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Scholars in all fields now have access to an unprecedented wealth of online information, tools, and services. The Internet lies at the core of an information infrastructure for distributed, data-intensive, and collaborative research. Although much attention has been paid to the new technologies making this possible, from digitized books to sensor networks, it is the underlying social and policy changes that will have the most lasting effect on the scholarly enterprise. In Scholarship in the Digital Age, Christine Borgman explores the technical, social, legal, and economic aspects of the kind of infrastructure that we should be building for scholarly research in the twenty-first century. Borgman describes the roles that information technology plays at every stage in the life cycle of a research project and contrasts these new capabilities with the relatively stable system of scholarly communication, which remains based on publishing in journals, books, and conference proceedings. No framework for the impending "data deluge" exists comparable to that for publishing. Analyzing scholarly practices in the sciences, social sciences, and humanities, Borgman compares each discipline's approach to infrastructure issues. In the process, she challenges the many stakeholders in the scholarly infrastructure--scholars, publishers, libraries, funding agencies, and others--to look beyond their own domains to address the interaction of technical, legal, economic, social, political, and disciplinary concerns. Scholarship in the Digital Age will provoke a stimulating conversation among all who depend on a rich and robust scholarly environment. Christine L. Borgman is Professor and Presidential Chair in Information Studies at the University of California, Los Angeles. She is the author of From Gutenberg to the Global Information Infrastructure: Access to Information in the Networked World (MIT Press, 2000).
Communication in learning and scholarship --- Scholarly electronic publishing. --- Information technology. --- Learning and scholarship --- Technological innovations. --- Social aspects. --- Erudition --- Scholarship --- IT (Information technology) --- Electronic scholarly publishing --- Communication in scholarship --- Scholarly communication --- Electronic publishing --- Civilization --- Intellectual life --- Education --- Learned institutions and societies --- Research --- Scholars --- Technology --- Telematics --- Information superhighway --- Knowledge management --- Scholarly publishing --- Electronic books --- INFORMATION SCIENCE/General
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Puisant ses analyses et ses exemples dans des champs scientifiques variés, cet ouvrage (dont l’original est paru en 2015 chez MIT Press) offre une étude inédite des utilisations des données au sein des infrastructures de la connaissance – utilisations qui varient largement d’une discipline à l’autre. Bien que le big data ait régulièrement les honneurs de la presse des deux côtés de l’Atlantique, Christine L. Borgman met en évidence qu’il vaut mieux disposer des bonnes données qu’en avoir beaucoup. Elle montre également que les little data peuvent s’avérer aussi précieuses que les big data, et, que, dans bien des cas, il n’y a aucune donnée, parce que les informations pertinentes n’existent pas, sont introuvables ou sont indisponibles… Au travers d’études de cas pratiques issus d’horizons divers, Christine L. Borgman met aussi en lumière que les données n’ont ni valeur ni signification isolément : elles s’inscrivent au sein d’une infrastructure de la connaissance, c’est-à-dire d’un écosystème de personnes, de pratiques, de technologies, d’institutions, d’objets matériels et de relations. Pour l’autrice, gérer les données et les exploiter sur le long terme requiert ainsi des investissements massifs dans ces infrastructures de la connaissance. L’avenir de la recherche, dans un monde en réseau, en dépend.
Information Science & Library Science --- données --- big data --- recherche --- infrastructure de la connaissance
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On assiste actuellement à la multiplication des données numériques provenant de diverses sources : les administrations mettent en ligne leurs données de fonctionnement dans le cadre de démarches open data, les entreprises ouvrent certaines de leurs données non stratégiques, le monde scientifique utilise des données hétérogènes et de grande taille, et les internautes produisent des données à travers leurs activités quotidiennes sur le web. Loin d’être simplement mises en ligne, ces données sont « mises à disposition » des utilisateurs en vue de créer de nouveaux services et d’améliorer la connaissance des pratiques sociales. Comme le montre les discours d’accompagnement produits par les différents acteurs, les espoirs placés dans les données numériques sont nombreux et les transformations annoncées sont bien souvent présentées comme inéluctable et par défaut source de progrès. Loin de considérer cet « impératif d’ouverture » comme immuable, l’ambition du présent ouvrage est d’interroger de manière critique les multiples processus sociotechniques au sein desquels les données s’insèrent, de leur production à leur usage. Cette démarche propose d’ouvrir des pistes de réflexions pour mieux appréhender les évolutions de notre environnement numérique.
Information Science & Library Science --- Social Sciences, Interdisciplinary --- big data --- données numériques --- empowerment --- épistémologie des SHS --- gouvernement des données --- infrastructures informationnelles --- open data --- partage de données --- data sharing --- information infrastructure --- empowement --- epistemology --- political accountability --- science --- social science
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