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Internet telephony --- Security measures --- Security measures. --- Internet telephony - Security measures
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Computer networks --- Security measures --- Internet --- Security measures
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This study covers the « arrêté royal" dated January 25th 2001 that applies into Belgian legislation the June 24th 2002 92/57/CEE European directive on temporary or mobile building sites. It comments that "arrêté royal" and complements it with a few warnings. The requirement of competencies in the areas of anticipation and imagination of the project coordinator, as well as his human qualities are emphasized. Are also described and documented the way the contractor will follow up the coordination and the realization. Volume 2 appendix to this study contains copies of the texts of the European and Belgian legislation on this topic (up to Dec; 31st 2002) as well as numerous documents generated from various performances on the field by the author and other coordinators Cette étude passe en revue l'arrêté royal du 25 janvier 2001 transposant dans la réglementation belge l'application de la directive européenne 92/57/CEE du 24 juin 1992 concernant les chantiers temporaires ou mobiles. Elle commente cet arrêté royal et l'accompagne de quelques mises en garde. Des applications pratiques de chacune des obligations réglementaires sont décrites, commentées et illustrées. Les exigences de compétence, d'anticipation et d'imagination du coordinateur-projet ainsi que de qualités humaines sont mises en évidence. Le mode de suivi de la coordination-réalisation par le maître d'ouvrage est décrit et documenté.
Le volume 2 des annexes à cette étude contient les copies des textes réglementaires européens et belges concernant le sujet (jusqu'au 31/12/2002), ainsi que de nombreux documents issus de l'application sur le terrain par l'auteur, et d'autres coordinateurs
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Nuclear energy --- Security measures. --- Security measures --- Energie atomique --- Industrie --- Securite
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Harbors --- Security systems --- Security measures --- Harbors - Security measures
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Ce travail peut se scinder en deux parties, chacune répondant à un objectif différent.
Le premier objectif est de faire l’inventaire des outils de gestion de la sécurité utilisés dans une entreprise chimique de ± 1200 personnes. Cela permet de se rendre compte comment une telle entreprise peut arriver à de bonnes performances en matière de sécurité (en 1994 : le taux de fréquence des accidents Tf était de 3,1).
En fait, cet objectif est né d’une série de questions que je me suis posées à mon arrivée sur le site de Solvay Jemeppe, en 1993. A savoir : comment fonctionne le service de sécurité ? Quels sont les résultats en matière de sécurité ? Avec quels outils a-ton atteints ces résultats ?...Il m’a paru utile de profiter de ce mémoire pour rassembler ces renseignements en un endroit unique. Cette première parti est donc, avant tout, un outil devant permettre à toute nouvelle personne affectée au site de Jemeppe, de trouver réponses à ses interrogations éventuelles en matière de sécurité.
Le second objectif découle des questions que l’on est en droit de se poser lorsque l’on est amené éventuellement à reprendre un service de sécurité. Dans mon cas, les deux principales questions que je me pose sont : « quels est le réel niveau de sécurité de l’entreprise ? et « quelles sont les actions à entreprendre pou poursuivre l’amélioration continue du niveau de sécurité et faire en sorte que ces actions soient adaptées à la situation ?[…]
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Le « Livre blanc » traçait la perspective du grand marché intérieur européen par l’élimination des barrières physiques, techniques et fiscales. L’acte « unique », entré en vigueur le 1er juillet 1987 et qui introduit officiellement l’Europe 92, se situe dans un registre plus élevé que ce document : celui du droit public européen, mais il lui est, néanmoins, complémentaire. Il confirme l’objectif d’achever le marché unique européen pour 1992 en suivant le calendrier établi dans le Livre blanc.
L’acte Unique est u document qui contient de nombreux articles et en particulier les articles 100A et 118A qui situent le cadre de certaines directives. Les directives « 100A » sont des directives « économiques » qui ont pour finalité de promouvoir la libre circulation des produits alors que les directives « 118A » sont des directives « sociales » ayant pour but de promouvoir la sécurité des travailleurs.
Un exemple de directive sociale est la directive « équipement de travail » à l’annexe de laquelle on trouve des prescriptions minimales de sécurité à observer afin que, partout en Europe, le même minimum de sécurité soit appliqué pour touts les équipements mis à la disposition des travailleurs.
