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Pourquoi sommes-nous (presque) tous un peu matérialistes ? Les biens matériels occupent une place incroyable dans nos vies. En consommant, l’individu dessine les contours de sa vie, la modèle selon un schéma qui lui est propre. Consommer beaucoup, ou plus que nécessaire, c’est être matérialiste. Mais peu de personnes acceptent de se considérer comme matérialistes. Pourtant dans les pays développés un matérialisme diffus se répand dans toutes les couches de la société. Un petit pas grand-chose qui fait que l’on consomme un peu trop. Ce petit pas grand-chose, nous l’avons appelé le matérialisme ordinaire. L’objet de cet essai est de déconstruire les rouages de la relation que nous entretenons avec nos possessions matérielles. Comment et pourquoi nous attachons-nous à certains objets et pas à d’autres et pourquoi achetons-nous systématiquement un peu trop de biens matériels ? Quelles relations existe-t-il entre le matérialisme, les différentes formes de consommation, la construction identitaire et les valeurs des individus dans un environnement social incertain ? Que penser de la socialisation économique et des questions de société que pose le matérialisme ? Telles sont les questions fondamentales posées dans cet essai qui nous permettront de mettre en évidence la logique et la dynamique du matérialisme ordinaire dans la vie quotidienne.
Consommateurs --- Société de consommation --- Consumption (Economics) --- Consumer behavior --- Material culture
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Qui n'a pas un jour pesté face à un objet trépassant quelques jours seulement après la fin de la garantie ? Acheter, acheter, encore acheter… Et à peine achetées, voilà qu'il faut déjà remplacer nos petites emplettes, vite démodées, vite cassées. Nous sommes les victimes de la pub, des industriels, de la pression sociale : tout s'intensifie, nous détournant des choses essentielles de la vie… Sans parler des conséquences désastreuses sur la planète ! Réchauffement climatique, effondrement de la biodiversité, avons-nous vraiment envie de ça ? Face à cette gloutonnerie effrénée, le concept de sobriété heureuse prend de plus en plus d'importance tandis que des réponses citoyennes et responsables s'affirment en contre-attaque. Et si on sortait du tourbillon infernal de la surconsommation ? "Mais pourquoi j'ai acheté tout ça !?" est l'histoire à la fois sérieuse et drôle d'une prise de conscience et propose des solutions viables et concrètes pour dire stop à la consommation
Consommation durable --- Consommateurs --- Société de consommation --- Consumption (Economics) --- Environmental protection
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Enid et Rebecca sont deux amies très proches qui voient avec soulagement arriver la fin du lycée. Elles prévoient de prendre un appartement ensemble et de commencer à vivre sans contrainte. Tandis qu'Enid, qui a échoué aux examens, doit suivre des cours d'été, Rebecca se lance avec fièvre dans la décoration de leur appartement. Enid, qui a rencontré un homme solitaire et plus âgé avec lequel elle entretient une relation particulière, n'a ni travail ni argent, et surtout aucun intérêt pour la frénésie consommatrice de son amie. Comédie sarcastique sur une adolescente pas comme les autres qui cherche sa place dans une société de consommation qu'elle déteste et qui blesse tant les autres qu'elle-même, ce film fait souvent mouche, aidé par le talent de Thora Birch. Ce premier long métrage de fiction (après deux documentaires dont "Crumb") est adapté d'une bande dessinée célèbre aux États-Unis, écrite et dessinée par Daniel Clowes, qui co-signe le scénario.
Années 2000 --- Jeune --- Comédie --- Société de consommation --- Femme --- Etats-Unis
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Consommer plus pour travailler plus : c'est ce que, en 1932, préconise Bernard London face à l'inaction du président Hoover (1929-1933) et à la veille des grands chantiers du présidents Roosevelt (1932-1945). Pour le courtier new-yorkais en immobilier, il suffit de proposer une sorte de "prime à la casse", pénalisant la détention de tout objet ayant dépassé sa date fiscale de péremption. Ainsi tant par le management que par la planification, l'économie américaine retrouvera l'"équilibre entre production et consommation".
Obsolescence --- Société de consommation --- Crise économique --- Années 1930 --- Consommation --- USA --- Obsolescence. --- Société de consommation. --- États-Unis --- Société de consommation.
