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China, like many authoritarian regimes, struggles with the tension between the need to foster economic development by empowering local officials and the regime's imperative to control them politically. Landry explores how the Chinese Communist Party (CCP) manages local officials in order to meet these goals and perpetuate an unusually decentralized authoritarian regime. Using unique data collected at the municipal, county, and village level, Landry examines in detail how the promotion mechanisms for local cadres have allowed the CCP to reward officials for the development of their localities without weakening political control. His research shows that the CCP's personnel management system is a key factor in explaining China's enduring authoritarianism and proves convincingly that decentralization and authoritarianism can work hand in hand.
Decentralization in government --- Central-local government relations --- Authoritarianism --- Privatization --- #SBIB:328H52 --- Political science --- Authority --- Centralization in government --- Devolution in government --- Government centralization --- Government decentralization --- Government devolution --- Federal government --- Local government --- Public administration --- Instellingen en beleid: China --- Zhongguo gong chan dang. --- Zhong guo gong chan dang --- Chung-kuo kung chʻan tang --- Chūgoku Kyōsantō --- Chungguk Kongsandang --- 中国共产党 --- 中國共產黨 --- КПК --- KPK --- Komunistická strana Číny --- Komunistička partija Kine --- Communist Party of China --- Chinese Communist Party --- Communist Party (China) --- Gong chan dang (China) --- 共产党 (China) --- Коммунистическая партия Китая --- Kommunisticheskai︠a︡ partii︠a︡ Kitai︠a︡ --- Shina Kyōsantō --- Китайска комунистическа партия --- Kitaĭska komunisticheska partii︠a︡ --- Partido Comunista de China --- PCCh --- Parti communiste chinois --- CCP --- Partito comunista cinese --- KPCh --- Kommunistische Partei Chinas --- К.П.К. --- K.P.K. --- CPC --- C.C.P. --- Partia Komuniste të Kinës --- Đảng cộng sản Trung quốc --- Zhong gong --- 中共 --- Pcc --- P.C. Chino --- ХКН --- KhKN --- Хятадын Коммунист нам --- Khi︠a︡tadyn Kommunist nam --- China --- Politics and government --- Social Sciences --- Political Science
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Documentaire sur la vie quotidienne des Polynésiens que les réalisateurs ont partagées avec eux pendant trois mois en 1950.
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Placés sous la responsabilité de la Société d'études beaulieusiennes, les Cahiers Victor-Lévy Beaulieu étudient les différents aspects de la production de l'écrivain Victor-Lévy Beaulieu, de ses textes de fiction et de ses essais à ses interventions socioculturelles et à son implication dans le milieu littéraire québécois. Il fut un temps, pas si lointain, où l'on aurait pu croire que Beaulieu avait troqué sa posture polémiste contre l'étendard commode de défenseur régional. C'était l'époque de la Maison VLB célébrant les origines de Trois-Pistoles ; celle de la fondation des Éditions du même nom ; celle, encore, du téléroman Bouscotte, dont la tribu se disséminait le long de l'estuaire, de Cabano au Bic, en passant par Trois-Pistoles et St-Fabien, et jusque dans l'arrière-pays à Cacouna ou Squatec - téléroman qui mettait d'ailleurs en scène l'aventure politique de Philippe Beauchemin, fondateur du bien nommé « Parti des régions ». C'était aussi l'époque où le projet de « Grande tribu », encore à l'état de promesse, semblait enté, suite au Monsieur Melville, sur un territoire, tant géographique que mémoriel, à conquérir et à habiter. C'était avant le retour au roman à travers Je m'ennuie de Michèle Viroly, et par le fait même à la négativité, à la « quochonnerie » qui l'ont toujours accompagné. Faut-il s'étonner que le présent dossier consacré à la Cartographie des oeuvres de l'écrivain s'attarde à la « vidange » et à la décomposition de « Morial-Mort » ou à la déliquescence de la banlieue nord-américaine ? Avant d'être l'écrivain de l'exil montréalais, incarnation du passage du Québec à une modernité qui ne va pas sans péril - ce qu'il est aussi, indéniablement -, Victor-Lévy Beaulieu, comme le souligne avec justesse Myriam Vien dans l'introduction du présent dossier, se plaît à dessiner l'aménagement des seuils, de la lisière, voire du sas, avec toute la plénitude intérieure que peut révéler l'habitation du vide - de la « chambre-bureau » utérine de Don Quichotte de la démanche au « tonneau » de Satan Belhumeur. Ce faisant, ces espaces intermédiaires, voire liminaires1, se révèlent souvent comme autant d'impasses, géographiques aussi bien que littéraires, poussant l'écrivain à remettre son ouvrage sur le métier, à défricher de nouveaux territoires où déposer de nouveaux commencements. Car, dans cette oeuvre peut-être plus que dans nulle autre, la question des lieux, cela va sans dire, est indissociable de la question de l'écriture - et donc de la question du temps ; celui du Livre à faire, toujours promis et toujours remis à plus tard. C'est du moins l'une des conclusions communes des trois auteur-e-s du présent dossier.
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