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2005 (6)

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Evaluation du profil des patients âgés admis aux urgences : de la Clinique Sainte-Elisabeth à Uccle
Authors: --- ---
Year: 2005 Publisher: Bruxelles: UCL,

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Abstract

Au premier janvier 2004, sur 10.396.000 habitants en Belgique, 1.780.000 avaient plus de 65 ans. Le pourcentage des 65 ans et plus augmente en effet d’année en en année alors que le pourcentage des moins de 20 ans diminue.
En d’autres mots, notre population vieillit.
Si l’on vit plus longtemps aujourd’hui, c’est grâce à des facteurs tels que :
- une alimentation plus équilibrée
- une amélioration du confort des habitations : chauffage central, eau courante
- une meilleure hygiène de vie
- de meilleure conditions de travail
- des vaccinations systématiques
- l’invention des antibiotiques
- la prévention contre les méfaits du cholestérol, de l’hypertension, du tabac
- la sophistication des traitements.
Le nombre sans cesse grandissant de personnes âgées inquiète cependant, et ce, avant tout pour les problèmes économiques qu’engendrent le vieillissement.
Il est donc essentiel de revaloriser la vieillesse aujourd’hui tant au niveau de l’individu que de la société.
Dans nos sociétés occidentales, la personne âgée est trop souvent jugée comme inutile, gaspillant l’argent de la société. Il en est de même du côté médical. La rémunération d’une personne de plus de 65 ans doit souvent être justifiée. Elle a vécu, pourquoi s’acharner ? Pourquoi ne pas la laisser partir en paix ? Le problème est qu’actuellement on ne meurt plus si jeune et que la personne a encore devant elle une longue espérance de vie.
L’âge d’une personne n’est plus la base pour justifier une décision, mais son état de santé général.
Travaillant dans un hôpital de la région bruxelloise, je me sui penchée sur la problématique des personnes âgées. Pourquoi viennent-elles à l’hôpital, cela représente-t-il un risque pour elle ?
En me basant tant sur la littérature que sur l’expérience, je mes suis aperçue que les personnes âgées arrivaient souvent à l’hôpital par la porte des urgences, envoyées par une tierce personne. C’est à ce moment là qu’elles encourent le plus de risque.
Partant de la question suivante :
les personnes âgées, de plus de 70 ans, admises aux urgences risquent elles de perdre une partie de leur autonomie après leur admission ?
Différentes questions se posent alors :
1. Comment définir la perte d’autonomie ?
2. Pourquoi détecter les personnes de plus de 70 ans ?
3. A quel moment faire cette évaluation ?
Quelles échelles utiliser afin d’évaluer le risque de perte d’autonomie ?
Pour trouver des réponses à ces questions, nous scinderons le cadre théorique en cinq chapitres reprenant chacun un concept propre :
1. Le vieillissement
2. Le patient gériatrique
3. Le profil du patient de plus de 70 ans hospitalisé
4. La législation actuelle
5. Présentation des échelles d’évaluation
Le premier chapitre définira et donnera un résumé des diverses théorie en cours concernant le vieillissement de l’être humain.
Le second se concentrera sur la description du profil gériatrique et la population qu’il englobe.
Le chapitre traitant du profil du patient de plus de 70 ans hospitalisé abordera l’analyse du patient type âgé de 70 ans et plus, se présentant aux urgences, et hospitalisé ensuite.
Nous verrons ensuite ce que le gouvernement a déjà mis en place afin d’aider la prise en charge globale des personnes âgées et quels sont ses projets pour le futur.
Enfin, la partie théorique rejoindra la partie pratique en citant et expliquant les échelles d’évaluation les plus couramment utilisées.


Book
Elaboration d'un plan d'urgence interne au Centre hospitalier régional de Huy

