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Ce livre d’histoire traite de problèmes majeurs d’aujourd’hui : rôle et devenir du syndicalisme, transformation du salariat, formes et contenus de l’État social, perspectives d’Europe sociale, etc. Le regard neuf qu’il jette sur les syndicalismes européens à leur apogée éclaire les réalités actuelles par un retour sur les débats et les choix des années 1960- 1985, période de transition des derniers feux des Trente Glorieuses vers les temps difficiles qui allaient suivre. L’analyse proposée par une trentaine de spécialistes de six pays (historiens, sociologues, politologues) repose sur la prise en compte de différents types de situations et de questions. Elle envisage les orientations et pratiques syndicales dans deux secteurs d’activité (automobile et enseignement), face aux institutions (l’entreprise et l’État social) et aux nouveaux mouvements sociaux. Elle évoque également les mutations du militantisme, des représentations et des imaginaires à travers l’étude de l’évolution des opinions publiques et des modes de communication. L’étude se distingue des travaux antérieurs par la richesse de l’information réunie, des voies explorées comme des interprétations avancées, et par l’option comparative retenue et appliquée.
Labor unions --- Syndicats --- C5 --- arbeidersbeweging --- C6 --- comparatief onderzoek --- syndicalisme --- transportsector --- onderwijs --- West-Europa (x) --- na 1945 (x) --- militanten (x) --- sociaal beleid --- protestbeweging --- 331.881 --- 331.881 (091) --- P4-15 --- 301.18 --- 37 --- 629.113 --- 339.11 --- 338.93 --- 331.881-05 --- Maatschappelijke organisaties en maatschappelijk leven --- Opvoeding, onderwijs, wetenschap --- syndicalisme - vakbeweging --- vakbeweging, geschiedenis --- West Europa - EU landen --- sociale bewegingen --- onderwijs en opvoeding --- autoindustrie --- welvaart - welvaartstaat - welzijn - rijkdom - verzorgingsstaat --- ondernemingsproblematiek --- vakbondsmilitanten - syndicalisten - voordelen aan gesyndiceerden - syndicale premie --- Labor unions - Europe --- Syndicats - Europe --- History --- apogée --- histoire --- État --- salariat --- militantisme --- opinion publique --- mouvement social --- Syndicalisme --- Pays de l'Union européenne --- 1945-1990 --- Europe de l'Ouest
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En 1924, dans ses fameux Rois thaumaturges, Marc Bloch, entre autres choses, lança un difficile défi aux historiens que ces derniers peinent aujourd’hui encore à relever. Car si, comme le remarqua bien plus tard Jacques Le Goff, ce grand livre contient aussi « l’ébauche d’une histoire du corps », il faut prendre soin de souligner que Bloch, fidèle à sa vision du métier, concevait le corps en un sens bien particulier : non comme un objet d’histoire en soi, mais bien plutôt comme le lieu d’organisation des formes organiques, sociales et symboliques qu’il prenait pour objet de son histoire (le toucher des écrouelles), et dont le sens menaçait de demeurer incompréhensible hors d’une saisie exacte et circonstanciée des formalités historiques de la mise en jeu des corps. Le tableau de Bernard Van Orley (Un roi de France communie, 1515-1520), qui ouvrait l’ouvrage, prévenait à sa façon le lecteur : ce qui importe, à ce seul sujet, ce n’est pas le corps ; mais le corps en tant qu’il est rendu opératoire dans la scène qu’il contribue à faire exister. La distinction n’avait rien d’une broutille.
Human body --- Human body in popular culture --- Body image --- Social aspects --- History --- Body, Human --- Human beings --- Human anatomy --- Human physiology --- Mind and body --- Image, Body --- Imagery (Psychology) --- Person schemas --- Personality --- Self-perception --- Body, Human, in popular culture --- Popular culture --- école --- histoire
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Fruit d'un colloque organisé, en octobre 2001, par le Centre d'histoire sociale du XXe siècle et la CGT-FO, cet ouvrage retrace, à travers Robert Bothereau, l'histoire de la naissance de cette Confédération. Histoire jusqu'alors peu connue. Cette lacune historiographique vient pour partie du fait que la CGT-FO est toujours restée sur un terrain revendicatif alors que CGT et CFDT se sont plus impliquées dans les combats politiques, et ont entretenu davantage de relations avec les intellectuels. Mais le rapport entretenu par la CGT-FO elle-même avec sa propre histoire a également nourri ce retard. Enfin, la vision que l'on pouvait avoir du mouvement social et syndical de l'après-guerre a été longtemps déséquilibrée au détriment de la CGT-FO. À travers la personnalité de celui qui fut durant quinze ans le premier secrétaire général de cette Confédération apparaît enfin, dans le contexte de la guerre froide et de la décolonisation puis des débuts de la Ve République, l'histoire raisonnée d'une composante ancienne et originale et du syndicalisme français. En couverture : Deuxième congrès de la CGT-Force ouvrière. Au centre Robert Bothereau. En quatrième de couverture : portrait de Robert Bothereau (Limoges, 1955). © Archives Force ouvrière.
