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La valeur de l'art constitue un thème de première importance dans les discussions sur l'art au dix-huitième siècle. Le marché de l'art se transforme de façon décisive avec le passage d'une économie basée sur la commande à la vente par intermédiaire. Critique et expositions se nourrissent et évoluent parallèlement. La théorie est en pleine expansion. J. Rasmussen, Introduction. I. LA GENÈSE DE L'ART. A. Becq, Esthétique, société, marché - N. Viellescazes, Qu'est-ce que parler des "beaux-arts". Le cas de l'abbé Batteux. II. PUBLIC ET JUGEMENT. N. Manceau, Raillerie et fascination : le critique d'art face aux tableaux de l'exposition du Louvre - E. Kernbauer, Les jugements de valeur : la formation du public comme autorité d'évaluation esthétique. III. TECHNIQUES DE VALORISATION. P. Michel, L'espace de la collection au XVIIIe siècle : lieux et dispositifs de la collection - Annexe : J.-B.-P. Lebrun : projet degalerie pour le Prince de Conti - G. Glorieux, M. Stiémart, peintre et bon copiste : ébauche d'un portrait de François-Albert St iémart (1680-1740) - IV. RÉPONSES AUX TRANSFORMATIONS DE L'ART. À Julibert Jiménez, Les Salons de l'Académie de Saint-Luc (1751-1774) - C. Spector, De Rousseau à Smith : esthétique démocratique de la sensibilité et théorie économiste de l'esthétique

art market --- Art --- appraising --- anno 1700-1799 --- Art criticism --- Art and society --- Salons --- Critique d'art --- Art et société --- Salons littéraires --- Marketing --- History --- Collectors and collecting --- Commercialisation --- Histoire --- Collectionneurs et collections --- Art et société --- Salons littéraires