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Contracts (Roman law) --- Obligations (Roman law) --- Contrats (Droit romain) --- Obligations (Droit romain) --- Roman law
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Rien ne prédestinait Jean Hiernard à publier un jour le Journal de voyage d’un Silésien du xvie siècle. Spécialiste d’histoire romaine, il fit un jour par hasard connaissance, par le truchement de l’austère Corpus Inscriptionum Latinarum, de Seyfried Rybisch, un étudiant en droit passé par Poitiers en 1552 au cours de sa peregrinatio academica où il avait relevé quelques épitaphes antiques. Il lui est apparu comme une sorte d’alter ego dont il découvrit les manuscrits, aujourd’hui conservés à Wrocław, l’ancienne Breslau. L’Itinéraire de Rybisch, comme ses nombreux semblables à cette époque, nous fait parcourir en compagnie de ce studiosus et de ses camarades les chemins de la Renaissance. Son édition, accompagnée d’un commentaire exhaustif, a nécessité de longues années parsemées de doutes, de déceptions, mais aussi de découvertes. L’étude des récits de ce genre permet de renouveler notre connaissance de l’univers mental et intellectuel d’un moment de l’histoire où l’Europe moderne était en train de naître.
Classics --- History --- droit romain --- épigraphie --- humanisme --- Renaissance --- université --- voyage
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Il est bien connu que, dans l’héritage que l’Ancienne Rome a légué au monde actuel, le droit occupe une grande place. Mais cette évidence nous empêche peut-être de comprendre que le droit romain ne reposait pas nécessairement sur les mêmes bases que notre droit actuel et qu’à Rome même, une conception « moderne » du droit a mis du temps à s’imposer. André Magdelain, qui fut un des meilleurs spécialistes en matière de droit romain, le montre dans ce livre à propos du concept de loi. Au début, c’est le détenteur du pouvoir, le roi puis le magistrat qui dicte la loi, que le peuple n’a qu’à ratifier – le latin disait « recevoir la loi », accipere legem – et encore n’entrait-elle en vigueur que lorsque le Sénat lui avait donné son « autorité », seul susceptible de la rendre opératoire. Ce n’est que peu à peu que le principe de la souveraineté populaire s’est fait jour et que la loi est apparue comme émanant de la volonté des citoyens. L’ouvrage reste un des meilleurs exemples d’approche historique du droit romain et montre combien les cadres juridiques sont importants pour comprendre le monde de la Rome ancienne.
Roman law --- Roman law. --- Droit romain --- Classics --- History --- droit --- justice --- serment --- institution(s) --- privé/public --- droit romain
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Ce liber amicorum est dédié au professeur Gilbert Hanard à l'occasion de son accession à l'éméritat. Son contenu illustre bien les options pédagogiques et scientifiques du titulaire du cours de droit romain qu'il dispensa pendant plus de trente années aux étudiants de la première année en droit. Cet ouvrage, bouquet offert par ses amis et collègues des universités belges et européennes, plonge en effet au cœur du dialogue continu qu'entretiennent le droit romain, l'histoire du droit et le droit civil contemporain. Un tel croisement disciplinaire ayant alimenté en permanence l'enseignement de Gilbert Hanard, le choix de recourir aux plumes de romanistes, d'historiens et de praticiens du droit pour composer cet hommage s'imposait. De l'Antiquité aux sources du droit romain dans la législation moderne ou les Principes européens du droit des contrats, en passant par le Moyen Âge et le début de l'indépendance de la Belgique, le spécialiste autant que l'amateur éclairé trouveront dans ces contributions les éléments d'une réflexion sur l'importance de la démarche historienne pour la compréhension des principes qui fondent le droit civil actuel.
Roman law --- Law --- Droit romain --- Droit --- History --- Histoire --- Hanard, Gilbert --- Reception --- Festschriften --- Belgium --- droit romain --- histoire du droit --- droit civil contemporain --- droit des contrats --- démarche historienne --- hommage
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Roman law --- Europe --- Roman law - History. --- Law - Europe - Roman influences. --- Law --- Droit romain --- Droit --- History --- Roman influences. --- Histoire --- Influence du droit romain --- Roman influences --- Influence --- History.
