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Mallorca läßt zunächst einmal nicht an deutschsprachige Schriftsteller als Exilanten des Dritten Reiches denken. Doch verschlug es einige von ihnen auch dorthin, so Albert Vigoleis Thelen, Harry Graf Kessler, Franz Blei, Karl Otten, Marte Brill, Erich Arendt, Klaus Mann und Herbert Schlüter. Einmal auf der Insel angelangt, verbrachten sie ihre Exilzeit dort unter unterschiedlichen Umständen und verließen Mallorca spätestens 1936, als der Spanische Bürgerkrieg anfing und sie sich gewissermaßen wieder auf der falschen Seite befanden. Ihre Inselerlebnisse haben sie z.T. auch literarisch verarbeitet: Otten und Thelen in den Romanen Torquemadas Schatten und Die Insel des zweiten Gesichts , Blei in einem Romanfragment mit dem Titel Lydwina und Arendt in Gedichten. In den Emigrantenromanen Der Vulkan und Der Schmelztiegel von Mann und Brill hat sich die Insel ebenfalls niedergeschlagen. Die vorliegende Studie setzt sich das Ziel, dieses unbekannte Kapitel in der deutschen Exilforschung aufzuarbeiten. Dabei werden die näheren Umstände der Exilzeit auf Mallorca beleuchtet und die erwähnten Werke analysiert. Zu einem großen Teil stützt sich diese Studie auf unveröffentlichte Quellen.
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«Ecoutez ; ma vie, c'est la vôtre ; car, vous qui me lisez, vous n'êtes point lancés dans le fracas des intérêts de ce monde, autrement vous me repousseriez avec ennui. Vous êtes des rêveurs comme moi. Dès lors tout ce qui m'arrête en mon chemin vous a arrêtés aussi. Vous avez cherché, comme moi, à vous rendre raison de votre existence, et vous avez posé quelques conclusions. Comparez les miennes aux vôtres. Pesez et prononcez. La vérité ne sort que de l'examen.» (Histoire de ma vie, I, 2). Parue en 1854-1855, Histoire de ma vie a été portée plus de sept ans par son auteur, rédigée vaille que vaille dans une période difficile : au moment où la jeunesse s'enfuit, où le romantisme passe de mode et où les espoirs de 1848 sont abattus pour longtemps. George Sand y dit sa vérité : non pas les petites histoires qu'attendent les curieux, mais «la vie intérieure, la vie de l'âme» de la petite Aurore devenue George. Et Sand ne parle pas que d'elle : amplifiant peu à peu le projet autobiographique, la voix singulière de cette «enfant du siècle» donne aussi corps et gloire à toute une génération. Cette édition reprend près des trois quarts du texte original en privilégiant le récit continu de la vie de l'auteur.
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