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Femmes --- Women --- Women --- Conditions sociales. --- Social conditions. --- Social conditions.
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Civilization. --- Dagelijks leven. --- Manners and customs. --- Romeinse keizertijd. --- Social conditions. --- Rome (Empire). --- Rome --- Rome --- Rome --- Civilization. --- Social conditions. --- Social life and customs.
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Démocratie --- Institutions politiques --- United States --- United States --- Politics and government --- Social conditions
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Jews --- Juifs --- Galicia (Poland and Ukraine) --- Galicie (Pologne et Ukraine) --- Economic conditions. --- Social conditions. --- Conditions sociales. --- Conditions économiques.
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"La Nouvelle Carthage raconte l’histoire de Laurent Paridael, à Anvers, dans la seconde moitié du siècle dernier. La fiction peut être située dans le temps, parce qu’on fait référence, plus ou moins explicitement, à des événements réels. [...] Le roman commence par le récit de l’enterrement du père de Laurent. Le jeune garçon est pris en charge, à partir de ce moment-là, par un cousin du défunt, Guillaume Dobouziez, qui assure la fonction de tuteur. Alors que le père de Laurent était un modeste commis, le cousin Dobouziez est un industriel aisé qui dirige une usine de bougies stéariques à Borgerhout, un faubourg industriel d’Anvers. Guillaume Dobouziez a une fille unique, Régina, encore appelée Gina. Dès le départ, Laurent se sent mal à l’aise dans ce nouveau milieu où il est la risée de la domesticité qui le considère comme «un quart de Monsieur». Pour sa cousine il éprouve alternativement de la haine ou du désir. Le roman raconte les ruptures successives de Laurent avec ce milieu bourgeois qu’il honnit et la manière dont il découvre progressivement le reste de la ville et sa population laborieuse. Devenu adulte, toutes ses rancœurs se focaliseront sur Freddy Béjard, un parvenu au passé douteux qui a réussi à étendre son pouvoir dans le domaine des affaires et de la politique et qui a épousé sa cousine Gina. Sa haine atteint son paroxysme un jour de carnaval où il découvre à la fois que Béjard fait fortune en transportant des émigrés vers l’Amérique sur des bateaux promis au naufrage et que, déloyal vis-à-vis de sa femme, il la rend malheureuse. Laurent, fou d’amour impuissant, forme le projet de tuer Béjard. Dans la version de 1888, il le tue effectivement après l’avoir attiré dans un guet-apens. Dans la version définitive, a la fin du roman, Béjard, qui cherche à rétablir sa fortune, tente de faire des profits douteux en récupérant, pour la vendre, la poudre que contient un lot de cartouches achetées à vil prix. A cet effet, il a fait édifier hâtivement un ensemble de constructions, dans une zone dangereuse, où on confie l’opération à des enfants inexpérimentés. Laurent assiste horrifié à l’explosion accidentelle de ce que les jeunes travailleurs appellent « la cartoucherie Béjard ». Distinguant celui-ci, qui tente de fuir, poussé par un désir de vengeance très complexe, au mépris de sa propre vie, il le ramène au lieu d’où l’explosion s’est propagée. En cette extrémité, lit-on, il n’adressait qu’une prière à Dieu : celle de ne mourir qu’après avoir tué Béjard.Les dernières lignes du roman évoquent «Deux ombres étroitement enlacées» qui s’abattent «au milieu d’un lac de feu» après avoir été projetées dans les éclairs par «une explosion suprême». Pour le lecteur, la mort de Laurent ne fait guère de doute. Le roman commence au moment où celui-ci devient orphelin et se termine avec sa mort."
Belgian fiction (French) --- Rare books --- Roman belge (français) --- Livres rares --- Antwerp (Belgium) --- Antwerp (Belgium) --- Antwerp (Belgium) --- Antwerp (Belgium) --- Anvers (Belgique) --- Anvers (Belgique) --- Anvers (Belgique) --- Anvers (Belgique) --- History --- Social conditions --- Emigration and immigration --- Histoire --- Conditions sociales --- Emigration et immigration
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