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Poésie allemande --- Vêtement dans la littérature --- Vêtement

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Dans nos sociétés occidentales contemporaines, stylisées et sublimées, le vêtement est devenu un objet d'idolâtrie sociale sur lequel il est possible de projeter une identité maniable, et de construire du sens. Au travers de la mode vestimentaire, comprise à la fois comme un système de différenciation et d'homogénéisation, l’habit signifie et enregistre de cette manière les ambivalences culturellement ancrées en chacun de nous. Il nous colle à la peau, et tout comme le langage il crée un ensemble de motifs qui produisent du sens au moment même de l'agencement de chacune des pièces entre elles. Actuellement, les connexions établies entre mode vestimentaire et langage expriment la poursuite d'une identité individuelle au regard d'une culture de masse, soit d'une forme d'uniformisation du commun. Chaque mot, chaque habit connaît une infinité de formes, de combinaisons possibles. Selon l'ordre qu'ils prennent, ils expriment toujours de la direction, de l'occasion. Ils sont repris, transformés, abîmés, déplacés. Si le vêtement combine, car on peut reconnaître en lui quelque chose qui soit une valeur préétablie, il faudra à l'individu la configurer de nouveau sous peine d'être aliéné ou bien d'être paralysé dans un mode d'identification et d'association. Et, si le vêtement tend à singulariser, l'uniforme de son côté, produit de l'identité collective. Il cherche l'émancipation et l'indistinction. Au travers de sept chapitres, j'interroge la place que nous occupons aujourd'hui dans la société. Comment peut-on réussir à garder notre forme d'individualité face à cette culture de masse? Tout est produit de manière à effacer la différence. Sommes-nous en train de devenir une seule société ? A quel moment devons-nous parler du principe d'appropriation tout en gardant la notion de communauté?

Vêtement --- Mode --- Costume

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« Au commencement était le vêtement » Habillé habité est une recherche sur l’inspiration par le vêtement pour produire de l’architecture. Arts de l’espace, ils sont tous deux constructions de l’homme autour de lui-même, pour répondre à ses besoins. Vêtement et architecture partagent trois rôles principaux communs, celui de protection, de pudeur et de parure. Protection vis-à-vis des éléments climatiques, des reliefs extérieurs qui renvoient à des qualités du vêtement inspiratrices d’architecture : flexibilité de régulation thermique, préservation de l’intégrité physique et psychologique. Pudeur, reflet de notre intimité avec sa panoplie de couches du vêtement guide d’une architecture pour des espaces dédiés à différents types d’échanges et d’usage. Parure, communication et identité véhiculée par des compositions vestimentaires source d’inspiration d’une architecture sensible au-delà du décorum, révélatrice d’identité de l’occupant, de la culture, du site. Nous abordons ensuite la technique, au service de ces dits rôles, par le biais d’expérimentations et de dispositifs. Nous projetons ensuite ces réflexions et expérimentations sur un projet de logement sur le toit de l’école LOCI Tournai. De cette recherche, nous imaginons, proposons et tendons vers une architecture construite autour de l’humain, une architecture faite de couches qui adoucissent son rapport avec son environnement, sans l’en couper. Une architecture qui change, selon les cycles, selon les saisons. Une architecture flexible qui laisse le contrôle à son usager, une architecture qui entretient l’appétit.

Langage --- Sociologie --- Climat --- Tissage --- Vêtement

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À travers mon mémoire, j'interroge notre manière de fabriquer et de porter nos vêtements, alors que l'industrie textile semble jusqu'à aujourd'hui n'avoir aucune limite. De plus en plus de voix s'élèvent pour dénoncer la fast et l'ultra fast fashion, mais quels sont les problèmes sous-jacents à ce terme ? Quelles sont les dispositions législatives européennes prévues pour mettre fin à ce système ? Et si les designers et les acteurs de l'économie sociale et solidaire étaient porteurs de solutions ? C'est ce que je vais tenter d'esquisser dans ce mémoire.

Mode --- Recyclage --- Economie --- Réutilisation --- Textile --- Vêtement

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Long ou court, opaque ou diaphane, masculin ou féminin, porté serré ou flottant au vent, le voile est un objet vestimentaire malléable et familier dont, en terres chrétiennes, toutes les femmes (et occasionnellement quelques hommes) durent longtemps se parer. Long ou court, opaque ou diaphane, masculin ou féminin, porté serré ou flottant au vent, le voile est un objet vestimentaire malléable et familier dont, en terres chrétiennes, toutes les femmes (et occasionnellement quelques hommes) durent longtemps se parer. Pour obéir aux injonctions des Pères de l'Église et dire leur soumission à l'ordre patriarcal, mais aussi pour séduire, se distinguer, devenir adulte, se marier, entrer en religion, pleurer les morts, jouer les élégantes, travailler... Parce que les voiles occultent et suggèrent la présence de la chair et du cheveu, ils suscitent aussi fantasmes et peurs. Parce qu'ils mettent en cadre nos visages, ils attisent les talents des plus grands artistes et la suspicion des moralistes. Parce qu'ils sont un patrimoine français, enfoui et à peine disparu, ils méritent d'être proprement envisagés. [4e de couverture]

Vêtement --- Voile --- Moyen âge-XXe s. -- 600-2000