Listing 1 - 10 of 38 | << page >> |
Sort by
|
Choose an application
Knowledge, Sociology of. --- Knowledge, Sociology of --- History.
Choose an application
Choose an application
Choose an application
La thèse de la non-neutralité de la science a été avancée et soutenue, je suppose, dans bien des quartiers. Celle dont je veux parler aujourd'hui est celle des physiciens marxistes italiens qui ont publié L'Araignée et le tisserand (1). (Dans mes références, l'abréviation «AT» désignera ce livre.) Ces physiciens ont pour nom Ciccotti, Cini, De Maria et Jona-Lasinio. Dans ce qui suit, je les nommerai collectivement sous le nom de Ciccotti. Plusieurs des remarques que je ferai s'appliquent aussi, je crois, au groupe d'auteurs oeuvrant avec Hilary et Steven ROSE, en Angleterre, et au collectif français qui a publié (Auto) critique de la science (2). Mais comme j'analyse une forme particulière de la thèse de non-neutralité, et donc une formation particulière de concepts, la prudence m'invite à faire comme si, pour l'instant, mes assertions ne s'appliquaient qu'au groupe de Ciccotti. La plus grande partie du présent exposé sera consacrée d'abord à préciser ce qu'affirment la thèse de non-neutralité et la thèse présumée de neutralité, respectivement; puis, à montrer que la thèse de non-neutralité qui est démontrée par Ciccotti, d'une part est distincte de celle qui est affirmée par lui et, d'autre part, n'est pas la contradictoire de la thèse présumée de neutralité. Dans cette optique, je soutiendrai que, sur le plan épistémologique proprement dit, le conflit entre les tenants de la non-neutralité et leurs présumés adversaires est, à toutes fins pratiques, imaginaire. (Comme conflit politique, par ailleurs, je reconnais qu'il est bien réel.) En dernière partie du présent texte, je dirai brièvement pourquoi Ciccotti a besoin, à mon avis, de formuler une thèse de non-neutralité comme si elle était la contradictoire de la présumée thèse de neutralité. On pourra alors commencer à entrevoir comment la thèse de non-neutralité ainsi formulée contribue au système de légitimation de la science critique. (L'expression «science critique», qui a cours parfois dans le dis-cours socio-critique, désigne la science produite et pratiquée, maintenant ou dans l'avenir, par les scientifiques oeuvrant à la transformation révolutionnaire de la société capitaliste en société socialiste.).
Choose an application
Choose an application
Choose an application
Knowing itself is a problematic concept and what was once seen as the clear objective of "knowing," that is to discover "truth" or "reality," has become increasingly less certain. This is even more the case when scholars move from the present to examine epistemology in the past. Two fundamental questions arise: What constituted knowledge in the context of early modern Germany and how was knowledge gathered, assembled, organized, deployed, and interpreted? Ways of Knowing seeks to answer these questions. Taking their cues from a range of interdisciplinary perspectives, including art, German literature, social, political, medical, and religious history, the contributors offer readers a rich and insightful portrait of knowing and knowledge in early modern Germany. Investigators look at what people "knew" in early modern Germany and how they "knew" it. Four essays in part one consider how knowledge was created and organized. In part two, six authors examine how knowledge was evaluated and how it functioned, especially in the realms of belief, law, politics, and medicine. Contributors include: Robert Beachy, Susan R. Boettcher, Jason Coy, Pia F. Cuneo, Mitchell Lewis Hammond, Mary Lindemann, Francisca Loetz, Terence McIntosh, Janice L. Neri, Elisabeth Wåghäll Nivre, and Helen Watanabe-O'Kelly.
Choose an application
Choose an application
Choose an application
Psychoanalysis --- Social psychology --- Knowledge, Sociology of
Listing 1 - 10 of 38 | << page >> |
Sort by
|