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Abstract

Deuxièmement, le secteur de la santé est dynamique et varie également dans le temps. La paysage hospitalier d’aujourd’hui est foncièrement différent de celui rencontré vingt ans auparavant, tant les innovations technologiques et les restructurations macro et micro-économiques ont été importantes. Nous pensons que l’évolution hospitalière, tout comme la jeune discipline que représente la médecine de catastrophe, se poursuivra de la même manière dans les décennies à venir. Ce travail peut juste essayer de contribuer à cette évolution galopante.
Troisièmement, nous n’aborderons dans ce travail qu’une facette de l’organisation hospitalière en terme de médecine d’urgence et de catastrophe. Il s’agit de bien définir une limite de champ. Notre Plan d’Urgence Interne se concentre sur la facette des procédures en cas de sinistre interne à l’institution et vient alors compléter le plan M.A.S.H. déjà existant et établi en vue de faire face à un afflux massif de victimes issues d’un sinistre externe à l’institution.
Enfin, notre travail aura pour cadre l’intercommunale du CHR HUY sur son site hospitalier de la rue des trois ponts 2-3 Huy ; l’extension du Plan MASH aux autres services devra faire l’objet d’un travail ultérieur.
1.4. Motivations
Le sujet proposé atout de suite suscité notre intérêt et ce, pour différentes raisons :
- Il couvre un domaine pour lequel nous avons été formés (l’urgence collective et les situations d’exception).
- Il s’agit d’un travail qui pourrait aboutir à une application concrète dans notre hôpital.
- Il nous permet de mieux connaître les structures et le mode de fonctionnement de notre institution hospitalière.
- Il nous donne l’opportunité de mettre en pratique les techniques de recherches, d’évaluation, de rédaction et de diffusion de l’information étudiées lors des cours de licence.
1.5. Objectifs
En suivant les recommandations du ministère de la santé publique et en se basant sur la législation en vigueur tout en tenant compte des règles en matière d’urgences collectives, nous rédigerons un Plan d’Urgence Interne, pour les situations exceptionnelles de sinistres internes, avec ses procédures d’évacuation des salles d’hospitalisation du C.H.R. Huy, ce dernier complétant le plan M.A.S.H. existant.
1.6. Evaluation des besoins
Comme nous le verrons dans la partie théorique, toute institution hospitalière doit, depuis 1991, disposer d’une procédure qui envisage les réactions à adopter face à une urgence interne. Au moment de commencer ce travail, l’évacuation des patients des salles du C.H.R. de Huy n’est envisagée que de façon très sommaire dans la « procédure incendie ».
En accord avec monsieur Drugmand, responsable du Service Interne de Prévention et de Protection au travail (S.I.P.P.) de l’hôpital, nous estimons qu’il est nécessaire de rédiger une procédure d’évacuation distincte afin de coller au mieux aux exigences légales en la matière.
De plus l’élaboration d’un plan hospitalier en cas de catastrophe interne est une innovation et forme un travail dont l’aspect pratique est certain. Le Plan d’Urgence Interne ne sera jamais définitif. Des exercices pratiques dans des circonstances réelles ou simulées le modifieront sans cesse. Cette remise en question perpétuelle a constitué, pour moi, un attrait supplémentaire.
Pourquoi est-il indispensable d’établir un plan catastrophe hospitalier ?
L’éventualité, pour un hôpital de devoir faire face à un afflux massif de victimes en cas de catastrophe interne doit être envisagée par les responsables conscients de l’importance que leur établissement peut avoir en pareilles circonstances, d’autant plus que leurs responsabilités sont susceptibles d’être engagées lors de poursuites juridiques. Pour les sensibiliser et leur faire prendre conscience de la nécessité d’établir des plans catastrophe, je citerai la vieille règle de la Croix-Rouge :
« Préparez-vous au pire, rien ne pourra vous surprendre ».
Les cauchemars les plus atroces peuvent parfois devenir réalité si un événement dommageable pour une communauté se produit ; l’existence de victimes justifie la mise en place d’une organisation de secours et de soins. La présence de nombreux blessés face à des moyens de traitement momentanément insuffisants est également la raison de la médecine de catastrophe.
L’expérience enseigne qu’il y a toujours, dans le déroulement et la mise en place des secours lors de la réponse à la catastrophe, deux étapes chronologiques :
- Une phase d’improvisation qui succède à la surprise de l’événement et à la destruction passagère du groupe social. Elle se caractérise par des comportements inadéquats, comme :
- Des évacuations intempestives sans soins préalables et sans coordination,
- Des soins dispensés au hasard, sans triage préalable, les victimes les plus graves pouvant être prises en charge après des blessés légers,
- des soins inappropriés, compte tenu des lieux et de l’état des victimes,
- Des réactions individuelles et collectives inadaptées. Elles peuvent atteindre, sans distinction, les témoins de la catastrophe, les victimes, les secouristes, les médecins et les autorités responsables présentes sur les lieux de l’accident.
- Une phase d’organisation ou de secours structurel. Elle aboutit à la mise en œuvre de la chaîne médicale des secours et à son intégration dans le dispositif général de secours.
