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Un père, très âgé et un fils, la cinquantaine, se racontent leur vie, remuant les ombres et évoquant le siècle tout entier. Roman du temps qui passe trop vite, avec ses guerres, ses espérances trahies, ses souffrances, des désirs d'aventure, de fraternité, d'amour, et qui rend compte du changement d'idéal des hommes du XXe siècle. [Source : Electre]
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Philippe Quinault (1635-1688) fait représenter en novembre 1668 son avant-dernière tragédie, Pausanias, écrite à la hâte en sorte de combler une lacune dans le répertoire de la troupe de l'Hôtel de Bourgogne. Inspiré par l'Andromaque de Racine, créée un an auparavant, Pausanias n'en est néanmoins pas une répartie sommaire. Désavouant la tradition selon laquelle le théâtre serait une littérature d'élite, Quinault ambitionne de châtier quelques-unes des fautes qui auraient entaché l'ouvrage de son jeune rival. Ce faisant, il nous livre Démarate, héroïne furieuse et violente qui ourdit un dénouement inoubliable, et Cléonice, dernier rôle endossé par la célèbre Mademoiselle Du Parc qui avait aussi créé celui d'Andromaque pour Racine. Le texte, établi et annoté par Edmund J. Campion, paraît pour la première fois depuis plus de deux siècles. Il est rehaussé d'une étude, par William Brooks, de la genèse, de la construction et du destin de cette tragédie dont la réputation a été arbitrairement flétrie.
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Un poète méconnu que ce Christofle Du Pré, sieur de Passy en Brie, dont le nom n'évoque en général que le titre qu'il a choisi pour son recueil poétique. On sait que les autres membres de sa famille appartiennent au Parlement de Paris, et lui-même, sans que l'on puisse préciser la nature de ses liens avec le Parlement, contribue par une odelette à La main d'Etienne Pasquier, recueil collectif de pièces composées à l'occasion des " Grands Jours de Troyes " de 1583. Un des sonnets liminaires des Larmes funebres nous apprend qu'il s'est rendu à Constantinople après la Saint-Barthélémy, peut-être missionné dans le cadre de fonctions au Parlement. De retour de Constantinople, il épouse une veuve, Antoinette de Faucon ; quatre ans plus tard, en juillet 1577, elle meurt. Cette tragédie personnelle inspire à Du Pré Les larmes funebres, soixante-quinze sonnets et trois odes en mémoire de la disparue qui font de leur auteur, Passy, le Passionné par excellence, au sens christique du mot. Ce canzoniere très particulier est aussi une prise de position en faveur de l'amour conjugal - singularité revendiquée haut et fort, au moment même où Amadis Jamyn publie Le misogame et où Philippe Desportes, le poète à la mode, donne à lire des stances contre le mariage
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Magistrat humaniste et moraliste prisé de son siècle et réimprimé sans cesse durant le suivant, Guy Du Faur, seigneur de Pibrac, aboute la première Renaissance et le temps des guerres de religion comme il marie la République des Lettres et le monde des praticiens du droit. Avocat général du roi puis président au Parlement de Paris, il est un membre très actif de l'Académie du Palais de Henri III. Auteur de Plaisirs de la vie rustique et de Quatrains qui seront constamment récités et mémorisés au XVIIe siècle - notamment par le futur Louis XIII - et seront encore imités par Voltaire, Pibrac est un modéré proche de Michel de L'Hospital, qu'il met en scène dans son poème rustique. Donnant la première édition critique de cet humaniste gallican, Loris Petris décrit et localise enfin toutes les éditions parues du vivant de l'auteur. Il fournit une introduction biographique, l'analyse littéraire des textes édités, le texte annoté des Quatrains, des Plaisirs de la vie rustique et des sonnets.
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