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Damien Thorn a aujourd'hui 32 ans. C'est un homme froid et calculateur dont le seul credo est le Mal et dont la seule ambition est la domination du monde. L'heure de l'apocalypse a sonné. Le Mal est parmi nous. Cet épisode terrifiant de la trilogie voit le sort de toute l'humanité dépendre de l'ultime guerre entre le Bien et le Mal.
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Au terme d’un troisième séjour en prison, Eddie Taylor (Henry Fonda) est bien décidé à se réinsérer et à mener une vie paisible en compagnie de sa fiancée (Sylvia Sidney). Mais le destin va s’acharner contre lui. Deuxième film américain de Fritz Lang après le génial Fury (1936), J’ai le droit de vivre continue de creuser un sillon qui l’obsédait alors, soit l’aveuglement de la justice et le poids de la fatalité, M. le Maudit déjà, abordait ce thème. Eddie Taylor est un éternel coupable à qui la société refuse la moindre possibilité de rachat. Quoiqu’il fasse, elle et la malchance sont là pour lui rappeler qu’un homme qui, un jour, a commis des délits, aussi mineurs fussent-ils, restera toujours un paria. Que peut la Loi face à un tribunal populaire ? C’est donc l’histoire d’une trajectoire funeste que filme Lang usant à merveille des décors et d’une lumière expressionniste héritée de sa grande période allemande. Henry Fonda, qui n’a pas encore croisé la route de John Ford ni de celle de Lincoln, incarne ici un anti-héros fragile et naïf sur lequel le sort s’acharne. La cavale des amoureux est devenue, par la suite, un leitmotiv du film noir mais Lang en pose ici les bases. Un chef-d’œuvre sec et lyrique à la fois.
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