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Obgleich die Parodie im »Teufelsgespräch« eine zentrale Stellung einnimmt, wurde dem Roman des "ironischen Deutschen" auch nur der Anschein des Parodistischen aberkannt. Dabei konstituiert die parodistische Schreibweise, jenseits normierender Gattungsbegrenzungen, seine Multiperspektivität. Sie erhält seine Lesbarkeit und erlaubt es zugleich in den Diskursen des Erzählens über die Modalitäten des Schreibens und die Möglichkeiten moderner Kunst angesichts der Polarität von Esoterik und Epigonentum, zu reflektieren. Die parodistische Schreibweise entfaltet sich auf zwei Ebenen. Als Metakommentar zeigt sie die Entstehungsbedingungen des Kunstwerks auf und decouvriert die Maske des Realismus. Als parodistisches Spiel erscheinen Motive, Figuren und Verhaltensmuster immer im Spiegel ihres Vexierbildes. So spiegelt der Roman seine Intertextualität als kompositorisches und schriftstellerisches Verfahren Leverkühns und Zeitbloms. Leverkühns ästhetische Überlegungen angesichts einer Kunst, deren Mittel verbraucht sind, finden weder einen Rückhall in seinen Kompositionen noch im Roman selbst. Für Authentizität bürgt allein der subjektive Sinn. Die parodistische Schreibweise widerlegt die gängigen Interpretationen als Künstler-, Faust-, Gesellschafts- und Deutschlandroman. Im "Beziehungszauber" von Rede und Gegenrede fungieren die Kompositionen als Selbstparodien des Romans. Aus der Negativität der Musik schöpft der Roman die Kraft, als Kunstwerk gegen seine eigene Negativität zu zeugen. Über das Scheitern des Erzählers obsiegt das Erzählte.
Parodie --- Parody --- Parody in literature. --- Mann, Thomas --- Mann, Thomas,
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Imitation dans la litterature --- Mimesis dans la litterature --- Parodie --- Parodies
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Comment concevoir qu’un livret d’opéra ait pu être réécrit pour des marionnettes ou sous forme de pantomime ? Peut-on imaginer qu’une œuvre lyrique ait suscité plus de huit parodies ? Sait-on que Louis XVI et Marie-Antoinette avaient leur parodiste attitré ? Les réécritures comiques d’opéra, représentées sur les théâtres de la foire et des boulevards comme à la Comédie-Italienne de Paris et sur les théâtres privés, connaissent une vogue étonnante au siècle des Lumières. Parodier l’opéra, ce n’est pas écrire contre l’opéra, mais plutôt participer à sa promotion en jouant le double jeu de la critique et du divertissement. Les parodistes comme Fuzelier, Favart, Romagnesi ou Despréaux, manient autant l’art des vaudevilles que celui du pastiche, et possèdent une riche culture littéraire et musicale. Des opéras de Lully à ceux de Gluck, rares sont les œuvres à succès qui n’ont pas été parodiées. Retracer l’histoire de cette pratique permet d’entrer dans les arcanes de la vie théâtrale des Lumières, où les frontières entre culture populaire et culture élitiste sont brouillées, où l’opéra, l’opéra-comique et la parodie évoluent sans se quitter des yeux. Taxée de « mauvais genre » par certains, décrite comme un « spectacle gai, varié et même magnifique » (d’Argenson) par d’autres, la parodie d’opéra n’est pas un épiphénomène ; ce qui se joue avec elle, tout au long du XVIIIe siècle, c’est une certaine idée du théâtre comique en musique.
Parody in music --- Musical parodies --- Opera --- Parodie (Musique) --- Parodies musicales --- Opéra --- Opéra --- France --- Theater --- opéra --- parodie --- comique --- histoire du théâtre
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Danny a 11 ans. Il est passionné par les films d'action et particulièrement par Jack Slater, héros d'une série, qui vit des aventures épiques sans la moindre égratignure. Un jour, Danny reçoit un ticket de cinéma magique et pénètre dans l'écran. Il va vivre les aventures de son héros, jusqu'au moment où Slater entre dans le monde réel et voit toutes les valeurs s'inverser... Action, suspense et humour pour cette auto-parodie de Schwarzie.