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Jamais au cours des siècles, tant de moyens n'ont été disposés en faveur d'une émancipation véritable des individus et des peuples ; jamais ils n'ont été à ce point ignorés et méprisés par un aussi scandaleux parti pris de passivité et de résignation. Jamais nous n'avons autant végété au-dessous de nos capacités de vivre. Jamais, pour tout dire, la servitude ne s'est montrée si volontaire depuis que l'affranchissement s'est mis à portée de tous. Pourtant, il existe au sein de la confusion et du désarroi croissants une force de vie, présente en chacun, capable de combattre ce qui l'opprime et la dégrade. Un mode de production fondé sur al gratuité des énergies est en passe de succéder à une économie qui, depuis des millénaires, exploite à outrance l'homme et la nature. Il apporterait un soutien précieux à la lutte contre la barbarie, si son projet de restaurer le vivant n'obéissait à la nécessité de rendre au profit un dynamisme qu'épuisent le capitalisme mondial et son accumulation financière improductive. La seule façon de ne pas s'atrophier dans une société qui débonde en destructions absurdes la rage de ne pas vivre, c'est de construire les situations où créer son bonheur quotidien enseigne à créer une société toujours plus humaines. En renouant avec la tradition du Manifeste, Raoul Vaneigem dégage de la somme des idées exposées du Traité de savoir-vivre (Gallimard, 1967) à Nous qui désirons sans fin (le cherche midi éditeur, 1996) les éléments d'une prise de conscience capable d'opposer au réflexe de mort que propage la civilisation marchande le projet d'une vie souveraine et la prééminence du sens humain. Gageons qu'un tel livre fera dévier plus d'une existence de son cours.
Ethnology --- Civilization, Modern --- Anthropologie sociale et culturelle --- Civilisation --- Socioanthropology - Essay --- Morale sociale --- Société de consommation. --- Anthropologie --- Ethnology. --- Société de consommation --- Civilisation -- 20e siècle --- Société de consommation.
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Consommation (Economie politique) --- Consommateurs --- Société de consommation --- Aspect sociologique --- Préférences --- Consommation (Économie politique) --- Consommation (Économie politique) - Aspect sociologique --- Consommateurs - Préférences --- Société de consommation - Aspect sociologique --- Consommation
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L’immense majorité semble communier spontanément dans une culture où le marketing des désirs solvables a substitué à tout autre devoir celui de se faire plaisir. En d’autres termes, le système capitaliste ne fonctionne pas seulement par l’exploitation et l’oppression mais aussi par l’adhésion de la plupart au système qui les exploite, les spolie et les opprime, c’est-à-dire qu’il fonctionne à l’aliénation psychologique et morale, entretenue par des espérances de succès individuel le plus souvent fallacieuses. Nos luttes ne doivent pas se livrer seulement aux niveaux politique et économique mais doivent s’accompagner d’un autre combat, tout aussi nécessaire, dont l’enjeu est la réappropriation par chacun de sa propre subjectivité. On peut appeler ce travail une « socioanalyse », en ce sens qu’il a pour objet la mise à jour et la maîtrise de l’« inconscient social » que notre socialisation a incorporé et qui conditionne notre adhésion spontanée à l’ordre établi.
Classes moyennes --- Normes sociales --- Changement social --- Aliénation sociale --- Capitalisme --- Société de consommation --- 20e siècle
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Dans le Paris de la Belle Epoque, de plus en plus d'ouvriers, d'employés et de petits fonctionnaires accèdent à la consommation. Les garde-robes se diversifient, les intérieurs populaires se peuplent de meubles, notamment de la très convoitée armoire à glace, et la décoration envahit le logement. Les plus aisés des ouvriers et des employés arrivent même à acheter une bicyclette ou une machine à coudre.Cette mutation de la culture matérielle est rendue possible par l'augmentation des revenus des classes populaires et par la mise en place de médiations nouvelles : le crédit d'abord - qui donne accès financièrement à la consommation -, la publicité ensuite - qui donne envie d'acheter des biens nouveaux. Georges Dufayel, bien qu'oublié aujourd'hui, en est l'exemple type : il bâtit un empire commercial à la fin du XIXe siècle, véritable pionnier dans ces deux secteurs, développant à la fois la vente à l'abonnement et l'affichage sur les murs de Paris.Ses magasins grandioses, installés boulevard Barbès et baptisés "Palais de la nouveauté" , deviennent les temples de la consommation populaire parisienne. Ces objets, les manières de se les procurer et de s'en servir témoignent d'une culture populaire spécifique, encore marquée par la vulnérabilité économique et le recours à la débrouille - ou à la "ruse" dirait Michel de Certeau. Ces pratiques vont de la fréquentation du Mont-de-Piété à l'achat d'objets d'occasion chez les brocanteurs, en allant jusqu'au vol parfois.Le risque de la saisie des biens et de l'expulsion du logement est bien réel : les objets dans les classes populaires sont souvent des "consommations transitoires" , pris entre le crédit à l'achat et le prêt sur gage, dont la possession est fragile. La modernité commerciale coexiste donc à la Belle Epoque avec des pratiques de circulations, d'usages et d'acquisitions alternatives, celles des objets d'occasion, usés, réparés, récupérés ou marchandés.Ces deux rapports à la culture matérielle et marchande subsistent côte à côte, et les membres des classes populaires peuvent passer rapidement de l'un à l'autre en cas de difficultés, comme le prouve la résurgence d'un rapport plus traditionnel aux choses dans la période de grande difficulté qu'est la Première Guerre mondiale. Touchant à l'histoire de la vie privée, des échanges économiques ordinaires et de la culture matérielle, cet ouvrage met en lumière à la fois les dominations multiples qui pèsent sur les classes populaires et les petits arrangements, les micro-résistances, qui traversent le peuple des choses et les choses du peuple.