La Directives Européenne « Machine » (89/392 et 93/44 CEE) est une directive du type économique rentré en droit belge et applicable à tous les « constructeurs » de machines depuis le 1er janvier 1995. On y trouve des exigences essentielles de sécurité qui sont des mesures de sécurités maximales à adopter en Europe afin qu’il n’y ait pas de concurrence sur cet aspect et donc, libre circulation des biens. Cependant, un certain nombre de problème se posent dans le monde industriel quant à l’interprétation de ces mesures de sécurité à prendre et nommées dans la directive sous le terme « exigences essentielles ».
En fait, lorsque l’on parle de constructeurs dans la directive, il s’agit évidemment du fabricant, mais aussi de son mandataire établi dans la Communauté, de l’importateur, du vendeur, de celui qui construit pour son propre usage, ou de celui qui assemble des composants. Cette directive touche donc un large éventail de personnes, d’autant plus que les acquéreurs de ces équipements qui sont attentives à la sécurité des machines entrant dans leur entreprise, se doivent d’être capables de vérifier la « Déclaration de Conformité » à la directive prénommée qui accompagne ceux-ci, et le sérieux qui a été apporté à l’intégration de la sécurité.
De plus, il ne faut pas perdre de vue les articles 28 bis et 54 quater du RGPT qui doivent être appliqués par le chef sécurité en ce qui concerne la politique de prévention des accidents en entreprise.
Or, on se rend compte que dans le milieu industriel, il existe in flottement par rapport à la législation tant du coté « constructeur que « acquéreur ». Les premiers vendent des machines sur lesquelles ils ont simplement apposé le sigle « CE » pour se donner bonne conscience, et les seconds, naïvement, achètent et se contentent de ce sigle en faisant confiance aux premiers. Le but préventif par rapport aux accidents du travail de cette directive n’est donc pas du tout atteint, ce qui est regrettable.
En fait, les exigences essentielles de la directive sont des buts à atteindre et non une manière d’arriver à la conformité. Le constructeur doit donc prouver dans un dossier technique comment il a procédé pour y arriver, et c’est à ce niveau que l’on découvre tout le problème d’interprétation de la directive.
Le but de ce mémoire est de remédier en partie à cette difficulté. Dans un premier temps, nous présenterons la directive sans nous attarder sur les procédures administratives.
Nous proposons ensuite une première check-list que nous avons élaborée exclusivement sur base des exigences essentielles et de leurs références normatives. Il permet de dépister les risques inhérents à l’utilisation d’une machine, de connaître les sources principales d’informations complémentaires et de faciliter le travail d’élaboration du dossier technique. Il est donc adressé plus particulièrement aux « constructeurs » puisque leur obligation est de répondre à toutes les exigences essentielles de la directive.
Lorsque l’on se place du côté acquéreur et plus particulièrement en tant que chef de sécurité, les obligations sont différentes et il serait absurde de demander à celui-ci de recommencer le travail d’élaboration du dossier technique. C’est pourquoi, nous avons élaboré une seconde check-list destinée aux chefs de sécurité, tenant compte de leurs obligations et leur permettant de réceptionner une nouvelle machine entrant dans leur entreprise.
La première check-list aura un rôle de dépistage des risques dans les phases d’appréciation du risque qui permettent de vérifier l’adéquation du niveau de sécurité obtenu. En effet, il est important, suite à une première étude basée sur les exigences essentielles, de pourvoir apprécier le niveau de sécurité obtenue et le cas échéant, de prendre des options différentes en ce qui concerne la conception de la machine, les protections et procédures d’utilisation de celle-ci en sécurité. Ce sujet sera donc traité dans le présent ouvrage.
Enfin, nous donnerons des solutions pratiques de sécurité permettant de sa familiariser avec l’interprétation des exigences essentielles concernant plus particulièrement la protection des éléments mobiles, exigences essentielles auxquelles la majorité des machines n’échappent pas.
