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Pharmaceutical preparations --- Pharmaceutical Preparations. --- Pharmacopoeias --- Pharmaceutical Preparations
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The Pharmaceutical Engineering Series is a comprehensive reference for the pharmaceutical professional covering all aspects from quality, documentation and validation through manufacturing processes to facility design and management. In 'Quality', Dr Kate McCormick provides the reader with comprehensive coverage of this vital subject, including the quality life cycle, management and cost of quality, GMP, auditing and inspections. This book with the others in the series will become a unique source of reference and educational material for the readership.
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Technology, Pharmaceutical --- Pharmaceutical Preparations --- Pharmaceutical technology --- Techniques pharmaceutiques --- English.
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Novembre 1962 : la Belgique est sous le choc du procès Softenon®. Suzanne Coipel met au monde, en mai 1962, un bébé lourdement malformé. Effondrée, la mère ne voit sa fille que quatre jour plus tard. Le gynécologue qui suit la patiente refuse de laisser mourir l’enfant. Après un conseil familiale dramatique, madame Coipel décide d’administrer à son enfant un poison mortel, avec la collaboration du médecine traitant. Il s’ensuit un procès d’assise au retentissement international. La 10 novembre, les 5 accusés sont acquittés, y compris le médecin de famille.
Au moment du procès, la cause des malformations est connues : il s’agit du thalidomide commercialisé à l’époque sous le nom de Softenon® et utilisé comme calmant et somnifère£. La nature de la malformation, la phocomélie, est à ce point exceptionnelle qu’une corrélation est rapidement établie avec le médicament en cause.
Depuis la tragédie du thalidomide, l’exposition à un agent extérieur pendant la grossesse suscite de vives inquiétudes au sein du corps médical et du public. Les femmes enceintes expriment leurs réticences et leur inquiétude à prendre des médicaments, certains parfois même indispensables.
Par ailleurs, le médecin généraliste se sent lui aussi embarrassé face à la rédaction d’une prescription. Ce phénomène s’est encore renforcé par l’attitude des laboratoires pharmaceutiques qui, pour se mettre à l’abri d’éventuels problèmes juridiques, émettent des réserves sur l’usage de leur produit pendant la grossesse dans pratiquement toutes les notices. Si dans la plupart des cas, l’inquiétude est largement majorée par rapport aux risque réels, il n’en demeure pas moins que le problème se situe autour :
- de l’importance (en terme quantitatif) de l’exposition médicamenteuse au cours de la grossesse, que ce soit par prescription médicale ou par automédication. En effet, le Lancet [356, 1735 – 1736 (2000)] a publié les résultats d’une étude rétrospective en France, dans laquelle la prescription de médicaments durant toute la durée de la grossesse a été analysée chez 1000 femmes enceintes. En moyenne, 13.6 spécialités différentes ont été prescrites par femme pendant la grossesse. Chez seulement 1% des femmes, aucun médicaments n’a été prescrit !
- d’un manque de données épidémiologiques fiables permettant d’évaluer le risque réel de chaque exposition. En effet, les études scientifiques chez l’animal sont souvent absentes et d’interprétation difficile dans la pratique quotidienne, les études sur l’être humain sont rares, les données cliniques provenant essentiellement de cas isolés.
- d’une difficultés de la bonne circulation de l’information au sein du corps médical et de la population concernée, avec risque de mauvaise interprétation des données. Des médicaments appartenant à la catégorie X ont été prescrits à 1.6% des femmes. Les médicaments de la catégorie D ont été prescrits à 59.3% des femmes et les médicaments pour lesquels on ne dispose pas de données ont été prescrits à 77.5% des femmes.
La femme enceinte et le fœtus sont solidaires sur les plans physiologique et métabolique : le placenta n’est pas une barrière et, excepté les grosses molécules comme l’héparine et l’insuline, tout médicament administré à la mère le traverse et peut avoir des répercussions plus ou moins lointaine sur l’embryon, le fœtus et le nouveau-né. Ainsi l’analyse du risque médicamenteux nécessite une bonne connaissance du calendrier de développement de l’embryon et des paramètres pharmacocinétiques de chaque produit, ainsi que la prise en compte des modifications physiologiques consécutives à l’état de grossesse.
Ce travail se veut une aide à la décision individuelle du praticien face à une problématique bien définir et toujours différente.
Pour ce faire, nous l’avons scindé en trois parties :
- La première partie théorique abordera la pharmacocinétique des périodes à risques, ainsi que les méthodes d’évaluation de ces risques.
- La deuxième partie abordera les familles médicamenteuses, à la façon d’un compendium où les risques de malformations, de toxicité fœtale et de sevrage néonatal seront repris en fonction des données disponibles dans la littérature. La classification FDA sur la toxicité intra-partum est également reprise lorsqu’elle existe et devrait donc permettre au praticien d’évaluer une dernière fois son attitude pratique.
- La troisième partie reprendra la classification FDA seule.
- La quatrième partie abordera le sujet de façon pratique en développant certaines attitudes face à des problèmes particuliers de médecine générale chez la femme enceintes.
La frontière entre art et science est en ce domaine aussi fine et sensible que le sujet est délicat et lourd de conséquences. Si la sagesse prône l’abstention thérapeutique systématique, la réalité nous éloigne constamment de cette situation. Voilà pourquoi nous avons décidé de réaliser ce travail, afin qu’il nous aide à mieux pondérer les risque d’un traitement au cours de la grossesse
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Depuis quelques années les pharmaciens se plaignent de la rédaction des ordonnances médicales, les patients de la non compréhension de leur traitement et du coût des médicaments, et tout cela malgré le temps que l’omnipraticien accorde à la consultation.
Le but principal de cette enquête a été d’identifier les déterminants de ce malaise général en sondant cinquante officines de la région de Charleroi par un questionnaire.
Soixante pour-cent des pharmaciens interrogés ont répondu à l’enquête. Seul un quart des ordonnances médicales semble être correctement rédigées. Les pharmaciens de l’entité de Châtelet sont les plus mécontents sur le rédaction des ordonnances. On constate que les villes où un accord est intervenu entre un groupe de médecins et les pharmaciens locaux obtiennent le taux de satisfaction le plus élevé.
Comment diminuer le coût financier du traitement médicamenteux du patient ? Différentes pistes existent : prescription sous forme de génériques, sous forme DCI. La prescription sous forme DCI est la préférée des pharmaciens interrogés, ce qui est loin d’être l’avis du corps médical ‘l’ABSYM l’a rejetée en bloc).
Une meilleure compréhension des traitements des facteurs conditionnants la rédaction des ordonnances, et la compréhension des traitements devraient permettre l’adaptation du cursus universitaire ainsi que des soirées « GLEM » afin d’assurer une pratique de médecine générale en accord avec les demandes du patient et celle de nos collègues pharmaciens
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