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Un exemple de ma grammaire latine disait : "Superbus se laudat", l'orgueilleux se vante. J'ai suivi cette mise en garde, qui m'interdit de rédiger, au verso d'un ouvrage, une apologie de soi à la troisième personne, manie contemporaine que je déplore. Ce recueil de propos radiophoniques à bâtons rompus m'impose une franchise redoublée. Lecteurs, c'est une baderne qui vous parle. Selon les dictionnaires, "baderne" se dit d'un homme âgé et borné. Âgé je suis ; borné, je le suis tout autant, car je connais mes limites. Ce mot caduc m'a plu après qu'un sénateur, progressiste à n'en pas douter, l'a réhabilité pour saluer, sur le ton de la haine, la disparition de Soljenitsyne. Je conclus : n'est pas baderne qui veut, mais qui en paie le prix. Et je m'affiche solidaire de tous ceux que la suffisance et le dépit des démagogues clouent au pilori et, si l'ordre politique à nouveau s'y prêtait, interdiraient d'écriture et de parole. Ces conversations tournent autour de savoirs familiers, de mes fréquentations, intellectuelles et autres, mais aussi de quelques interrogations sur le monde comme il va. À l'occasion, il est question de grandes affaires humaines, enfermées dans notre vocabulaire d'Occidentaux : la Religion, l'État, le Management, le Sujet. Mon interlocuteur, Philippe Petit, a veillé avec élégance au suivi des thèmes successifs, en m'évitant de battre la campagne inconsidérément. Au final, une chanson-poème de Guy Béart marque le terme de nos échanges
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Après Hominescence, L'Incandescent et Rameaux, Michel Serres poursuit le « Grand Récit », l'un des plus longs récits du monde, où des femmes et des hommes, sortis jadis d'Afrique, se retrouvent aujourd'hui, des dizaines de milliers d'années après leur séparation... Il raconte aussi pourquoi Orphée perdit, au dernier moment, son amie Eurydice ; à quel travail indispensable s'évertuent les neuf muses ; comment des matelots devinrent volontiers lions et moucherons ; pourquoi les fétiches assyriens mélangent ailes et sabots comme les dieux aztèques mêlent plumes et poils ; pourquoi Eve, au paradis, désobéit... Faute de pouvoir définir l'homme, Michel Serres le raconte. Il raconte, en somme, comment nous réussissons ou échouons à devenir humains. L'humanisme, alors, célèbre les noces des contes et du savoir.
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symfonieën --- anno 1930-1939 --- England
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speelgoed --- Meccano Ltd. --- 1930 - 1940.
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Civilization, Modern --- Philosophy --- Serres, Michel, - 1930-2019
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symfonische muziek --- symfonieën --- anno 1930-1939 --- Flanders
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