Action --- Années 1990 --- Cinéma --- Parodie --- Comédie --- Mise en abyme --- Etats-Unis
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Literature --- Parodie --- Parody --- Littérature --- --Théorie --- --Parodie --- --Parody --- 82-7 --- Humor. Satire --- Parody. --- 82-7 Humor. Satire --- Comic literature --- Literature, Comic --- Travesty --- Satire --- Burlesque (Literature) --- Caricature --- 82-7 Prose satire. Humour, epigram, parody etc. --- Prose satire. Humour, epigram, parody etc. --- Théorie
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La parodie est une forme d'intertextualité qui adapte, de manière ludique, comique ou satirique un texte source. L'auteur dresse un historique de la parodie dessinée, en analyse les procédés, au travers de nombreux exemples : Töpffer, Cham, Doré, Liquier, des auteurs de comics, Walt Disney, les superhéros, Gotlieb, la production "underground", la parodie de genre (western, fantasy, policier), la parodie littéraire (Oupabo, sur le modèle de l'Oulipo), les autoparodies et les auteurs contemporains.
Bandes dessinées --- Parodie (art) --- Parodie (littérature) --- Parody in literature --- Comic books, strips, etc. --- Thèmes, motifs. --- Dans les bandes dessinées. --- Histoire et critique. --- Themes, motives --- History and criticism --- Parody in literature - Exhibitions --- Comic books, strips, etc. - Themes, motives - Exhibitions --- Comic books, strips, etc. - History and criticism - Exhibitions --- Drawing --- Literature --- beeldverhalen --- Bandes dessinées --- Parodie (littérature) --- Thèmes, motifs. --- Dans les bandes dessinées. --- Comic books, strips, etc
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Literature --- Parodie. --- 82-7 --- Humor. Satire --- 82-7 Humor. Satire --- 82-7 Prose satire. Humour, epigram, parody etc. --- Prose satire. Humour, epigram, parody etc.
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Puns and punning --- Wit and humor --- Mots d'esprit et jeux de mots --- Humour --- Philosophy --- Philosophie --- Wit and humor - Philosophy --- Calembour --- Parodie (genre litteraire) --- Satire
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Die Untersuchung gründet sich auf einen flexiblen Begriff der Parodie als intertextuelle und metaliterarische Schreibweise, deren Ursprünge von der Parodietheorie der Gegenwart über den russischen Formalismus bis zur Literaturtheorie der Frühromantik und deren Kenntnisnahme durch Goethe zurückverfolgt werden. Entgegen der einschränkenden Assoziation der Parodie mit der Satire wird die Anwendbarkeit des Begriffs auf Goethes subtilen Roman aus der Affinität der Parodie zum Begriff der romantischen Ironie deduziert. Die Textanalyse geht von der auffallenden Metatextualität der Namengebung aus, um deren parodistische Machart aus den Belegen einer bisher nicht ausgewerteten, weil nicht namentlich ausgetragenen Fehde zwischen dem zum Katholizismus bekehrten Wortführer der Jenaer Romantik Friedrich Schlegel und dem Weimarer Klassiker abzuleiten. Obwohl die unmittelbare Provokation in den Schriften des Konversionsjahres lag - F. Schlegels Abhandlung "Über die Sprache und Weisheit der Inder" und seine Rezensionen für die "Heidelberger Jahrbücher" -, hatte der Romantiker bekannterweise den Kampf gegen den Klassizismus auf kunsttheoretischem Feld bereits in seinen Pariser "Gemäldebeschreibungen" eröffnet. Die versteckte Art der Schlegelschen Polemik bestimmte die verrätselte Art der Goetheschen Replik. Gezeigt wird, wie raffiniert sein parodistischer Roman sämtliche sprach- und kunsttheoretischen Verbote und Gebote des Gegners buchstäblich zu erfüllen und gleichzeitg ironisch umzuwandeln vermochte. Anhand dieses intertextuellen Vorgehens kann nicht nur die Schreibweise der "Wahlverwandtschaften" präzis beschrieben werden, sondern Goethes rätselhafter Roman läßt sich auch erstmalig in seine literaturhistorischen Zusammenhänge konkret einordnen.
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