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Un projet de film né d'une grande ville évanouie, Berlin, avant la destruction du mur, conduit l'équipe des cinéastes dans un village déserté des Cévennes occupé par les chiens en liberté d'un ancien élevage.
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L'auteur meurt à la première ligne. Au moment où il survole, avec un sentiment de mélancolie dû à sa situation, la Douane de mer à Venise, il tombe sur un esprit venu d'Urql, dans une lointaine galaxie, pour étudier l'univers. L'esprit surgi d'ailleurs s'appelle A. Il considère avec stupeur une planète dont il ne sait rien et qu'il a du mal à comprendre. Le défunt s'appelle O. Avant de quitter à jamais pour une destination inconnue les bonheurs et les plaisirs de notre vallée de larmes, O va présenter le monde à son nouvel ami. Trois jours durant, à l'usage des gens d'Urql qui ont le malheur d'ignorer que nous sommes le centre de tout, A et O, aile contre aile, parcourent l'espace et le temps et rédigent un rapport sur la Terre et les hommes.
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Une famille, un jour. La vie les sépare, le texte les réunit. Roman, saga, voici la famille Prouillan, le souvenir des morts et la mémoire des vivants. Autour d'Henri Prouillan, le père, Luc, Sébastien et Claire fêtent le curieux anniversaire des quarante ans du plus jeune des quatre enfants : Bertrand. Pourquoi Bertrand est-il retenu dans la maison familiale de Moncrabeau ? Pourquoi quittent-ils tous le domicile parisien, ce 2, place d'Antioche des beaux quartiers ? Que s'est-il passé au jardin d'Acclimatation ? Le Navarre du coeur qui cogne et de je vis où je m'attache frappe ici le troisième coup de son théâtre des familles.
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Trois récits, trois femmes qui disent non. Elles s'appellent Norah, Fanta, Khady Demba. Chacune se bat pour préserver sa dignité contre les humiliations que la vie lui inflige avec une obstination méthodique et incompréhensible. L'art de Marie NDiaye apparaît ici dans toute sa singularité et son mystère. La force de son écriture tient à son apparente douceur, aux lentes circonvolutions qui entraînent le lecteur sous le glacis d'une prose impeccable et raffinée, dans les méandres d'une conscience livrée à la pure violence des sentiments.
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Au printemps 1917, Picasso se rend à Rome, où il rejoint les Ballets russes et travaille au décor de Parade. Son atelier se trouve à deux pas de la villa Médicis, et d'une autre maison qui abrite elle aussi des peintres. Parmi eux, un certain John William Godward, néo-classique anglais qui ne jure que par la beauté grecque, et représente opiniâtrement, presque exclusivement, le même sujet : une belle jeune fille pensive, sur fond de marbre ou de mer. Horrifié par une modernité qu'il ressent comme inhumaine et destructrice, Godward aurait dit : "Dans ce monde, il n'y a pas place à la fois pour Picasso et pour moi". Sur fond de guerre mondiale et de révolution russe, ce roman, fidèle à l'histoire, n'en est pas moins une fiction - qui prend la forme du journal de John William Godward. Apprenant la présence de Picasso à Rome, son ennemi l'épie, rêve d'arrêter sa main sacrilège et, qui sait, de le convertir à ce qu'il considère comme la beauté éternelle. L'idée d'une rencontre le fascine et l'effraie. Cette rencontre est-elle possible ?
French literature (outside France) --- Roman français --- Roman français.
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Shizuko est née au Japon le jour où la bombe atomique a détruit sa ville. Désormais clouée dans un fauteuil roulant, elle supervise le démantèlement du coeur du surgénérateur de Malville. Max a rendez-vous avec elle. Depuis quarante ans, ils ne se sont plus revus. Mais ce jour-là, 11 mars 2011, à Fukushima un tremblement de terre ravage la centrale dans laquelle leur fils travaille comme intérimaire sous le contrôle de la mafia. Cet "incident nucléaire" bouscule leurs retrouvailles amoureuses, leurs coeurs se démantèlent, Shikuzo est rappelée d'urgence au Japon. Et pendant ce temps-là, leur fils, doué d'une solide naïveté de kamikaze, est envoyé en mission dans la salle de contrôle du réacteur pour éviter la fusion d'un autre coeur encore.
French literature (outside France) --- Roman français --- Novel. --- Roman français.
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"La maison se trouve au fond du jardin, entre les murs lézardés. C'est une vieille maison, pleine de plis, de rides, de recoins et d'ombres. Elle est couverte de lierre et d'autres plantes bizarres qui ont poussé entre les briques comme des cheveux dont les pointes cherchent la lumière. Un jour, j'ouvrirai les fenêtres pour y laisser pénétrer la végétation afin qu'elle envahisse toutes les pièces, bouchant toutes les issues, nous empêchant ainsi de sortir. Mais cela, je le ferai lorsque plus rien n'aura vraiment d'importance ; quand je suffirai à Gabriel, nous pourrons mourir. Avant cela, il me reste un long chemin à parcourir ; je dois encore lui apprendre la douceur, les caresses qui mènent lentement vers un plaisir qui atteint parfois le sacré, et l'intuition, ce terrible sens qui fait souvent peur aux hommes...".
French literature (outside France) --- Roman français --- Roman français.
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Tout commence aux confins de Tabelbala, une petite oasis isolée dans le nord-ouest du Sahara. Idriss mène paître son troupeau de chèvres et de moutons. Surgit une Land Rover avec un couple d'Européens. La femme saute à terre. A la main, elle tient son appareil de photo. Elle photographie le jeune musulman avec ses bêtes. "Donne-moi la photo !". Non, elle ne peut pas la lui donner tout de suite. Il faut faire développer et tirer le film à Paris. Mais elle note son nom. La photo, elle la lui enverra dès son retour. Et elle disparaît sans mesurer le trouble qu'elle vient d'apporter dans l'esprit du jeune garçon. Bien entendu, la photo n'arrive jamais. Et lorsque, deux ans plus tard, Idriss part pour la France, comme tant d'autres jeunes Maghrébins, c'est sans doute par atavisme de nomade et pour chercher du travail, mais c'est aussi pour retrouver sa photo, et avec elle la femme blonde aux jambes nues qui l'a emportée. Cette photo, cette femme, il ne va cesser de les rencontrer d'étape en étape. Mais, chaque fois, il en est blessé, et il descend un degré de plus dans la dérision et l'abjection. Jusqu'au jour où il trouve enfin l'antidote. Contre le pouvoir asservisseur de l'image, le signe abstrait libère et vivifie. Les clefs de sa prison miroitante lui seront données par un maître de calligraphie arabe.
Roman français --- French literature --- Roman français. --- 870 --- proza --- prose
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Fiction --- French literature --- héros --- personnage --- roman français
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