Listing 1 - 10 of 18 | << page >> |
Sort by
|
Choose an application
"Enseigner signifie instruire et éduquer un collectif d'élèves. Pour faciliter l'enseignement, il importe de prendre appui sur les données issues des recherches rigoureuses en éducation et de s'éloigner des idées préconçues et des pseudo-approches pédagogiques dites efficaces. En prenant résolument le parti de la recherche empirique, le présent livre offre des réponses à 11 questions qui touchent directement l'enseignement, et ce, tant sur le plan théorique que sur le plan pratique. Un enseignant peut-il être efficace dans tous les contextes? Doit-il varier son enseignement? Quelles sont les limites des communautés d'apprentissage professionnelles? Quels sont les effets des technologies et de l'enseignement virtuel sur le rendement des élèves, avec ou sans pandémie? Pourquoi et comment consolider les apprentissages? Pourquoi faut-il enseigner explicitement les comportements? Voici des questions auxquelles le lectorat trouvera réponse dans cet ouvrage. Les constats qu'on peut en tirer permettront d'entrevoir les défis des enseignantes et enseignants d'aujourd'hui et d'anticiper ce dont sera faite la pédagogie de demain."--Quatrième de couverture.
Enseignement explicite --- Direct instruction. --- Teaching. --- Teaching --- Direct instruction
Choose an application
Assurer un enseignement de qualité pour permettre à un maximum d’élèves de rencontrer du succès durant leur parcours scolaire, et ce, indépendamment de leur milieu d’origine, est la finalité de tout système éducatif (OCDE, 2013). Pourtant, selon les enquêtes PISA, les résultats des élèves issus de familles populaires sont plus faibles que ceux des élèves favorisés (OCDE, 2013). Or, par les pratiques qu’il implémente en classe, le professeur va favoriser ou non les apprentissages et la réussite scolaire (Bost & Riccommini, 2006, cités par Bissonnette et al., 2010). Ainsi, de nombreuses études se sont penchées sur l’analyse des pratiques enseignantes pour identifier celles susceptibles d’améliorer les apprentissages (Good & Grouws, 1979 ; Grossman et al., 2013 ; Rosenshine & Stevens, 1986 ; Hattie, 2009). Elles s’accordent sur le rôle prépondérant du professeur durant les leçons. Singulièrement, un enseignement structuré, envisageant de manière minutieuse la progression dans les apprentissages en partant du simple vers le complexe, permettrait d’engendrer des gains plus importants que les approches par découverte qui préconisent plutôt une entrée par la complexité (Guilmois, 2019). L’objectif principal de ce mémoire de comparer l’efficacité d’un dispositif de l’enseignement explicite aux pratiques habituelles de classe pour une notion dont l’apprentissage est particulièrement problématique chez les élèves de troisième secondaire en mathématiques : la factorisation d’expressions algébriques. Dans cette perspective, un dispositif d’enseignement/apprentissage a été élaboré selon les étapes du modèle « PIC » de l’enseignement explicite qui s’appuie sur des travaux de recherche en éducation menés durant les 40 dernières années (Gauthier et al., 2013). Les trois lettres « PIC » résument les trois étapes clés de l’intervention : la préparation (P), l’interaction avec les élèves (I) et la consolidation (C). L’efficacité de ce dispositif sera envisagée en fonction de la qualité des séances d’enseignement/apprentissage proposées par l’enseignant et des progrès cognitifs réalisés par les élèves. L’intérêt de cette recherche est de déterminer si l’enseignement explicite peut permettre aux élèves d’atteindre un niveau de maitrise élevé lorsqu’ils sont amenés à factoriser des expressions algébriques. Cette préoccupation est cruciale dans le sens où cette notion est abondamment employée dans les années suivantes de leur cursus scolaire et que, selon Vogel (2008), un élève doté de compétences solides en mathématiques, spécialement en algèbre, est davantage susceptible de rencontrer du succès dans sa future carrière.
