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C’est en 1506 qu’est publiée la première version du Traité de l’infini de Jean Mair (1469-1550). Originaire d’Écosse, celui-ci est le chef de file de la dernière génération qui défend le nominalisme à Paris. Ses œuvres concernent la logique, la philosophie naturelle, la théologie. Lorsque ce courant de pensée perdra de l’influence en France, les élèves de Jean Mair continueront à le diffuser, notamment dans la péninsule ibérique. L’édition bilingue du Traité de l’infini proposée par Hubert Élie en 1938 se fonde sur le texte de 1506. Quelques extraits des versions ultérieures, insérées par Jean Mair dans son Commentaire des Sentences (1510, 1519, 1530), sont ajoutés dans le texte ou en note, mais c’est généralement le texte initial qui est le plus complet et le plus radical. L’édition comprend en outre des extraits d’auteurs de siècles précédents (Duns Scot, Albert de Saxe, Robert Holcot, Marsile d’Inghen) et d’un contemporain de Jean Mair (Louis Coronel).Dans ce traité, Jean Mair se propose de prouver l’existence de l’infini en acte. Il s’inscrit clairement dans la tradition, fort riche, des textes sur l’infini qui ont été écrits au XIVe siècle, il en reprend les arguments, il en retourne parfois les conclusions. Il occupe ainsi une place importante dans l’histoire qui conduit du refus de l’être en acte de l’infini jusqu’à sa reconnaissance pleine et entière au XVIIe siècle
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