Syndicalism --- Syndicalisme --- History --- Congresses --- Histoire --- Congrès --- Bothereau, Robert, --- Congrès --- Political Science --- Force ouvrière (France) --- Confédération générale du travail (France) --- parti politique --- syndicalisme ouvrier --- CGT-FO (Union)
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Le colloque “Les Ports Normands : un modèle ?” dont les actes sont publiés dans ce recueil, s'est tenu à Rouen le 28 mai 1998 et au Havre le 29, à l'initiative du CRHCT (Centre de Recherches sur l'Histoire Comparée de la Transition, Université de Rouen). Il a réuni, pour une réflexion sur les ports normands et la notion plus générale de "modèle portuaire”, des spécialistes reconnus de disciplines et de domaines de recherches différents, historiens des époques moderne et contemporaine, géographes, économistes, sociologues.
Geography --- Urban Studies --- History --- Normandie --- port --- modèle portuaire
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Les auteurs analysent ici les processus complexes et multiples de libéralisation manifestés dans différents domaines lors de la seconde moitié des années soixante ainsi que leur rôle éventuel dans la dérégulation affirmée ouvertement après 1984. Quelle place les évènements de 1968 et leurs résultats, tels qu'inscrits dans la loi, dans des décrets ou simplement dans les pratiques, occupent-ils dans ce qui constitue un retournement ? Marquent-ils la fin d'un cycle ouvert par la séquence 1936-1946 et dont les bornes ne coïncideraient pas avec celles des Trente Glorieuses ? Sont-ils annonciateurs d'une séquence nouvelle et, dans cette hypothèse, laquelle ? Ouvrent-ils plus largement à l'appréhension de temporalités autres ? Les réponses apportées ici suggèrent une chronologie inédite, où mai 1968 s'impose comme le moment d'une grande bifurcation.
History --- Mai 1968 --- histoire sociale --- libération --- Trente Glorieuses --- mutation sociale
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Les gouvernements et les acteurs politiques nationaux mettent en œuvre des politiques de la mémoire. Le fait n'est pas nouveau, mais la fréquence et l'intensité de ce type d'action publique semblent croître depuis une trentaine d'années. Le constat peut paraître paradoxal : entre l'éclatement du passé commun mis à mal par la crise de l'État-Nation et l'évanouissement de tout avenir radieux, l'échelon national peut-il encore promouvoir de grandes mythologies collectives, ou même mener une politique symbolique ? L'ouvrage s'attache à répondre à ces questions en analysant la construction des politiques du passé par les pouvoirs publics et par certains acteurs politiques nationaux. Les premiers, aux prises avec les zones d'ombre de la mémoire nationale, créent de nouvelles commémorations et s'essaient à dire le juste et le vrai en matière d'histoire. Ce faisant, ils répondent à une demande sociale qui, souvent contradictoire, les contraint à négocier la redéfinition du passé. Quant aux autres acteurs nationaux, ils revisitent aussi leur histoire pour consolider ou refonder leur identité. Fondé sur des études empiriques, ce livre est une contribution à la réflexion contemporaine sur la question des régimes d'historicité et des rapports entre histoire et mémoire.