Choose an application
Les chercheurs Gauthier et Bissonnette présentent les stratégies pédagogiques les plus efficaces qui sont au cœur du travail du personnel enseignant. Leur ouvrage constitue une synthèse des recherches sur l’efficacité de l’enseignement et des écoles qu’ils ont menées depuis plus de 30 ans, ainsi que des nombreuses publications qui y sont associées. Les auteurs expliquent d’abord leur modèle conceptuel de l’enseignement efficace, puis cernent au chapitre 1 ce qu’ils appellent l’« esprit » de l’enseignement explicite. Les trois chapitres suivants proposent 40 stratégies pédagogiques efficaces à utiliser tant au niveau de la classe que de l’école. Ces stratégies sont regroupées en fonction des trois dimensions indispensables liées à l’enseignement efficace : le curriculum, l’enseignement des contenus proprement dit et, enfin, la gestion des comportements. Chaque stratégie est décrite à partir des mêmes rubriques : Définition, Justification et illustration en classe, Données probantes, Références, Pour en savoir davantage. Le chapitre 5 présente sous forme de tableaux une synthèse des stratégies à privilégier et des erreurs à éviter lorsque l’enseignante ou l’enseignant donne une leçon. Finalement, le chapitre 6 s’intéresse à l’école et à la gestion des services offerts aux élèves. Les acteurs de l’éducation trouveront dans ce référentiel les bonnes pratiques qui contribueront à améliorer l’enseignement et la réussite des élèves, et ce, du préscolaire à la fin du secondaire.
Teaching. --- Direct instruction. --- Classroom management. --- Pédagogie. --- Enseignement explicite. --- Classes (éducation) --- Conduite.
Choose an application
La résolution de problèmes mathématiques est au centre de nombreuses recherches car les résultats aux épreuves organisées en Fédération Wallonie-Bruxelles montrent des faiblesses chez les élèves à l’école primaire. Les chercheurs mettent en évidence des facteurs d’ordre motivationnels ou émotionnels qui influencent les performances des élèves. Les différents types de motivation de la théorie de l’autodétermination (Deci & Ryan, 2008), motivation autodéterminé et non-autodéterminée, ont une influence sur les émotions et sur les performances des élèves. Sarrazin, Tessier et Trouilloud (2006) détaillent les moyens d’augmenter la motivation intrinsèque. La métacognition est considérée comme un facteur favorable à la réussite en mathématique (Berger, 2015). Improve (Mevarech, 1985) et Solve it ! (Montague, 2003) sont des pédagogies métacognitives qui s’adaptent parfaitement à la résolution de problèmes mathématiques. De plus, la métacognition donne des résultats positifs sur l’augmentation de la motivation intrinsèque (Mevarech & Kramarski, 2014). La persévérance est un corrélée positivement aux stratégies cognitives et métacognitives (Verschaffel, Greer, & De Corte, 2000) et est une condition préalable fondamentale à la performance mathématiques (Fiedler & Beier,2014), pour leur part, présentent la persévérance comme une condition préalable fondamentale à la performance académique. Les émotions font partie entière des apprentissages, elles peuvent être positives ou négatives. Pekrun (2006) réalise un modèle des émotions d’accomplissements ; celles-ci sont influencées notamment par la valeur accordée à la tâche et aux résultats de celle-ci par l’élève. Les émotions d’accomplissements sont également soumises au contrôle que l’apprenant pense avoir dessus. L’enseignement explicite est reconnu pour permettre un apprentissage plus complet auprès des élèves. Il est essentiel pour enseigner des stratégies métacognitives aux élèves. La méthode Solve it ! propose une approche métacognitive dans un travail coopératif. L’enseignement réciproque est une forme de travail coopératif. Il permet aux élèves de s’entraider en explicitant à haute voix leurs démarches (Palincsar & Brown, 1984). Cette recherche a pour but : -de mesurer les effets d’un enseignement explicite de stratégies métacognitives de résolution de problèmes, utilisées dans un enseignement réciproque combiné avec un travail sur les compétences émotionnelles et -de les comparer à l’utilisation de ces mêmes stratégies dans un enseignement réciproque sans travail spécifique sur les émotions. Les élèves concernés sont des élèves du cycle 4 soit de 5e et 6e primaire de la FWB.