dés lors, pour réagir adéquatement et rapidement en cas de crise, toute communauté doit posséder des règles d’organisation préétablies. L’improvisation est source de décisions susceptibles d’aggraver la situation existante comme l’ont établi les lois de Murphi :
1ère loi : « Tout ce qui peut tourner mal tournera mal »
2ème loi : « Tout ce qui peut tourner mal tournera mal et au mauvais moment »
Cependant, ces plans ne peuvent être que des plans « cadres » qui énoncent les grandes lignes d’action et fournissent aux acteurs du drame les meilleures armes possibles pour agir dans les délais.
notre travail, qui est conçu pour le Centre Hospitalier Régional de Huy comporte trois parties essentielles et s’articule comme suit :
1. Approche de la médecine de catastrophe
Cette section m’a paru indispensable pour imprégner un profane de la philosophie générale de la médecine de catastrophe qui exige des techniques spécifiques. Ce chapitre concentre tous les problèmes qui se posent quand les besoins dépassent de façon importante les moyens de secours en situation de crise.
2. Description physique de l’hôpital
La structuration de l’hôpital va considérablement influencer le choix des procédures et la méthodologie d’élaboration du plan d’urgence, cette partie aboutira :
- a la description globale de l’hôpital et à la présentation des services dont il dispose.
- Au recensement et à l’étude des risques qui pèsent sur l’institution et qui sont susceptibles de la détruire.
3. La troisième partie : Plan d’Urgence Interne
L’essentiel du travail consistera en l’élaboration et la conception du plan MASH en cas de sinistre interne à l’institution et en l’actualisation du plan MASH existant pour les sinistres externes afin que cet ensemble adhère au mieux aux derniers concepts en cette matière défendus par les cours interuniversitaires de médecine d’urgence collective (ULB-UCL-Ulg) – Erasme 2004, notamment par les Professeurs JB Gillet, Guerisse et Michiels. L’hôpital représente, dans l’esprit du patient, un havre de sécurité où toutes les conditions sont réunies pour qu’il recouvre rapidement la santé. Mais l’activité humaine et la technologie, si présentes dans les établissements de soins, en font aussi des structures sensibles où la rupture d’équilibres, parfois fragiles, peut amener à l’incident grave mettant en danger la vie du patient. Si la prévention et l’attention de tout moment restent les meilleures protections contre ce type de situation, nous devons aussi, dans nos institutions hospitalières, pouvoir envisager le pire et nous préparer à réagir pour sauver les vies dont nous sommes responsables. C’est cet aspect de la gestion d’un hôpital que nous allons envisager ici.
Par ce travail nous allons essayer de compléter les moyens d’intervention du Centre Hospitalier Régional de HUY par un Plan d’Urgence Interne en se concentrant notamment sur les consignes et procédures pour faire face à un sinistre interne, afin d’actualiser et compléter le plan M.A.S.H. existant.
Souhaitant en connaître plus sur ce sujet, un peu éloigné de notre formation de base, nous prenons contact avec différents responsables d’hôpitaux du pays, avec des institutions « ressources » (Agence Nationale pour la Prévention des Incendies, Ecole du Feu de Seraing, SIPP CHR Citadelle de Liège, urgences CHU Brugman et CHU St Luc…), nous consultons différentes sources (littérature, Internet).
Malheureusement, l’organisation de chaque hôpital étant à la fois complexe et unique il ne nous est pas possible de trouver une solution applicable telle qu’elle ; mais nous collectons ainsi une masse d’informations dont certaines guideront notre réflexion. Cette base théorique vous est présentée dans la partie qui suit.
1.2. Choix du sujet
En avril 2002, alors que nous cherchons un sujet de mémoire, notre médecin chef de service des urgences, le Dr Trinco, ainsi que Mme Faveau, infirmière chef d’unité des urgences, nous proposent de réaliser un travail sur les procédures d’urgences internes à l’hôpital et ce dans le cadre de la mise à jour du plan M.A.S.H.
Comme base à ce travail nous disposons d’une circulaire du Cabinet de la Santé publique reçue le 02 août 1999, rappelant toutes les mesures préventives à adopter afin que se passe pour le mieux le « bug 2000 », d’une circulaire du 04 avril 2003 relative à une série de recommandations générales en en cas de propagation intentionnelle d’agents biologiques et d’utilisation de substances chimiques ou ainsi que d’autres toxiques, en application de PAR du 17 octobre 1991 (MB 6/12/1991), d’un « check listing » d’inspection de sécurité des hôpitaux bruxellois émanant du cabinet du gouverneur de Bruxelles Capitale. Après discussion, nous avons décidé de cibler notre réflexion principalement sur les procédures d’évacuation des salles d’hospitalisation.
1.3. Limites de la recherche
Comme définit par Madame Deliege, trois limites doivent être précisées : les limites de champs, d’espace et de temps. Définir le champ vise à formuler de façon explicite l’objet de la recherche et le type de population sur laquelle portera l’étude. Cadrer l’espace consiste non seulement à en délimiter les frontières extérieures, mais aussi à en fixer les unités territoriales, à propos desquelles on souhaite obtenir des résultats significatifs.
Premièrement, nous voulons attirer l’attention sur les limites contextuelles de cette recherche. La santé est un concept à la fois multidimensionnel et culturel. La cadre dans lequel s’inscrit le service d’urgences répond à une (voire plusieurs) définition(s) de la santé.


