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Socialism and Apocalyptic" introduces political theology and the posthumous work of Otto Bauer (1897-1986). Bauer himself was from 1927 to 1934 chairman of the Federation of Religious Socialists (BRS) in Austria. His posthumous writings have been unpublished to date and represent an attempt at a politicaltheology whose theological and philosophical interrelationshipsdepict a specific interpretation of apocalyptic.
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Erik Peterson (1890-1960) est surtout connu en France pour sa controverse avec Carl Schmitt sur la théologie politique. Ce livre élargit le champ de vision. Derrière la critique de la théologie politique, il présente une dogmatique, une ecclésiologie, une angélologie dont la dimension politique est constitutive. Car s'il n'y a pas de théologie politique, toute théologie, en revanche, est politique. Tout Peterson tient dans ce paradoxe, qui a mené le théologien à la recherche de modalités constitutives du pouvoir, inscrites dans les opérations du droit et de la liturgie. Première présentation d'ensemble de Peterson pour le public francophone, ce volume rend compte de l'intérêt que l'oeuvre du théologien ne cesse de susciter en dehors de la théologie. l'Eglise comme institution, l'institution comme vérité du religieux et métonymie du social : ces postulats, qui ont présidé à la naissance de la sociologie, ont été simultanément travaillés par la théologie. Aujourd'hui, avec Peterson, ce travail théologique agit en retour sur les sciences sociales, d'une façon qui fait de ces dernières de nouvelles actrices et de possibles transformatrices du débat sur la théologie politique.
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Public theology. --- Theology, Doctrinal --- Political theology
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Public theology. --- Theology, Doctrinal --- Political theology
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L'expression « théologie politique » n'a jamais été utilisée en tant que telle par les théologiens chrétiens. Elle n'apparaît pour la première fois que dans le titre d'un ouvrage majeur de la philosophie du XVIIe siècle, le « Traité théologico-politique » de Spinoza. L'intention de son auteur était de conjoindre la souveraineté et la liberté de pensée, et par là même de régler le « problème théologico-politique ». Il faut attendre l'anarchiste Bakounine, au XIXe siècle, pour « réhabiliter » la théologie politique à des fins révolutionnaires, puis pour dénoncer le déisme de Mazzini. En 1922, en rédigeant son premier texte sur la théologie politique, Carl Schmitt prend le contre-pied de l'anarchisme révolutionnaire. Avec le juriste rhénan, la théologie politique est désormais identifiée à la théorie de la souveraineté. C'est par une formule lapidaire, devenue célèbre, qu'il commence son essai : « Est souverain celui qui décide de la situation exceptionnelle. » Dès la fin du IIe Reich, puis dans le context de la république de Weimar, tout le projet intellectuel de Schmitt est d'articuler sa théorie du droit et du politique à une structure de pensée théologico-politique. Le problème de la démocratie libérale est son incapacité à disposer dune véritable théorie de la représentation, en raison de l'individualisme inhérent à la pensée libérale. Face à cette impuissance, le catholicisme, par sa structure ecclésiologique, offre au contraire tous les critères de la représentation politique et de la décision. Les textes que Bernard Bourdin présente dans ce volume, parus entre 1917 et 1944, sont des plus explicites s'agissant de ces aspects de la théorie schmittienne : institution visible de l'Église, forme représentative et décisionnisme. Ils mettent de surcroît en évidence la double ambivalence de la pensée de Schmitt dans son rapport au christianisme (catholique) et à la sécularisation. En raison de son homologie de structure entre Dieu, État et Église, la nécessité d'une transcendance théologico-politique plaide paradoxalement pour une autre approche d'une pensée politique séculière. Ambivalence qui ne sera pas non plus sans équivoque.
Religious studies --- Political theology --- Théologie politique --- Théologie politique
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Political theology --- Social contract --- Democracy --- Political science --- Philosophy
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Papacy --- Political theology --- Papauté --- Théologie politique --- History --- Histoire --- Pius
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Le « théologico-politique », c’est l’idée selon laquelle au « fond » des choses politiques, il y a toujours quelque chose de religieux : quelque chose ayant à voir avec notre rapport au sacré. Même à l’heure où la politique moderne s’est « sécularisée » (séparée des pouvoirs religieux) et où les références religieuses, parfois présentes en elle, ont infiniment moins de poids que par le passé, la pensée théologico-politique est formelle : le fond de l’affaire serait encore et toujours « religieux ».Depuis une trentaine d’années, le théologico-politique est en plein triomphe dans la philosophie contemporaine. Très au-delà de la mode « Carl Schmitt », c’est une vague qui passe par Giorgio Agamben, Charles Taylor, le dernier Jürgen Habermas, le dernier Richard Rorty… et qui fait revivre, aussi, certaines œuvres du passé : celles de Jacob Taubes et d’Eric Voegelin, ou certains écrits de Karl Jaspers. Toute une myriade d’auteurs contemporains la nourrit (Gianni Vattimo, Marcel Gauchet, Luc Ferry…), non sans échos à un air du temps général (dont témoigne, par exemple, le succès des thèses de René Girard).Alors que l’histoire politique moderne avait fini par accomplir le désir de Spinoza d’une rupture avec le théologique – désir formulé dans son Traité théologico-politique de 1670 –, voilà que le théologique est à nouveau présenté comme le secret caché du politique. Et c’est d’autant plus troublant que les années 1960 et 1970 avaient énergiquement combattu la tentation d’affirmer, dans les choses politiques, une détermination « en dernier ressort », de quelque nature que ce soit.Le théologico-politique, aussi « renouvelé » soit-il aujourd’hui, est une imposture. Une démesure de la pensée, qui force les réalités politiques pour imposer sa « thèse ». Et ce triomphe parle non des choses politiques, mais de la philosophie. De ses désirs à elle, rarement tout à fait éteints, d’atteindre une toute-puissance théorique, c’est-à-dire un savoir total sur l’histoire : sur sa direction, sur sa véritable « ressource », sur son prétendu « fond ».Voilà ce que montre ce livre. Mais il propose aussi une enquête : pourquoi cette quête de toute-puissance théorique a-t-elle resurgi, à ce moment-là de notre histoire philosophique et de notre histoire tout court ?
Religion et politique. --- Théologie politique. --- Political theology --- Political science --- Religion and politics --- Théologie politique --- Political theology.
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Durant ces trente dernières années, Myriam Yardeni a étudié l’histoire des huguenots : migrations, intégration, persécutions religieuses, développement intellectuel et relations interreligieuses. Cet ouvrage est un recueil d’études sur les mentalités de minorités religieuses, et plus particulièrement sur celle des huguenots de l’époque moderne (XVIe-XVIIe siècle). Myriam Yardeni a sélectionné dix-neuf articles en français et en anglais qui traitent de ce sujet sous différents aspects : des débuts du calvinisme et de la pensée théologique de Calvin aux attitudes huguenotes vis-à-vis de John Toland, en passant par des théologiens et savants huguenots de la fin du XVIe siècle tels que Théodore de Bèze et Philippe Duplessis-Mornay. Un accent particulier est mis sur les relations entre huguenots et juifs ainsi que sur le lien entre la politique et la théologie
Huguenots --- Calvinism. --- Political theology --- Political science --- Religious thought --- History. --- 16th century. --- 17th century. --- Protestants --- Religious minorities
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italian philosophy --- biopolitics --- national philosophy --- political theology --- Philosophy --- Filosofía --- Philosophie --- Italia --- Italy
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