Choose an application
Aujourd’hui, la lecture est un élément pivot et central de l’enseignement mais aussi de la vie quotidienne : nous sommes constamment mis en présence avec l’écrit et cela sous toutes ses formes. Néanmoins, et cela tout au long de leur scolarité, nos élèves se retrouvent confrontés à de nombreuses difficultés en compréhension de l’écrit telles que reconnaître la structure du texte, pouvoir produire du sens ou faire des inférences de haut niveau. Une méconnaissance des stratégies de compréhension permet d’expliciter en partie ce constat. Mais un manque de maîtrise des stratégies méta cognitives vient renforcer cette situation peu enviable. Les élèves ayant le plus de difficultés en compréhension de l’écrit sont ceux qui ne s’auto évaluent pas et ne s’autorégulent pas dans leurs apprentissages. Cependant, de nombreux chercheurs certifient que l’enseignement explicite de la compréhension de l’écrit est favorable à tous les élèves et particulièrement aux plus faibles, et ce pour tous les niveaux scolaires de l’enseignement (Lima, 2017). Les enseignants francophones reconnaissent ne pas enseigner la compréhension en lecture mais plutôt l’exercer. De plus, ceux-ci concèdent également ne pas enseigner régulièrement les stratégies de compréhension de l’écrit (Schillings, Hindryckx, Dupont, Matoul, & Lafontaine, 2012). Dans cette perspective, nous avons donc expérimenté un dispositif d’enseignement explicite en compréhension de lecture des textes informatifs dans le cycle 4 de l’enseignement fondamental. Cet enseignement en compréhension de l’écrit est constitué d’un double concept : d’une part l’enseignement explicite et d’autre part les stratégies en compréhension de l’écrit. Ces dernières regroupent un ensemble de stratégies diverses et variées telles que les structures de textes, l’inférence, la linguistique ou la métacognition. Il est toutefois nécessaire d’être particulièrement prudente lors de l’interprétation des résultats obtenus. L’éclairage de nombreuses recherches à ce sujet, dont celles de Rosenshine ou de Bianco & Bressoux, (as cited in Bianco, 2015) entre autres, nous permettent de les nuancer grâce à leurs résultats probants et convergents.
Choose an application
Effet d’un dispositif visant l’apprentissage explicite de modèles schématiques d’aide à la résolution de problèmes sur les performances d’élèves issus de l’enseignement spécialisé Dans les Socles de compétences, une place importante est accordée à la résolution de problèmes mathématiques. Il s’agit toutefois d’une tâche communément jugée difficile pour de nombreux élèves. Fagnant et Vlassis (2010), entre autres, pensent qu’amener les apprenants à construire une représentation (mentale ou externe) permet d’améliorer leurs performances en résolution de problèmes. Plusieurs études (dont Diezmann, 2002) ont d’ailleurs montré que recourir à des représentations schématiques pouvait aider les élèves dans ce domaine, mais qu’il était nécessaire de leur apprendre à les construire. La littérature anglo-saxonne fait état de plusieurs recherches se questionnant sur l’efficacité de ce type d’approche avec des élèves aux caractéristiques particulières. Par exemple, Van Lieshout (1986, cité par Gutstein & Romberg, 1995) a constaté qu’un enseignement explicite de schématisations constitue une aide efficace pour les élèves, en ce compris les « learning-disabled children ». La polysémie des termes utilisés dans cette littérature ne permet toutefois pas d’identifier clairement les types d’élèves concernés dans les différentes études. Cela nous amène à nous demander si ces constats sont transposables aux élèves issus de notre enseignement spécialisé. Ce mémoire a la volonté d’éclairer la question en testant l’effet d’un apprentissage explicite de schémas sur les capacités de résolution de problèmes d’élèves issus de l’enseignement spécialisé. Pour ce faire, un dispositif quasi-expérimental en quatre étapes (pré-test, intervention, post-test et post-test différé) a été mis en œuvre. Un groupe expérimental et un groupe contrôle ont été constitués.
