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Plutôt qu’une nouvelle histoire de l’anarchisme, comme le montre une chronologie inhabituelle pour un tel sujet, l’auteur nous invite à suivre le processus contradictoire de l’entrée en politique du concept d’Anarchie, depuis les premières interrogations d’un Mably sur l’identification de l’ordre naturel à l’anarchie, jusqu’à la revendication de celle-ci par Proudhon. Histoire fortement polémique, et qui, chemin faisant, conduit à mettre en lumière un moment généralement négligé de l’historiographie révolutionnaire comme de l’histoire de l’anarchisme : celui de la Convention thermidorienne et du Directoire. Parcours méthodologique original également, nourri des apports de l’histoire des mentalités, de l’histoire des idées et de l’analyse du discours, et qui cherche à renouveler la manière de poser le discours comme objet d’histoire sociale.
History --- France --- anarchisme --- 19e siècle --- 18e siècle
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Pierre Charnier (1795-1857) était un ouvrier en soie de Lyon, un canut. Il œuvra à la fondation du premier mutuellisme des tisseurs puis devint un de leurs représentants au conseil des prud’hommes où il siégea de 1832 à 1857. Il fut aussi un journaliste dans la petite presse ouvrière de l’époque initiée en 1831 par L’Écho de la fabrique, un journaliste qui signait du pseudonyme Le Solitaire du ravin. Charnier était donc une sagesse, une Lumière et l’une des voix les plus autorisées du peuple des artisans lyonnais en soierie. De la Restauration au milieu du Second Empire, il tenta de promouvoir, par la pensée et par l’action, la réforme de la Grande Fabrique dans le sens d’une véritable démocratie d’ateliers ; et, au-delà, cette réflexion sur son métier lui permis de réfléchir plus largement encore aux conditions politiques, sociales, religieuses pouvant permettre d’améliorer le sort des artisans dans la société de son temps. Cet ouvrage permet de découvrir ce personnage dans sa quotidienneté de tisseur, de mutuelliste, de prud’homme et dans bien d’autres situations encore, dans les temps mouvementés marqués par les trois révoltes des canuts, 1831, 1834, 1849.
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English literature --- anno 1800-1899 --- Engels: literatuurgeschiedenis --- Littérature anglaise --- 19e siècle --- Anthologies
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Engels: literatuurgeschiedenis --- English literature --- anno 1900-1999 --- Littérature anglaise --- 19e siècle --- Anthologies --- 20e siècle
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Pourquoi ne lit-on plus ces pages de la philosophie française que des générations d’étudiants ont sues par cœur ? La philosophie du XIXe siècle n’a-t-elle plus rien à nous dire ? Nous avons fait le pari inverse. Au terme d’une immersion au sein de la philosophie du XIXe siècle, il nous a semblé que les formes de cette pensée questionnaient utilement notre propre modernité. Dans sa quête de l’esprit jusque dans ses formes les plus dissimulées, la philosophie du XIXe siècle met en place des critères de compréhension de la nature que reprennent certaines philosophies contemporaines. Derrière l’obscurité et la confusion que l’on a pu reprocher au spiritualisme, il faut redécouvrir une recherche sur une complicité de l’esprit et de la nature, sur leur lien intime et secret que repenseront les philosophies du XXe siècle s’interrogeant sur la familiarité du corps et de la conscience. L’analogie posée entre la nature et l’esprit est alors réellement méthode, c’est-à-dire voie d’accès à une vérité ontologique. Le trajet qui mène de la nature à l’esprit se révèle double itinéraire de l’être et de la pensée. C’est dans cet entre-deux du dualisme et du monisme que nous avons lu l’expression d’une pensée authentique de la nature et de l’esprit qui n’est ni une séquelle de la métaphysique classique, ni la préfiguration balbutiante de philosophies ultérieures, mais la réalisation d’un effort de pensée original qui tend à la fusion de la spéculation et de la pratique.
