Basic Books,

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