Political culture --- Culture politique --- France --- Politics and government --- Politique et gouvernement --- Culture --- Political science --- Pʻŭrangsŭ --- Frankrig --- Francja --- Frant︠s︡ii︠a︡ --- Prantsusmaa --- Francia (Republic) --- Tsarfat --- Tsorfat --- Franḳraykh --- Frankreich --- Fa-kuo --- Faguo --- Франция --- French Republic --- République française --- Peurancih --- Frankryk --- Franse Republiek --- Francland --- Frencisc Cynewīse --- فرنسا --- Faransā --- Franza --- Republica Franzesa --- Gallia (Republic) --- Hyãsia --- Phransiya --- Fransa --- Fransa Respublikası --- Franse --- Францыя --- Frantsyi︠a︡ --- Французская Рэспубліка --- Frantsuzskai︠a︡ Rėspublika --- Parancis --- Pransya --- Franis --- Francuska --- Republika Francuska --- Bro-C'hall --- Френска република --- Frenska republika --- França --- República Francesa --- Pransiya --- Republikang Pranses --- Γαλλία --- Gallia --- Γαλλική Δημοκρατία --- Gallikē Dēmokratia --- فرانسه --- Farānsah --- צרפת --- רפובליקה הצרפתית --- Republiḳah ha-Tsarfatit --- פראנקרייך --- 法国 --- 法蘭西共和國 --- Falanxi Gongheguo --- フランス --- Furansu --- フランス共和国 --- Furansu Kyōwakoku --- Francija --- Ranska --- Frankrike --- France (Provisional government, 1944-1946) --- 프랑스 --- Falanxi --- Fa-lan-hsi --- 法蘭西 --- Frankrijk --- Frant︠s︡ --- Франц --- Frant︠s︡ Uls --- Франц Улс --- Political culture - France - Congresses. --- historiographie --- politique --- gouvernement --- mémoire collective
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Grâce à Maurice Agulhon, la symbolique a son histoire, tout comme l’histoire a sa traduction symbolique. Maurice Agulhon a prouvé en trois livres magistraux sur l’imagerie et la symbolique républicaines de 1789 à nos jours, Marianne au combat (1979), Marianne au pouvoir (1989), et enfin en 2001 Les Métamorphoses de Marianne, que l’image symbole de la figure féminine, avec ou sans bonnet phrygien, avec ou sans le nom de Marianne, fait partie de l’histoire générale de la République en France. Cet ouvrage collectif construit en dialogue avec des spécialistes d’histoire politique, des historiens d’art et des spécialistes des symboles dans d’autres temps et d’autres espaces prolonge et interroge la quête de l’historien sur les relations entre images mentales et images figurées qui migrent d’une nation à une autre et connaissent des mutations de sens au cœur des transferts culturels. L’histoire du « genre » permet de re-visiter l’histoire physique et sexuée des allégories féminines et masculines. Dans notre monde de plus en plus éclaté et divers, où les images sont à la fois plus nombreuses et plus banalisées, quelle place reste-t-il aux symboles politiques et nationaux, entre art, folklore, idéologie, caricature et publicité? Est-on passé du temps de l’idéologique à celui du médiatique? Le contraste entre les symboles optimistes choisis par Le Douanier Rousseau en 1907 et le pessimisme engendré par la « starisation » des dernières années nous éclaire sur l’évolution de notre société politique et de ses cultures.
History --- République --- art --- politique --- aspect symbolique --- symbolisme --- Marianne
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Pourquoi des syndicalismes si différents en Grande-Bretagne, en France et en Allemagne dès la fin du XIXe siècle ? Pour répondre à cette question on compare ici le Trade unionism, le syndicalisme révolutionnaire et le mouvement ouvrier allemand de façon très concrète. D’une part, on examine le s d’organisation ouvrières dans des secteurs industriels ou des territoires déterminés (les mineurs, les dockers, le bâtiment, les grandes villes, etc.). D’autre part, on analyse, d’un point de vue toujours comparatif, des productions symboliques (le Premier mai, les discours) ou des formes d’organisation (mutuelles et coopératives, patronat). Chacun des chapitres à été préparé par les meilleurs spécialistes du sujet donné dans les trois pays, parfois étendu à la Belgique et à l’Italie. Plusieurs réunions ont permis de définir une problématique commune. Enfin, les différents tex te sont été discutés à l’occasion d’un colloque international financé par la Commission européenne. On présente ici la version revue et corrigée de ces textes, assortis d’une bibliographie générale. Ont contribué à l ’ouvrage John Barzman, John Belchem, Peter Berkowitz, Manfred Bock, Friedhelm Boll, Rémy Cazals, Jean-Claude Daumas, Jacques Delors, Gita Deneckere, Marie-Geneviève Dezès, Karl Ditt, Michel Dreyfus, Marlene Ellerkamp, Allan Fowler, Marie-Louise Goergen, Rebecca Gumbrell, Karl H. Pohl, Odette Hardy, Richard Hyman, Sandrine Kott, Giuseppe M. Longoni, John Lovell, Kenneth Lunn, Inge Marssolek, Arthur McIvor, Joël Michel, Eric Nijhof, Norbert Olszak, Michel Pigenet Antoine Prost, Vincent Robert, Michael Schneider, Peter Scholliers, Stéphane Sirot, Danielle Tartakowsky, Klaus Tenfelde, Thomas Welskopp, Noël Whiteside, Chris Wrigley.