Philosophie francaise --- Philosophie francaise - 19e siecle. --- Philosophy --- XIXe siècle --- philosophie --- esprit --- nature
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French language --- Français (Langue) --- History --- Histoire --- Français (Langue) --- Linguistics --- Français --- XXème siècle --- histoire --- Francais (langue) --- 19e siecle
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Zola, et la fin du siècle, cette perspective peut étonner, tant nos classifications, souvent réductrices, présupposent le déclin du naturalisme à partir des années 1890. D’autres formes tentaient alors de retenir l’attention des lecteurs et des critiques et Zola lui-même avait voulu changer de manière, se renouveler. Il avait occupé une place de choix au sein de la « république des lettres », et marqué de son empreinte les lieux et les institutions littéraires. Tout en s’engageant dans le siècle, il avait voulu préserver l’autonomie du champ. Zola « post-naturaliste » est-il toujours pour les jeunes écrivains, une sorte de géant incontournable ? Au moment où « la crise du roman » hante les discours, et où lui-même avoue sa lassitude, au moment où il est attaqué de toutes parts, notamment pendant l’affaire Dreyfus, quelle est sa place parmi ses pairs ? Cet ouvrage se propose d’étudier quelques-unes des lignes de force qui structurent le champ littéraire dans le siècle finissant, en se centrant sur une figure d’autorité, celle de Zola, devenu tout à la fois repoussoir et père d’une lignée d’héritiers. C’est bien évidemment dégager les apparentements, les zones de porosité, les instances nouvelles de légitimation. Dans une approche tout à la fois sociocritique et poéticienne, les regards croisés sur les œuvres de Zola, Rosny, Mirbeau, Bourget, Huysmans, France, Péguy ou sur les poètes naturistes cherchent à frayer de nouvelles pistes pour l’étude d’une période charnière mais peu visitée, avide de recherches et de formes nouvelles et qui pose magistralement la question de l’essence même de la littérature, de son enjeu.
Zola, Emile --- Literature --- littérature française --- XIXe siècle --- ZOLA, EMILE (1840-1902) --- NATURALISME (MOUVEMENT LITTERAIRE) --- LITTERATURE FRANCAISE --- CRITIQUE ET INTERPRETATION --- FRANCE --- 19E SIECLE --- HISTOIRE ET CRITIQUE
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L’acuité de la crise urbaine dans la première moitié du XIXe siècle est à l’origine d’une large réflexion émanant des classes dirigeantes contemporaines. À côté des universitaires, des philanthropes, des hygienistes, les socialistes britanniques et français se sont penchés sur les effets sociaux de l’industrialisation dressant un portrait sans complaisance de la société urbaine de ce temps. Leur analyse du fait urbain, qui reprend les discours contemporains, est au cœur de l’élaboration de leurs différents systèmes sociaux. Ils se fixent pour objectif de résoudre et de dépasser les contradictions d’un monde qui leur paraît – dans une période qui pourtant est celle de l’émergence de la société industrielle – se situer au crépuscule de son existence. La ville, symptôme de dérèglement, est ainsi présentée comme le repoussoir, l’antithèse du modèle harmonieux que construisent Fourier en France, Owen et ses disciples en Grande-Bretagne. Le « village of Unity and Mutual Cooperation » et le phalanstère se situent en milieu rural, à l’écart de toute agglomération. Pourtant, leur forme et leurs fonctions sont marquées de références urbaines. Progressivement, dans les milieux socialistes français, la contradiction entre un discours résolument anti-urbain et la réalité sociale et culturelle des individus et des groupes influencés par ces idées constitue un frein au développement du mouvement. La fuite de la ville, la résolution du problème social par la construction ex nihilo d’une société nouvelle – qu’il est facile de qualifier d’utopiste – ne satisfont plus des socialistes qui réinvestissent la ville de leur désir et de leur projet. Cette prise en compte du fait urbain s’accompagne d’une attention nouvelle au politique, mais aussi à l’histoire, et conduit le mouvement fouriériste, conduit par Victor Considerant après la mort du fondateur, à intégrer les rangs de la gauche républicaine en 1848. Son sort sera lié à celui de la Montagne. Au contraire, le refus d’une évolution…
Socialists --- Cities and towns --- Socialistes --- Villes --- History --- Histoire --- History of Social Sciences --- Political Science --- politique urbaine --- France --- 19e siècle --- société socialiste
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English poetry --- Women and literature --- Romanticism --- Women authors --- History and criticism. --- History --- Poésie anglaise --- Femmes et littérature --- Romantisme --- 18e siècle --- Histoire et critique --- 19e siècle --- Grande-Bretagne
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De bundel reisschetsen 'Van Napels naar Amsterdam' uit 1877 vormt een verbinding tussen het genre van het klassieke reisjournaal, zoals dat onder meer door de grand-touristen werd beoefend, en de moderne twintigste-eeuwse reisliteratuur. Busken Huet gebruikt zijn indrukken op weg terug naar het vaderland (via Rome, Florence, Milaan, Genève, Dijon en Parijs) niet om de lezer pittoreske taferelen voor te schotelen, maar om aan de hand van zijn ervaringen en waarnemingen tijdloze cultuurkritiek te beoefenen. Steden, gebouwen, schilderijen, maar ook treinen, diligences en winkels zijn voor hem de decors waarin hij zijn (kunst)historische, (cultuur)kritische en bovenal zijn stilistische vermogens laat optreden. 'Van Napels naar Amsterdam' heeft in 130 jaar verrassend weinig van zijn frisheid en diepgang verloren.
Travel --- Voyages and travels --- Europe --- Italy --- Description and travel. --- Description and travel --- BUSKEN HUET (CONRAD), 1826-1886 --- ITALIE --- DESCRIPTIONS ET VOYAGES --- 19E SIECLE
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