Narrow your search

Library

FARO (4)

KU Leuven (4)

LUCA School of Arts (4)

Odisee (4)

Thomas More Kempen (4)

Thomas More Mechelen (4)

UCLL (4)

UGent (4)

ULB (4)

ULiège (4)

More...

Resource type

book (4)


Language

French (4)


Year
From To Submit

2020 (1)

2016 (3)

Listing 1 - 4 of 4
Sort by

Book
Le Clézio, passeur des arts et des cultures

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract

L’attribution du Prix Nobel à J.M.G. Le Clézio en 2008 a consacré, autant que l’écrivain français, le meilleur représentant de la « littérature-monde ». L’ouvrage collectif : Le Clézio, passeur des arts et des cultures ancre opportunément dans l’œuvre cette qualité d’écrivain sans frontière. Le Clézio dote la littérature d'une fonction heuristique : explorer les voies de passage vers les cultures mauricienne, nigériane, amérindienne, marocaine ou océanienne, mettre en lumière la fécondité des confluences entre les arts. Les auteurs interrogent une démarche anthropologique consciente des écueils de l’exotisme ou de l’ethnocentrisme et attentive à ce socle commun, à l’humanité que représente le geste artistique. Qu’il commente la poésie de Michaux, les films d’Antonioni ou de Mizogushi, les tableaux de Georges de la Tour, de Modigliani, de Diego Rivera et de Frida Kahlo, J.M.G. Le Clézio privilégie la démarche critique sensible et subjective préconisée par Baudelaire. L’art investit la création littéraire et plusieurs analyses soulignent la richesse des sources d’inspiration leclézienne : des courants picturaux des années 1960-1970 aux masques africains et aux arts populaires ; du chant à la danse. L’écriture appelle la transposition : trois récits, Mondo, Le Procès-verbal, Pawana, suscitent ainsi des recréations par Tony Gatlif, Edmond Baudoin et Georges Lavaudant qui relèvent les défis de l’adaptation au cinéma, en roman graphique et à la scène. Dans une communauté de valeurs, ces artistes relaient l’attention empathique d’un écrivain soucieux de résister à toutes les tentatives d’uniformisation et qui affirme avec force la nécessité de donner voix aux oubliés, de se mettre à l’écoute des civilisations « invisibles ».


Book
Le récit minimal : Du minime au minimalisme. Littérature, arts, médias

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract

Ce volume interroge la notion de « récit minimal », aussi bien dans ses limites qualitatives que quantitatives. Qu'est ce qu’un récit a minima ? Peut-on déterminer un contenu minimal de la narrativité : au moins une action, un événement ? Quel statut donner aux récits à l’événementialité incomplète, aux récits où « il ne se passe rien », aux récits où les actions apparaissent sans intentionalité ? Est-il possible de représenter le non-événement ? Quelles différences entre récit minimal, récit minimaliste et écriture blanche ? L’originalité de ce recueil d’essais réside dans son ouverture à plusieurs supports narratifs : aux études narratologiques et littéraires, sur des auteurs tels que Régnier, Ramuz, Larbaud, Quignard, Michon, Macé ou Chevillard, s’ajoutent des analyses sur la présence du récit minimal dans la poésie et le théâtre, ainsi que dans la bande dessinée, le cinéma, les récits de presse et la publicité.


Book
Annie Ernaux : Un engagement d'écriture

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract

En 2002, Annie Ernaux déclarait que « ce qui compte, dans les livres, c’est ce qu’ils font advenir en soi et hors de soi ». Dix ans plus tard, dans l’entretien qui clôt ce volume, elle revient sur ce « mouvement » qu’elle dit « emblématique de [s]on écriture ». Les études ici réunies explorent cet « engagement d’écriture » dont parle une de ses œuvres les plus récentes. Les auteurs tentent d’y définir les contours de cette nouvelle forme d’engagement (politique, humain, social, corporel et sensible) qu’elle invente, à la lumière notamment du concept d’ « implication ». Cinq dimensions fondamentales en sont ainsi analysées : la volonté d’Annie Ernaux de « descendre dans la réalité sociale » et de prendre comme sujet d’écriture ce qui est traditionnellement considéré comme « au-dessous » de la littérature ; sa position par rapport à un engagement féministe ; l’articulation entre identité et altérité dans sa dimension politique ; la présence au monde d’une écrivaine « traversée par les autres» et, enfin, la manière dont cette œuvre engage et transforme le lecteur.


Book
Les Géants entre mythe et littérature

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract

On pensait avoir tout dit sur le géant, figure figée dans un double stéréotype de violence archaïque ou de bonté débordante, et n'ayant plus guère sa place dans la littérature, si ce n'est dans celle destinée aux enfants. Or ce colloque a permis de découvrir que le géant, présent dans presque tous les récits d'origine où il est tantôt grand ancêtre protecteur, tantôt monstre sauvage tout droit sorti du chaos, continuait à hanter les oeuvres les plus contemporaines. Les articles qui constituent ce volume explorent, à travers les siècles et les oeuvres littéraires, les nombreux enjeux esthétiques, scientifiques ou philosophique de la figure gigantale et nous invitent à découvrir l'étonnante richesse et complexité de ce " personnage-métaphore". La rencontre des spécialistes de domaines et d'époques très différents a ainsi mis en lumière combien le géant est profondément inscrit, non seulement dans l'imaginaire de l'Occident, mais encore dans sa conscience littéraire et artistique.

Listing 1 - 4 of 4
Sort by