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Où vont nos patients en cas de problème de santé aigu? : les consultations de médecine générale au service des urgences
Authors: --- ---
Year: 2005 Publisher: Bruxelles: UCL,

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Abstract

Contexte : Lors d’un problème de santé aigu le service de garde de médecine générale et le service hospitalier des urgences sont à la disposition du patient dont le médecin traitant n’est pas disponible. Au service des urgences il y a de nombreuses consultations pour des problèmes de médecine générale.
OBJECTIFS : Le but du travail est de montrer et de chiffrer cette tendance de s’orienter vers les services des urgences, de trouver quelques unes des causes possibles et de présenter d’éventuelles alternatives afin de permettre la prise en charge des problèmes de santé aigus en médecine générale.
Méthodologie : Deux études transversales descriptives ont été réalisées dans deux services d’urgences à Luxembourg-ville. Les dossiers de prise en charge de 570 patients admis ont été analysés et 250 patients interrogés à leur arrivée.
Résultats : Plus d’un tiers des patients admis aux urgences sont pris en charge par un médecin généraliste avec les moyens de la médecine générale. Les références par les médecins généralistes sont limitées mais semblent justifiées. En dehors des heures ouvrables il y a un moins de référence et plus de patients présentant des pathologies gérables en médecine générale. Vingt pourcents de la population consultante n’a pas de médecin traitant, concernés sont surtout les population jeunes et étrangères. Les patients hésitent à contacter leur médecin traitant pour un problème de santé aigu.
Conclusions : Des possibles causes de l’abus de consultations au service des urgence peuvent se trouver dans l’inaccessibilité des cabinets de généralistes, dans la méfiance des patients par rapport au compétences du médecin généraliste et dans la non-fidélisation des patients vis-à-vis du médecin généraliste. Des polycliniques de médecine générale, un triage téléphonique et des cabinets de proximité pourraient améliorer l’accès aux services de garde de la médecine générale


Dissertation
Studies on general practice out-of-hours care.
Authors: ---
ISBN: 9052784590 Year: 2005 Publisher: Maastricht Universitaire pers

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Abstract


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Optimalisation de la gestion des stocks d'une unité de soins intensifs dans le cadre d'une nouvelle construction

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Abstract

Afin d’assurer son bon fonctionnement, une unité d’hospitalisation de soins intensifs se voit dans l’obligation de constituer un stock comprenant le matériel médical et les produits médicamenteux.
Nécessité absolue générant immanquablement des coûts, ce stock est aussi une charge supplémentaire pour le service qui doit le gérer de manière optimale ; cela sous-entend le contentement des utilisateurs que sont le personnel paramédical et médical, et ce dans un environnement de travail adapté.
Cette gestion des stocks au sein de l’unité doit donc être performante, mais elle est aussi complexe et différente d’un établissement à l’autre, les responsabilités et les méthodes de gestion présentant en effet certaines variantes.
Constatant les lacunes planant sur notre système actuel au sein des soins intensifs, et profitant du projet d’extension du site Notre-Dame et donc d’une nouvelle unité de soins intensifs, nous avons tenté par le biais de ce travail de trouver la méthode de gestion des stocks qui soit la mieux adaptée à notre terrain.
La question de départ s’intitule :
« Quel processus d’approvisionnement doit-on prévoir dans un service de soins intensifs contenant 36 lits afin d’optimaliser la gestion des stocks ? »
La facilitation du travail infirmier concernant les stocks et la réduction des coûts au sein de l’unité sont les deux fils conducteurs de cette recherche qui nous ont conduit à l’hypothèse de travail suivante :
« La gestion des stocks d’un service de soins intensifs de 36 lits peut être optimalisée par l’instauration d’un système appelé « double stock » ».
Celle-ci se base sur des concepts théoriques, sur l’analyse des différentes méthodes appliquées dans d’autres établissements, et sur notre propre expérience professionnelle en tant qu’infirmière en soins intensifs.

Crisis intervention handbook
Author:
ISBN: 019972668X 1423761960 9780199726684 9781423761969 0195179919 9780195179910 0195179919 9780195179910 9780199884506 0199884501 Year: 2005 Publisher: Oxford New York Oxford University Press

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