Choose an application
Depuis 2017, une équipe de chercheurs de l’Université de Liège teste les effets de l’implémentation du programme Parler Apprendre Réfléchir Lire Ensemble pour Réussir en Fédération Wallonie-Bruxelles. Ce programme poursuit l’objectif de prévenir les difficultés d’apprentissage de la lecture (Zorman et al., 2015). Dans le cadre de ce projet, nous construisons un nouvel outil didactique. Celui-ci prône la mise en œuvre des recommandations formulées par le What Works Clearinghouse, qui consistent notamment à enseigner des stratégies de compréhension par le recours à un enseignement explicite et à proposer des contextes de lecture authentiques et motivants (Shanahan et al., 2010 ; Slavin, 2008). L’outil didactique se voit donc confier la mission d’accompagner les enseignants dans l’adoption de ces pratiques et, partant, de soutenir leur développement professionnel. Cet objectif ne peut être atteint qu’à la condition qu’ils fassent usage de l’outil. Une démarche de conception à la fois technocentrique et anthropocentrique favorise l’élaboration d’un instrument didactique acceptable (Goigoux et al., n. d.). Une telle démarche se fonde sur une analyse de l’activité des utilisateurs en amont de l’usage et dans celui-ci (Béguin & Cerf, 2004). Pareillement, elle se consacre à l’étude du processus d’acceptabilité/acceptation des innovations d’un point de vue prédictif d’abord, d’un point de vue situé ensuite (Bobillier- Chaumon, 2016). Elle est donc « continuée dans l’usage » (Goigoux et al., n. d., p. 1). Le présent travail de recherche décrit la mise en œuvre des premières étapes de cette démarche. Nous avons d’abord dressé le modèle de l’utilisateur, une représentation des croyances, des connaissances et des pratiques des enseignants du cycle 2 de la FW-B relatives aux principes sur lesquels repose notre outil didactique. Cela nous a conduit à constater l’écart important qui sépare les pratiques habituelles des enseignants des recommandations de la recherche en matière d’enseignement de la compréhension de la langue. Nous avons également identifié des potentialités de développement, des patterns d’activité plus proches de ces recommandations. Nous avons ainsi délimité un espace dans lequel les enseignants, confrontés à l’outil didactique et soutenus par celui-ci, pourraient évoluer, au cours de genèses instrumentales, vers la mise en œuvre des pratiques préconisées (Jorro & Pana- Martin, 2012 ; Rabardel, 1995, 1997). L’étape suivante concerne l’étude du caractère a priori acceptable d’un premier prototype de l’outil (Bobillier-Chaumon, 2016 ; Bobillier-Chaumon & Dubois, 2009). En mettant en parallèle une évaluation de son utilisabilité, de son utilité et de son acceptabilité (Tricot et al., 2003) avec les constats issus du modèle de l’utilisateur, nous avons pu discerner des pistes pour l’amélioration de ce prototype. Nous avons également formulé des hypothèses sur son acceptation située, hypothèses que nous avons illustrées dans un modèle de l’acceptation propre à notre outil didactique.
Choose an application
Savoir écrire est un objectif primordial pour les élèves : il leur permet non seulement de réussir leur parcours scolaire, mais aussi de s’inscrire dans un environnement social, et plus tard professionnel. A l’école primaire, bien que les enseignements couvrent adéquatement les savoirs syntaxiques, la cohérence entre les phrases et la réflexion sur le fonctionnement de la langue dans des situations chargées de sens sont considérées comme « le parent pauvre dans la plupart des classes » (rapport du service général de l’inspection en FW-B, 2012). On y relève également un manque de synthèses à disposition des élèves ou de référents muraux portant sur la méthodologie de l’écrit et la cohérence d’un texte. Les inspecteurs pointent aussi le fait que les enseignants privilégient davantage le produit fini que l’amélioration des compétences. Produire un écrit est « un jeu complexe d’opérations » (Mas, 1991) dont les différentes opérations doivent être enseignées : Planifier (à qui et à propos de quoi écrit-on ?) — Mettre en texte (Comment écrire ?) — Réviser (se relire, réécrire). Afin que ces différentes opérations aient du sens pour de jeunes élèves, il est important de leur offrir de multiples opportunités d’écrire dans des situations les plus réelles possibles. Autant de compétences qui doivent être enseignées (Mons, In: CNESCO, Conférence de consensus, 2018). Ce mémoire présente une expérimentation des ateliers d'écriture selon la conception de Lucy Calkins au sein d’une classe de troisième primaire. Dans chaque atelier, la première étape consiste à enseigner explicitement des stratégies et techniques d’écriture qui sont ensuite écrites sur des référents muraux. Au cours de la deuxième étape, pendant que les élèves racontent par écrit des moments vécus en s’aidant des référents muraux, l’enseignant s’entretient avec certains afin de leur fournir des rétroactions. En analysant leurs écrits, nous tenterons de percevoir si ces deux formes d’aides ont un impact positif sur les habiletés d’écriture des élèves.
