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Au début de ma pratique de médecin généraliste, j’ai accompagné une dame en fin de vie jusqu’à son décès. J’ai alors été confronté, non seulement à la mort, mais aussi à mon impuissance et à différentes émotions comme la peur, la tristesse ou la colère. Moi sui avait fait la médecine pour ne palus laisser mourir les gens, je vivais là un échec et une grande souffrance.
Suite à cette histoire empreinte d’émotions, je me suis posé beaucoup de questions. « Pourquoi souffrons-nous ? », « Comment pouvons-nous nous protéger de cette souffrance ? » , « En quoi ma souffrance est-elle l’écho de la souffrance de mon patient ? ». J’ai découvert que, sans le savoir, nous élaborions une série de mécanismes de défense pour nous protéger. Cependant, les angoisses finissent toujours par réapparaître et ces mécanismes ne nous permettent pas d’évoluer à long terme. Ils encombrent notre relation avec le patient et nous empêchent d’être intérieurement disponibles.
Comment alors trouver la solution pour moins souffrir tout en aidant au mieux notre patient ?
Tout d’abord il faut savoir que nos émotions sont en relation avec notre histoire et que l’on ne peut pas écouter l’autre si on se trouve dans nos propres projections. Dès lors, il faut apprendre à accueillir nos émotions, à les partager, et à s’en s’encombrer dans une autre temps et une autre lieu pour pouvoir écouter et manifester de l’empathie envers notre patient et ses proches. Cet accueil de nos émotions est indispensable pour acquérir une compétence scientifique et une compétence dans l’interdisciplinarité. C’est l’association de cette triple compétence qui est à la base d’une démarche éthique permettant de répondre le mieux possible à l’appel de celui qui souffre.
La création de groupes de parole peut être une réponse à la question du « Comment s’y préparer ? ». Ils représentent une aide précieuse pour apprendre à exprimer ses sentiments, à les partager et à atténuer sa propre souffrance en vue d’améliorer la relation soignant-soigné
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Physicians --- Physicians --- Serial murderers --- Serial murders
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PHYSICIANS, PRIVATE PRACTICE --- PHYSICIANS, PRIVATE PRACTICE
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Sur base d’une revue de 537 lettres d’adresse de patient au service des urgences par un médecin généraliste traitant, il est procédé à l’analyse de leur forme selon des critères de complétude ou de suffisance, selon le type de motivation qui apparaît à sa lecture et du bénéfice d’information pour le médecin de garde en salle des urgences.
L’adresse au service des Urgences par les médecins généraliste est parfois réalisée par voie téléphonique ou par conseil verbal au patient (de vive voix ou par téléphone). Nous n’avons pas considéré dans l’étude, ce mode de références dès lors qu’il n’était accompagné d’aucune lettre. La qualité de l’interface téléphonique seule est très variable, fonction de l’interlocuteur (médecin, infirmière, secrétaire) et de la transmission de cette information au médecin intervenant (délais, relais, …)
La pertinence du recours au service des Urgences (le fond de la démarche) n’est pas appréciée ici : ce sujet reste controversé, même lors de la démarche initiée par un médecin traitant ; il est au cœur d’une polémique dans laquelle il n’est pas prudent d’entrer ; le traitement dans ce sens, des données recueillies, dépasserait de beaucoup l’ambition et le temps consacré à ce travail
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Physicians --- Physicians' malpractice insurance --- Health services accessibility --- Malpractice
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Plusieurs études ont été réalisées, ces dernières années, sur la communication entre les oncologues médicaux et les médecins généralistes. Elles soulèvent, toutes, l’importance d’une optimalisation de celle-ci dans la qualité de la prise en charge des patients souffrants d’un cancer. Elles montrent également l’impact d’une bonne circulation de l’information entre les généralistes et les oncologues sur le sentiment de qualité de vie avancé par les patients. Elles soulignent aussi les biais qu’il peut y avoir entre les informations considérées comme importantes par les généralistes et le contenu réel des rapports envoyés par les oncologues. Après avoir intégré les enseignements de ces études, j’ai voulu les comparer avec la réalité « communicative » entre les médecins généralistes du centre Ardennes et le service de jour oncologique du Centre Hospitalier de l’Ardenne (CHA) de Libramont. Cette comparaison m’a permis de mettre en œuvre, avec les soutient enthousiaste du docteur Frédéric Froget, oncologue responsable du centre de jour, des pistes concrètes d’optimalisation des informations données, d’une part aux médecins généralistes, d’autres par aux patients eux-mêmes. Ces pistes se dirigent en trois grands axes. Premièrement, le modification de la vitesse d’envoi des lettres de liaison adressées aux médecins généralistes et surtout la modification de leur contenu pour qu’il réponde au mieux aux attentes des médecins de famille. Deuxièmement, la mise en place d’une journée annuelle d’oncologie dans la province Luxembourgeoise. Troisièmement, la rédaction d’un guide destiné au patient suivi par le centre de jour et à sa famille
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Medicare fraud. --- Physicians --- Medical supplies --- Accounting.
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Medical laws and legislation --- Physicians --- Medical personnel --- Patients --- Physicians --- Medical personnel --- Patients
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