Labor unions --- Syndicats --- History --- Histoire --- Labor unions - Europe, Western - History - 19th century --- Industrial unions --- Labor, Organized --- Labor organizations --- Organized labor --- Trade-unions --- Unions, Labor --- Unions, Trade --- Working-men's associations --- Labor movement --- Societies --- Central labor councils --- Guilds --- Syndicalism --- syndicalisme --- mouvement ouvrier --- organisation ouvrière --- colloque international --- territoire --- convention collective --- Syndicalisme --- Europe --- 19e siècle
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Les syndicats sont et demeurent des associations dans la large acceptiondu terme. Ils émergent et se développent dans l'espace du travail où préexistent nombre d'associations, d'initiatives et d'intitulés divers. Syndicats et associations remplissent de surcroît, souvent, les mêmes fonctions et nourrissent, parfois, des objectifs similaires. L'ouvrage qui rassemble des contributions émanant d'historiens, de sociologues et de politistes s'essaie à analyser la diversité des relations qui se sont nouées durant plus d'un siècle entre ces modes d'agrégation sociale ; lalégislation, les politiques publiques, les formes prises par les structures étatiques et la traditions de subsidiarité dans la politique sociale influent fondamentalement sur le rapport que l'État entretient avec les syndicats et les associations et, du même fait, sur les relations que ces deux types d'organisations entretiennent. L'explosion associative et la dépréciation de la forme syndicale restaurent des rapports de concurrence. Les redéfinitions du politiqueà l'oeuvre dessinent, toutefois, simultanément, des espaces d'alliances redéfinis.
Labor unions --- Professional associations --- Nonprofit organizations --- Syndicats --- Associations professionnelles --- Associations sans but lucratif --- History --- Histoire --- Actes de congrès --- Sociology --- gouvernance --- institution politique --- association professionnelle --- association sans but lucratif --- syndicat --- politiques publiques
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Propices aux polémiques et à la caricature, les années 1950 sont au nombre des périodes encore mal connues de l’histoire de la CGT. Le Centre d’histoire sociale du XXe siècle et l’Institut CGT d’histoire sociale ont uni leurs compétences afin de mieux comprendre ce que fut la Confédération en ces temps difficiles. Tel était l’objet du colloque tenu en novembre 2003 dont rend compte le présent ouvrage. Durant la guerre froide, le poids du parti communiste a très fortement pesé sur la vie de la Confédération. Aussi importait-il de s’interroger sur les conséquences, directes ou non, de cette relation sur l’attitude cégétiste, qu’il s’agisse de son opposition aux gouvernements ou au patronat, de la lutte pour la paix et contre les guerres coloniales. Les auteurs s’intéressent au fonctionnement de la CGT, son « gouvernement », ses cadres et ses militants. Ils mettent en lumière les pratiques consécutives à l’engagement de la CGT dans la gestion des comités d’entreprise et de la Sécurité sociale. L’ouvrage traite encore des débats qui l’ont traversée : paupérisation, planification, stratégie syndicale internationale, relations avec les autres confédérations françaises, etc. Au fil d’études spécifiques menées à différentes échelles – locales, départementales, professionnelles –, les travaux soulignent la grande diversité des comportements cégétistes. Ils font enfin une large place aux militants et, plus précisément, aux militantes dont le rôle grandit durant la décennie. Loin de toute vision unilatérale ou réductrice, le présent ouvrage restitue pour la première fois l’histoire de la principale organisation syndicale française saisie au début des Trente Glorieuses.
History --- Social Issues --- Confédération générale du travail (France) --- syndicat --- France
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