Choose an application
La résolution de problèmes mathématiques est au centre de nombreuses recherches. En Fédération Wallonie-Bruxelles, les résultats aux épreuves externes montrent des faiblesses chez les élèves à l’école primaire. Cette recherche est née de ce constat et de mon expérience professionnelle dans l’enseignement primaire. Cette étude s’intéresse à l’efficacité de la méthode de Singapour en résolution de problèmes pour les élèves de première et de sixième années primaires. Pour ce faire, nous avons conçu une méthodologie alliant l’enseignement explicite et la méthode de Singapour dans le but de travailler les partages inégaux en sixième primaire. Par la suite, nous avons enrichi notre réflexion théorique et méthodologique afin d’élargir notre problématique en première primaire. Nous avons alors abordé les problèmes additifs selon la version française de la méthode de Singapour et nous l’avons comparé à une méthode plus traditionnelle. Notre recherche propose la réflexion suivante. Un enseignement dispensé selon la méthode de Singapour pourrait être efficace pour l’apprentissage et la réussite d’une majorité des élèves. Cette méthode développe un enseignement explicite qui est lui-même efficace pour les élèves lorsqu’il est correctement mis en place. Dans le but d’améliorer les résultats des élèves en mathématiques, la méthodologie proposée dans le cadre de ce travail semble être un bon compromis. Les facteurs que nous avons relevés pour la mettre en œuvre sont, notamment : -les schématisations progressives et l’approche proposant les représentations du concret à l’abstrait, tel que proposé par la méthode de Singapour ; -un modèle d’enseignement explicite avec ses trois étapes essentielles, à savoir le modelage, la pratique guidée et autonome, ainsi qu’un étayage approprié. Enfin, nous proposons une discussion qui présente les prolongements possibles pouvant promouvoir cette méthodologie auprès des acteurs de l’enseignement.
Choose an application
Au travers des différentes recherches liées à la production de l’écrit, de nombreuses études rendent compte de la complexité de la production écrite (Blain & Lafontaine, 2010), tâche cognitive aux nombreuses facettes. Roussey et Piolat (2005) avancent également que l’exercice de révision est peu effectué par les jeunes scripteurs et que par conséquent, le contrôle de la tâche s’exerce principalement quand ceux-ci se concentrent sur des erreurs de surface plutôt que sur des erreurs globales. Stratégies et processus de révision semblent alors essentiels pour atteindre ce but de cohérence textuelle. Selon Bisaillon (1989), l’apprentissage de stratégies devrait ainsi permettre aux élèves d’améliorer leur production. C’est donc ici que réside l’intérêt pour cette recherche. Au travers de cette analyse de cas, notre objectif est d’examiner les commentaires prodigués par les élèves lors des interactions en dyade à la suite d’un enseignement explicite de stratégies de révision et d’analyser si ces conseils permettent in fine d’améliorer les différentes productions textuelles au niveau de la cohérence textuelle. Pour répondre à cet objectif, nous avons mis en place le dispositif de révision inspiré de l’étude de Allal (2015) présentant le « Modèle de co-régulation des apprentissages ».
Listing 1 - 10 of 18 | << page >> |
Sort by
|