Classes populaires --- Consommation --- Société de consommation --- Working class --- Consumption (Economics) --- Material culture --- Economic conditions. --- History.
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"Smartphone cassé, lave-linge en panne, collants filés, imprimante inutilisable... quel est le point commun entre ces biens de consommation ? Ils sont tous victimes d'obsolescence programmée, symbole d'une société du jetable, qui nuit autant à l'environnement qu'aux consommateurs, tout en reposant sur un modèle économique à bout de souffle. La mort précipitée de nos produits est-elle réellement planifiée ? Quels sont les impacts de la reconnaissance en 2015 du délit d'obsolescence programmée ? Autant de questions auxquelles répond cet ouvrage, à l'aide d'une analyse sans concession du problème et l'exploration audacieuse de solutions individuelles et collectives. Il s'agit dans un premier temps de définir ce qu'est l'obsolescence programmée, d'envisager ses conséquences non seulement en termes économiques et environnementaux, mais aussi d'un point de vue sociétal. Car la société de surconsommation entraîne la perte d'autonomie des citoyens et l'aggravation des inégalités sociales. À travers des illustrations et des témoignages, les auteurs font également le point sur les modèles économiques dits "durables", tels que l'économie collaborative, circulaire ou basée sur l'usage. Ils montrent que les moyens de combattre cette obsolescence accélérée existent et que grâce à eux, une nouvelle manière de consommer et de produire, plus responsable et durable, est en marche."
Product life cycle --- Product obsolescence --- Consumer behavior --- Environmental aspects --- Développement durable --- Décroissance soutenable --- Obsolescence --- Société de consommation --- Économie circulaire --- Développement durable. --- Décroissance soutenable. --- Obsolescence. --- Société de consommation. --- Économie circulaire. --- Environmental aspects. --- Consumer behavior - Environmental aspects --- Développement durable
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«On ne cherchera pas dans ce livre une critique vengeresse de la consommation ou de tel ou tel type de produit particulier; d’autres se sont déjà chargés de diaboliser les choses. Ma critique sera plutôt modérée et constructive, guidée par le désir de comprendre et de faire comprendre. J’étudie donc les influences qui ont favorisé l’avènement de la société de consumation ainsi que ses effets négatifs et les dangers qu’elle engendre. J’aborde également quelques phénomènes qui la caractérisent, l’hyperconsommation et l’obsolescence, bien sûr, mais aussi l’engouement pour les technologies mobiles, le phénomène des «tribus», celles d’Apple et de l’iPhone en particulier, et la rhétorique de la publicité. Je proposerai enfin quelques pistes de solutions propres à corriger les dérives postmodernes de la société de consumation, et de nature à favoriser une consommation et un commerce plus responsables. Au-delà de la consommation et du système autour duquel celle-ci s’articule, c’est à une réflexion sur toute notre société de l’excès que j’invite.» (B. D.)
Société de consommation --- Consommateurs --- Obsolescence --- Consommation durable --- Sociologie --- Comportement --- Consumers --- Attitudes. --- Attitude (psychologie) --- Obsolescence. --- Consommation durable. --- Sociologie. --- Attitude.
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