Dans des cas de plus en plus fréquent, le travail d’élaboration du dossier technique ou de réception d’une nouvelle machine est régulièrement ou obligatoirement (si elles font partie de l’annexe 4 de la directive) sous-traité à des personnes compétentes et notamment des organismes notifiés. Les check-lists précitées ainsi que le chapitre consacré à l’appréciation du risque sont donc les outils de travail également à leur à leur niveau.
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Students --- Risk Factors --- Security Measures
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La sécurité biologique est une discipline de la sécurité qui a pour finalité la protection des travailleurs, de la collectivité et de l’environnement vis-à-vis des risques liés à l’utilisation d’organismes génétiquement modifiés (OGM) ou pathogènes.
Cette discipline très récente, encore peu connue des conseillers en prévention, est sous le contrôle des autorités fédérales qui ont promulgué l’Arrêté Royal du 29 avril 1999 modifiant l’Arrêté Royal du 4 août 1996 et sous le contrôle des autorités régionales pour la gestion des utilisations confinées. Ce confinement a pour objectif la protection de la santé publique et de l’environnement. Les annexes III et IV du dernier l’Arrêté publié par la Région Wallonne (l’Arrêté du Gouvernement du 4 juillet 2002à, sont particulièrement intéressantes : en effet elles donnent les outils nécessaires à l’évaluation des risques d’une utilisation confinée d’OGM ou de pathogènes. Elles définissent aussi, compte tenu de l’évolution scientifique et technologique, les mesures de prévention à appliquer pour protéger les personnes exposées et l’environnement. Ces textes scientifiques du plus grand intérêt pour la profession de responsable de la Sécurité Biologique ont été à l’origine de nombreuses discussions dans la cellule de biosécurité chez GSK-Bio et source d’enrichissement pour les ex-chercheurs composant cette cellule. J’ai voulu faire partager cet enthousiasme à mes collègues conseillers en prévention, c’est la raison pour laquelle dans le chapitre 3 de ce travail, j’ai tenté d’expliquer cette discipline à l’aide des concepts étudiés lors des cours de « Stratégie générale de prévention des risques » (SEHY-UCL 2000).
Dans une industrie pharmaceutique, les conseillers en prévention sont confrontés à un système qui tient une place prépondérante dans la vie des travailleurs : il, s’agit d’un système d’assurance de qualité, appliqué dans la communauté européenne lors de l’élaboration, la fabrication et le contrôle des médicaments. Ce système, par ailleurs très contraignant, garantit l’obtention et la mise sur le marché de médicaments efficaces, sûrs, intègres et conformes à leur « autorisation de mise sur me marché ». Le respect de ces normes, associé à un management efficace, pertinent et judicieux garantit la pérennité de l’entreprise. Cela a un prix et les mesures mise en place par le système d’assurance de la qualité sont incontournables et paraissent en première analyse très contraignantes.
Ce travail semblait donc être une opportunité pour en améliorer la compréhension et renforcer le dialogue entre les 2 parties (sécurité/ qualité). La lecture des « Bonnes Pratiques de Fabrication (BPF)- volume 4-Eudralex » éditées par la Commission Européenne DGIII s’imposait donc et j’en ai résumé ce qui m’a semblé essentiel dans le chapitre 4. La notion de risques peut être appliquée au produit tout comme cela a été décrit dans le chapitre dans le domaine de la Sécurité Biologique, il importe toutefois de rappeler que les enjeux contrôlés par ces 2 réglementations sont différents.
Il restait à répondre à une dernière question mais non des moindres : peut-on envisager une « coexistence pacifique » entre ces 2 réglementations (Sécurité Biologique versus BPF), la réponse est donnée au chapitre 5 de ce travail dans les conclusions générales.
Cet exercice a été réalisé pour atteindre l’objectif principal de ce travail, qui n’a pas encore été évoqué : définir une formation ou un programme de formation adapté au personnel affecté à la production des vaccins fabriqués chez GSK-Bio. Les besoins, les objectifs pédagogiques, le contenu de la matière sont définis dans le chapitre 6.
La mission du groupe GSK et plus particulièrement de GSK-Bio, la gestion de la sécurité et de la qualité ont été décrites dans le chapitre 2.
Un glossaire a été réalisé pur faciliter la compréhension du lecteur qui ne serait éventuellement pas familier avec ces disciplines
Drug Industry --- Security Measures --- Vaccines
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