Listing 1 - 10 of 14 | << page >> |
Sort by
|
Choose an application
Comme nous l’avons vu dans la première partie de notre travail, l’involution du goitre hyperplasique provoquée par une forte dose d’iode (HID) s’accompagne de la nécrose des cellules folliculaires et d’une réaction inflammatoire chez différentes espèces animales dont la souris. Cette réaction inflammatoire est maximale après 48 heures d’involution chez la souris de souche ICR jeune et après 4 jours chez la C3H.
Le vieillissement de la souris modifie le métabolisme de l’iode et augmente le nombre des follicules froids. Ceux-ci ont un colloïde anormalement dense et sont limités par des cellules aplaties des microvillosités courtes et peu nombreuses, un RER réduit et beaucoup de ribosomes libres. Ces modifications traduisent une perte de la différentiation cellulaire.
Le vieillissement s’accompagne également d’une diminution de la résistance de l’organisme à la plupart des maladies. A cela s’ajoutent des troubles fonctionnels divers et une altération des processus homéostatiques, y compris le système immunitaire. L’immunité T cellulaire semble la plus affectée aussi bien chez l’homme que chez l’animal. Chez la souris, le rapport des lymphocytes CD4/CD8 diminue avec l’âge alors que la fonction des cellules accessoires de l’immunité ne semble pas modifiée. L’effet du vieillissement sur la fonction des lymphocytes B est variable chez la souris, cette fonction peut soit être réduite soit rester inchangée (Miller, 1991).
Dans la suite des travaux déjà effectués dans le laboratoire sur le rôle de l’iode dans l’involution de l’hyperplasie thyroïdienne, nous nous sommes proposés d’analyser les aspects morphologiques du goitre hyperplasique et de son involution ainsi qu’ l’infiltrat inflammatoire qui l’accompagne chez la souris âgée en comparaison avec la souris jeune. Nous avons utilisé deux souches de souris, toutes deux connues dans le laboratoire et dont l’une avait déjà fait l’objet d’études dans le cadre du vieillissement.
Goiter --- Mice --- Thyroiditis, Autoimmune
Choose an application
Chromosome Mapping --- Rats --- Genetic Markers --- Mice --- genetics
Choose an application
Housing conditions. --- Housing. --- Laboratory animals. --- Laboratory mice. --- Laboratory. --- Mice. --- Preference test. --- Preference. --- System. --- Test. --- Validation.
Choose an application
Mice --- Embryos --- Congresses --- Development --- Developmental cytology --- Physiology --- Mice - Embryos - Congresses. --- Mice - Development - Congresses. --- Developmental cytology - Congresses. --- Mice - Embryos - Physiology - Congresses. --- EMBRYO --- GENE EXPRESSION --- MICE --- POSTIMPLANTATION PHASE --- GROWTH AND DEVELOPMENT --- CONGRESSES --- EMBRYOLOGY --- PHYSIOLOGY
Choose an application
Mice --- Histology --- Souris --- Histologie --- Embryos --- Anatomy --- Atlases --- Embryons --- Anatomie --- Atlas --- Animal embryology and growth --- Zoomorphology. Zooanatomy --- Mammals --- Histology. Cytology --- General embryology. Developmental biology --- embryology --- Monograph --- Mice - embryology - atlases
Choose an application
Le gène MAGE-1 encode un antigène de rejet tumoral défini par un clone de lymphocytes T cytolytiques autologues sur une lignée de mélanome humain. Ce gène est exprimé dans de nombreuses lignées de cellules tumorales mais semble silencieux dans la plupart des tissus normaux étudiés. Un gène de souris homologue au gène humain mage-1 a été cloné afin de pouvoir étudier systématiquement l’expression d’un gène apparenté dans les tissus normaux SMAGE-1 (Souris-MAGE) dans des lignées cellulaires et dans des tissus normaux de souris et de rat.
L’expression du gène SMAGE-1 est évidente par analyse en Nothern blot dans quelques lignées dérivées de cellules tumorales ou embryonnaires. Elle est indétectable par cette technique dans tous les tissus normaux testés, qu’ils proviennent d’animaux adultes ou d’embryons. En utilisant une technique de détection beaucoup plus sensible comme le test de protection aux ribonucléases, l’expression du gène SMAGE-1 est faible dans des embryons de 11 à 15 jours, et très faible dans près de la moitié des organes adultes testés. Ces derniers incluent le cerveau, le cœur, les poumons, le placenta, la rate et le thymus. Une grande hétérogénéité d’ARNm contenant une séquence SMAGE-1 a été observée dans la rate et dans le thymus.
Ces observations suscitent de nouvelles études structurelles qui permettront de définir une famille de gènes de souris SMAGE homologue à la famille des gènes humains MAGE. Elles permettent aussi d’élaborer des hypothèses relatives à la fonction toujours énigmatique de ces gènes.
T-Lymphocytes --- Gene Expresssion --- Clone Cells --- Medical Laboratory Science --- Mice --- MAGEA1 protein, human
Choose an application
Abnormal behaviour. --- Behaviour. --- Design. --- Feral. --- Genetic. --- Guinea-pig. --- Hamster. --- Laboratory animals. --- Laboratory. --- Mice. --- Rat. --- Rodent. --- Rodents.
Choose an application
Embryonic and Fetal Development --- Gene Expression --- Genes, Homeobox --- Mice --- Mesoderm --- genetics --- physiology --- embryology --- metabolism
Choose an application
gene expression --- Escherichia coli --- Saccharomyces cerevisiae --- Aspergillus nidulans --- Immunology --- Mice --- Cytokines
Listing 1 - 10 of 14 | << page >> |
Sort by
|