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Les résistants entrés dans l'action clandestine, jugent nécessaire de donner sens et légitimité à leur engagement. Pour ce faire, ils construisent des représentations de leur combat tout au long de l'occupation. Elles se prolongent avec la Libération en se transformant progressivement en mémoire. Les Allemands eux-mêmes, par le répression qu'ils conduisent construisent également une représentation de la Résistance très différente de celle des "combattants de l'ombre". Ce 7e colloque s'efforce d’identifier et de caractériser un certain nombre de ces représentations et de ces mémoires comme celle du groupe Combat, des cheminots, des communistes, des femmes. La Wallonie offre l'occasion d'évaluer à l'image laissée par la Résistance
History --- Première guerre mondiale --- mouvements de résistance --- France --- Nord-Pas-de-Calais
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Bien adapté à l’année commémorative de la Libération, l’épuration demeure difficile à appréhender et à évaluer car les polémiques pèsent toujours sur les analyses et les interprétations. Qu’il s’agisse de la pertinence, de l’ampleur du processus, de sa sévérité, de son équité, ou, au contraire, de son insuffisance, les débats ont été intenses même si, aujourd’hui, la disparition progressive des acteurs permet une étude plus apaisée et plus sereine tandis que l’éloignement des faits contribue à renouveler en profondeur, son histoire. À la suite de Peter Novick, de Pierer Laborie, de Marc Baruch ou encore de François Rouquet, les chercheurs différencient, traditionnellement, une « épuration spontanée » ou « extra-judiciaire » que d’aucuns désignent comme « épuration sauvage » d’une « épuration légale » ou judiciarisée pour établir une chronologie et distinguer des pratiques. Car, derrière l’épuration, les intentions sont diverses et les enjeux importants. La Libération, joyeuse et douloureuse, suscite parfois un désir de « vengeance » tout en posant la question grave de la justice et de la restauration de l’État de droit. L’épuration devient, dès lors, un moment fort de la sortie de guerre…
History --- Seconde guerre mondiale --- Pas-de-Calais --- épuration
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Des procès récents ont mis l'accent sur les responsabilités des services publics dans des exactions commises au cours de la Seconde Guerre mondiale. Il est vrai que les services publics sont au coeur des contradictions et des paradoxes qui caractérisent l'Occupation de 1940 à 1944. Se soumettre aux ordres de l'autorité d'occupation c'est accepter l'accomodement voire la collaboration. En revanche, s'y refuser c'est rompre avec une éthique classique chez les fonctionnaires et les personnels qui leur sont assimilés, c'est-à-dire celle du souci du service public dans le cadre de la loi et des réglementations. Dès lors, les choix sont difficiles et complexes. En confrontant des situations différentes, des administrations diverses, des chercheurs du CEGES de Bruxelles, des universités de Lille et d'institutions régionales, montrent que l'éventail des prises de position est large mais que les choix sont généralement individuels. Entrent en résistance non pas des services mais des fonctionnaires qui, tout en poursuivant leur mission ou leur fonction, font le choix de participer à des mouvements ou à des organisations de résistance extérieurs à leurs services. Prudence liée à la vie clandestine du résistant mais aussi efficacité et respect de l'éthique professionnelle jouent un rôle décisif dans le comportement. Le deuxième colloque de Bondues. dans une perspective d'histoire sociale de la Résistance, apporte des éclairages nouveaux sur les années noires de de l'Occupation en Belgique et dans la région du Nord-Pas-de-Calais.
History --- Seconde guerre mondiale --- fonctionnaires --- service public --- Nord-Pas-de-Calais --- Belgique --- France --- World War, 1939-1945 --- 2ème guerre mondiale --- Underground movements --- Mouvements de résistance --- Belgium --- Histoire
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La Résistance, longtemps lieu de débat entre des mémoires antagonistes, offre à l'historien un champ d'unvestigation où exercer la confrontation entre la mémoire et l'analyse scientifique. De plus, en adoptant une démarche comparative, les auteurs entendent mettre en évidence les caractères communs et les spécificités de la Résistance en France du Nord et en Belgique. L'engagement dans la Résistance soulève de nombreuses questions parce qu'il renvoie à des motivations complexes et de références intelelctuelles, culturelles, sociales et politiques. Mais il relève aussi de phénomènes d'ordre moral et psychologique. C'est un acte de désobéissance civile et civique par lequel le Résistant refuse un état de fait et premeut une conviction forte, celle de la nécessité et de la légitimité du combat pour reconquérir la liberté perdue. Faisant fi des risques individuels encourus, les Résistants s'engagent dans ce combat qui devient vite colelctif. En s'appuyant sur la mémoire des acteurs et des témoins, les historiens qui appartiennent aux universités régionales et à l'Université libre de Bruxelles soulignent la très grande diversité des itinéraires, la précocité d'une résistance dans la région interdite sui se souvient de 1914-1918, la conjonction des facteurs qui lui donnent des formes patriotiques, mais aussi intelelctuels et humanitaires.
History --- Résistance --- Nord-Pas-de-Calais --- Belgique --- engagement --- témoignage
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