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Administrative responsibility --- -Misconduct in office --- -Malfeasance in office --- Misfeasance in office --- Official misconduct --- Personal liability of public employees --- Responsibility, Administrative --- Tort liability of public employees --- Administrative law --- Liability (Law) --- Law and legislation --- Law of civil servants --- Criminal liability --- Responsabilité pénale --- Officials and employees --- Fonctionnaires --- Misconduct in office --- Responsabilité pénale --- Criminal law. Criminal procedure --- France --- Misconduct in office - France --- Administrative responsibility - France
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Citizenship. --- Globalization. --- Citoyenneté --- Mondialisation --- Citoyenneté --- Participation politique --- Philosophie --- Aspect social --- Philosophie. --- Aspect social.
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Patriotism --- Death --- War casualties --- War --- Patriotisme --- Mort --- Guerre --- Moral and ethical aspects --- Moral and ethical aspects. --- Political aspects --- Aspect moral --- Pertes --- Aspect politique
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Le droit positif peut-il incorporer la résistance à l'autorité sans saborder l'Etat ? Si, dans l'espace juridique français, la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen reconnaît le droit de résistance à l'oppression et si la loi instaure un devoir de désobéissance au sein de la fonction publique, ces dispositions sont systématiquement neutralisées à partir de considérations relevant de l'épistémologie juridique : résister c'est en effet prétendre détenir la signification " vraie " du droit que l'on oppose à celle, prétendument erronée, de l'autorité. Ce préalable suppose donc une décentralisation de l'interprétation du droit. Le droit de résistance à l'oppression, vestige des théories du droit naturel, est ainsi systématiquement condamné par le juge, qui dénonce les risques politiques de livrer le droit à une multiplicité d'interprètes. Quant au devoir de désobéissance de la fonction publique, ordonné à l'énigmatique intérêt général que seuls les supérieurs hiérarchiques sembleraient être en mesure de cerner, il joue au profit de l'Etat, le juge reprochant généralement aux agents publics de ne pas en faire un usage opportun. La reconnaissance juridique de la résistance à l'autorité apparaît ainsi souvent comme un leurre, car s'il existe toujours une liberté de résister comme le pensait Hobbes, il semble incongru de vouloir la convertir en droit : la résistance à l'autorité reste finalement intraduisible en droit positif. Seuls peuvent être constatés des actes, légitimes ou non, de résistance.
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Comment le droit est-il conçu à l'époque moderne et selon quels critères y pense-t-on la justice ? Quels sont les penseurs et les travaux qui ont jalonné cette discipline, de l'Antiquité jusqu'au rationalisme de Descartes et au positivisme de Hobbes ? Quels ont été les apports respectifs des philosophes antiques et des théologiens du Moyen Âge et de la Renaissance dans la gestation de la pensée juridique moderne ?
Law --- History. --- Philosophy.
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Swearing --- Invective --- Blasphemy --- Communication --- Freedom of expression --- Jurons --- Invectives --- Blasphème --- Liberté d'expression --- Moral and ethical aspects. --- Aspect moral --- Blasphème --- Liberté d'expression --- Sociolinguistique --- Injures --- Analyse du dialogue --- Outrage --- Autodéfense verbale --- Droit
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Law --- Religion and law --- Theology --- Droit --- Religion et droit --- Théologie --- Philosophy --- History --- Philosophie --- Histoire --- Théologie
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" La pensée juridique moderne n'a pas du résister aux charmes de philosophies extrinsèques (de moralistes, de mystiques ou de physiciens), philosophies élaborées dans la méconnaissance du droit à partir desquelles nul ne peut (et ce serait un travail de Sisyphe de le vouloir) reconstruire le droit. Elle s'est laissé subjuguer par des représentation simplistes et très artificielles du monde, incompatibles avec le droit. Comment y échapper ? Je ne vois pour nous juristes, d'autre remède que de remonter l'histoire jusqu'au siècle où s'est opérée cette révolution, à ce carrefour où les modernes, à notre avis, se sont fourvoyés. Et de repartir dans la voie qu'à tort ils ont abandonnée : celle du réalisme classique. Pourquoi publier ces cours, anciens déjà ? ... Pour l'amour de la grande pensée, plus excitante encore lorsqu'elle se donne à voir, affrontée aux plus difficiles enjeux, dialoguant avec les œuvres maîtresses de notre tradition philosophique, travaillant sur elle-même, vivant, rendue plus belle encore dans le don superbe de l'enseignement. Dans une présentation de cette édition, Stéphane Rials esquisse une interprétation de l'entreprise de Michel Villey et rend hommage à celui qu'il considère comme le " plus grand penseur des facultés de droit françaises au XX° siècle ".
Droit --- Law --- Religion and law --- Theology --- Religion et droit --- Theologie --- Sources --- Philosophie --- Histoire --- Philosophy --- History --- Théologie --- Sources. --- Histoire. --- History.
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Les sciences de la nature sont les gardiennes du temple de l’ère moderne. Non seulement elles incarnent le savoir par excellence, celui à l’aune duquel se mesurent de façon plus ou moins avouée tous les autres savoirs ; mais leur approche quantitative et déterministe de la nature se trouve à la racine de notre représentation quotidienne et spontanée de l’univers. Cette suprématie culturelle des sciences de la nature est devenue à peu près invisible du point de vue de la science du droit, qui ne voit plus qu’elle-même depuis qu’elle a été dotée d’une « théorie pure » au début du XXe siècle. Pourtant il n’en a pas toujours été ainsi : dans les trois premiers siècles de l’ère scientifique moderne, le pouvoir de fascination exercé par les sciences de la nature fut tel que certains jurisconsultes et philosophes du droit furent tentés d’aller puiser chez elles des métaphores, des analogies, des modèles. Ce fut tout particulièrement le cas de théoriciens du droit constitutionnel qui étaient confrontés à la tâche de penser cet objet nouveau, l’État moderne : les représentations mécanistes des XVIIe et XVIIIe siècle, comme les représentations biologisantes du XIXesiècle, inspirèrent une série de modélisations juridiques de l’État qui marquèrent les esprits – de Hobbes à Hauriou, de Montesquieu à W. Wilson. Les actes de la journée d’études qui s’est tenue à l’Université Toulouse 1 Capitole le 16 octobre 2015 visent à donner une idée de ce processus de fécondation de la théorie constitutionnelle moderne par diverses analogies tirées des sciences naturelles – processus qui, s’il appartient indubitablement au passé, n’en constitue pas moins un épisode déterminé de l’histoire des idées constitutionnelles.
Law (General) --- droit de la Nature --- Constitution --- Etat --- darwinisme --- juridicité --- scientificité --- nation --- science du vivant --- organicisme --- droit constitutionnel
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