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Over the past 20 years, public attitudes towards aid in OECD countries have remained steadily positive throughout economic ups and downs. At the same time, polling data shows that voters continue to strongly support aid to developing countries, despite the financial crisis.
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"The benefits of financial development and globalization have come with continuing fragility in financial sectors. Periodic crises have had real but heterogeneous welfare impacts and not just for poor people; indeed, some of the conditions that foster deep and persistent poverty, such as lack of connectivity to markets, have provided a degree of protection for the poor. Past crises have also had longer-term impacts for some of those affected, most notably through the nutrition and schooling of children in poor families. As in other areas of policy, effective responses to a crisis require sound data and must take account of incentives and behavior. An important lesson from past experience is that the short-term responses to a crisis-macroeconomic stabilization, trade policies, financial sector policies and social protection-cannot ignore longer-term implications for both economic development and vulnerability to future crises. "--World Bank web site.
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Au cours des dernières décennies, les IDE ont figuré parmi les principaux bénéficiaires de la libéralisation des mouvements de capitaux, tant et si bien qu'ils constituent aujourd'hui la forme principale des entrées de capitaux dans de nombreux pays en développement, y compris des pays à faible niveau de revenu comme le Tchad, le Soudan ou la Zambie. Si l'on peut à juste titre se réjouir d'un tel succès, les dérèglements financiers actuels ne sont cependant pas de bon augure pour la pérennité de ces flux en 2009.
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Au cours des derniers mois, dans un effort coordonné visant à redresser le système financier mondial, les gouvernements des pays membres de l'OCDE se sont engagés à hauteur de plusieurs milliers de milliards de dollars sous la forme d'emprunts, de garanties, d'injections de capital et d'autres types d'assistance. En comparaison, les flux annuels de l'aide, qui s'élèvent actuellement à près de 100 milliards de dollars, ne sont " qu'une goutte dans l'océan ", comme l'a déclaré Robert Zoellick, président de la Banque mondiale. Pourtant, nombreux sont ceux qui s'inquiètent de l'impact.
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Depuis le début de la crise du crédit, on n'a accordé qu'une attention relativement faible aux conséquences de la crise financière sur l'endettement des pays à faible niveau de revenu. Si au cours des dernières années les pays en développement ont, dans l'ensemble, bénéficié d'une augmentation des flux de capitaux privés (notamment sous la forme d'investissements directs étrangers (IDE) et de transferts de fonds des travailleurs expatriés), de nombreux pays à faible niveau de revenu dépendent encore très largement de l'aide officielle externe et des flux d'endettement.
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Au cours des dernières décennies, les IDE ont figuré parmi les principaux bénéficiaires de la libéralisation des mouvements de capitaux, tant et si bien qu'ils constituent aujourd'hui la forme principale des entrées de capitaux dans de nombreux pays en développement, y compris des pays à faible niveau de revenu comme le Tchad, le Soudan ou la Zambie. Si l'on peut à juste titre se réjouir d'un tel succès, les dérèglements financiers actuels ne sont cependant pas de bon augure pour la pérennité de ces flux en 2009.
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Depuis le début de la crise du crédit, on n'a accordé qu'une attention relativement faible aux conséquences de la crise financière sur l'endettement des pays à faible niveau de revenu. Si au cours des dernières années les pays en développement ont, dans l'ensemble, bénéficié d'une augmentation des flux de capitaux privés (notamment sous la forme d'investissements directs étrangers (IDE) et de transferts de fonds des travailleurs expatriés), de nombreux pays à faible niveau de revenu dépendent encore très largement de l'aide officielle externe et des flux d'endettement.
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Au cours des derniers mois, dans un effort coordonné visant à redresser le système financier mondial, les gouvernements des pays membres de l'OCDE se sont engagés à hauteur de plusieurs milliers de milliards de dollars sous la forme d'emprunts, de garanties, d'injections de capital et d'autres types d'assistance. En comparaison, les flux annuels de l'aide, qui s'élèvent actuellement à près de 100 milliards de dollars, ne sont " qu'une goutte dans l'océan ", comme l'a déclaré Robert Zoellick, président de la Banque mondiale. Pourtant, nombreux sont ceux qui s'inquiètent de l'impact.
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"The benefits of financial development and globalization have come with continuing fragility in financial sectors. Periodic crises have had real but heterogeneous welfare impacts and not just for poor people; indeed, some of the conditions that foster deep and persistent poverty, such as lack of connectivity to markets, have provided a degree of protection for the poor. Past crises have also had longer-term impacts for some of those affected, most notably through the nutrition and schooling of children in poor families. As in other areas of policy, effective responses to a crisis require sound data and must take account of incentives and behavior. An important lesson from past experience is that the short-term responses to a crisis-macroeconomic stabilization, trade policies, financial sector policies and social protection-cannot ignore longer-term implications for both economic development and vulnerability to future crises. "--World Bank web site.
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