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« C’est la consécration d’une gloire que de parler sans cesse d’elle comme on parle de celle des écrivains grecs ou latins ou des grands classiques français. La mémoire de Stendhal en doit être bien aise. Stendhal eut, en effet, le courage, pour la défense de ses théories, d’affronter toutes les opinions reçues et acceptées de ses contemporains. Il a dit lui-même qu’il désirait sur son compte la vérité la plus entière et la plus âpre. Il aimait la critique parce qu’il était animé d’un orgueil : celui de remplir noblement et le plus intellectuellement sa tâche. »
Stendhal, --- Appréciation --- Stendhal --- Appréciation.
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La lecture de L’Étranger tient du rite d’initiation. Partout dans le monde, elle accompagne le passage à l’âge adulte et la découverte des grandes questions de la vie. L’histoire de Meursault, cet homme dont le nom même évoque un saut dans la mort, n’est simple qu’en apparence, elle demeure aussi impénétrable aujourd’hui qu’elle l’était en 1942, avec ses images à la fois ordinaires et inoubliables : la vue qui s’offre depuis un balcon par un dimanche d’indolence, les gémissements d’un chien battu, la lumière qui se reflète sur la lame d’un couteau, une vue sur la mer à travers les barreaux d’une prison. Et ces quatre coups de feu tirés en illégitime défense.Comment un jeune homme, qui n’a pas encore trente ans, a-t-il pu écrire dans un hôtel miteux de Montmartre un chef-d’œuvre qui, des décennies après, continue à captiver des millions de lecteurs?Alice Kaplan raconte cette histoire d’une réussite inattendue d’un auteur désœuvré, gravement malade, en temps d’occupation ennemie. «J’ai bien vu à la façon dont je l’écrivais qu’il était tout tracé en moi.» Le lecteur repère les premiers signes annonciateurs du roman dans les carnets et la correspondance de Camus, traverse les années de son élaboration progressive, observe d’abord l’écrivain au travail, puis les mots sur la page, accompagne l’auteur mois après mois, comme par-dessus son épaule, pour entendre l’histoire du roman de son point de vue. En quête de L’Étranger n’est pas une interprétation de plus : c’est la vie du roman.
Camus, Albert, --- Appréciation. --- Appreciation.
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Art appreciation. --- Art --- Appréciation.
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Poetry --- Appreciation.
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Martial --- Appreciation
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How do people make sense of works of art? And how do they write to make others see the same way? There are many guides to looking at art, histories of art history and art criticism, and accounts of various 'theories' and 'methods', but this book offers something very unlike the normal search for difference and division: it examines the general and largely unspoken norms shared by interpreters of many kinds. Ranging widely, though taking writing within the Western tradition of art history as its primary focus, Interpreting Art highlights the norms, premises, and patterns that tend to guide interpretation along the way. Why, for example, is the concept of artistic 'intention' at once so reviled and yet so hard to let go of? What does it really involve when an interpretation appeals to an artwork's 'reception'? How can 'context' be used by some to keep things under control and by others to make the interpretation of art seem limitless? And how is it that artworks only seem to grow in complexity over time? Interpreting Art reveals subtle features of art writing central to the often unnoticed interpretative practices through which we understand works of art. In doing so, the book also sheds light on possible alternatives, pointing to how writers on art might choose to operate differently in the future.
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A music appreciation compilation of Connexions authors.
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