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Le prochain référendum relatif à la « constitution » européenne est un rendez-vous historique des Français avec la France. Faut-il dire « oui » ? Faut-il dire « non » ? L’enjeu est capital. Aussi ceux qui occupent quasi exclusivement les médias ne reculent devant aucune désinformation pour forcer la décision et cela, jusque et y compris, hélas, dans les rangs de ceux qui se prétendent encore héritiers du gaullisme… contre de Gaulle. C’est pourquoi, Pierre Maillard, Ambassadeur de France, ancien conseiller diplomatique du Général de 1959 à 1964, période décisive de sa politique européenne et du rapprochement franco-allemand, veut témoigner. En effet, il ne pouvait laisser sans réponse les contrevérités manifestes que les voix les plus officielles se permettent de répandre sur le problème de la Constitution européenne en général, et sur la question de la Turquie en particulier. Non, le général de Gaulle n’approuverait certainement pas un texte dit « constitutionnel » complexe, ambigu et très dangereux pour la survie de la France, à l’exact opposé de tous ses efforts d’européen convaincu ! Non, le général de Gaulle n’a jamais envisagé, ni même imaginé, que la Turquie, pays ami mais profondément différent par son histoire et sa géographie, puisse être intégré dans une Europe fédérale dont il rejetait par ailleurs le principe ! Dans un texte très court et synthétique, éclairé par les leçons reçues du Général, Pierre Maillard fait, avec autorité et fermeté, justice d’une triple trahison à l’égard du général de Gaulle, de l’Europe et donc de la France
European Union --- Membership. --- Membership
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Urban policy --- Cultural policy --- Politique urbaine --- Politique culturelle
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" Le principe de l'honneur et du courage, c'est, au fond, de tenir pour petits les maux les plus grands quand ils viennent du destin et, à l'inverse, pour grands même les plus petits quand ils émanent des hommes. On doit être indifférent à la perte de l'argent, des biens, des membres de son corps, s'abstenir de toute grimace dans les pires souffrances, tant que tout cela est le fait du hasard, ou de la nature, ou des animaux ; mais on doit considérer une parole dure ou, à plus forte raison, un coup comme le summum malum et n'avoir pas de trêve qu'il ne soit vengé par un meurtre. Quelles bamboches ! "
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