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Slaves were property of their dominus, objects rather than persons, without rights: These are some components of our basic knowledge about Roman slavery. But Roman slavery was more diverse than we might assume from the standard wording about servile legal status. Numerous inscriptions as well as literary and legal sources reveal clear differences in the social structure of Roman slavery. There were numerous groups and professions who shared the status of being unfree while inhabiting very different worlds.The papers in this volume pose the question of whether and how legal texts reflected such social differences within the Roman servile community. Did the legal system reinscribe social differences, and if so, in what shape? Were exceptions created only in individual cases, or did the legal system generate privileges for particular groups of slaves? Did it reinforce and even promote social differentiation? All papers probe neuralgic points that are apt to challenge the homogeneous image of Roman slave law. They show that this law was a good deal more colourful than historical research has so far assumed. The authors’ primary concern is to make this legal diversity accessible to historical scholarship.
SOCIAL SCIENCE / Slavery. --- Roman law. --- peculium. --- slave families. --- slave hierarchies. --- Enslaved persons --- Esclaves --- Slavery (Roman law) --- Esclavage (Droit romain) --- Social conditions. --- Conditions sociales --- Esclavage --- Droit romain.
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Roman families were infinitely diverse, but the basis of Roman civil law was the familia, a strictly-defined group consisting of a head - the paterfamilias - and his descendants in the male line. This book investigates the interrelationship between family and familia, especially how families exploited the legal rules for their own ends, and disrupted the familia, by use of emancipation (release from patria potestas ) and adoption. It also traces legal responses to the effects of demographic factors, which gave increased importance to maternal connections, and social factors, such as the difficulties for ex-slaves in conforming to the familia-pattern. The familia as a legal institution remained virtually unchanged; nevertheless Roman family law underwent substantial changes, to meet the needs and desires of Roman society. (publisher's description)
Domestic relations (Roman law) --- Families --- Familles --- Droit romain --- Domestic relations (Roman law). --- Roman law --- Families - Rome
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Droit --- Droit romain --- Étude et enseignement. --- Histoire. --- Influence. --- Roman law --- E-books --- Étude et enseignement
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Cet ouvrage propose une synthèse sur l’impact socio-juridique de la Constitutio Antoniniana, avec pour question fondamentale de savoir ce que cela signifie d’être un citoyen romain, à la fois pour les individus et pour l’administration provinciale au lendemain de cet événement. L’étude du changement onomastique survenu dans les provinces permet d’en affiner la datation. L’analyse de précédents octrois de la citoyenneté permet de catégoriser ce changement universel sur le plan juridique et d’en extrapoler certaines caractéristiques. L’examen des institutions qui suivent un régime personnel, tels que les mariages et les successions, donne une idée des interactions entre les provinciaux et le droit romain, ainsi qu’un aperçu de l’attitude des autorités romaines.
Citoyenneté --- Histoire romaine --- Roman history --- Antiquité --- Caracalla --- Épigraphie --- Papyrologie --- Empire --- Droit romain
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Embarking on a unique study of Roman criminal law, Judy Gaughan has developed a novel understanding of the nature of social and political power dynamics in republican government. Revealing the significant relationship between political power and attitudes toward homicide in the Roman republic, Murder Was Not a Crime describes a legal system through which families (rather than the government) were given the power to mete out punishment for murder. With implications that could modify the most fundamental beliefs about the Roman republic, Gaughan's research maintains that Roman criminal law did not contain a specific enactment against murder, although it had done so prior to the overthrow of the monarchy. While kings felt an imperative to hold monopoly over the power to kill, Gaughan argues, the republic phase ushered in a form of decentralized government that did not see itself as vulnerable to challenge by an act of murder. And the power possessed by individual families ensured that the government would not attain the responsibility for punishing homicidal violence. Drawing on surviving Roman laws and literary sources, Murder Was Not a Crime also explores the dictator Sulla's "murder law," arguing that it lacked any government concept of murder and was instead simply a collection of earlier statutes repressing poisoning, arson, and the carrying of weapons. Reinterpreting a spectrum of scenarios, Gaughan makes new distinctions between the paternal head of household and his power over life and death, versus the power of consuls and praetors to command and kill.
Murder (Roman law) --- Homicide (Roman law) --- Rome --- Politics and government --- Homicide (Roman law). --- Murder (Roman law). --- Meurtre (droit romain) --- Homicide (droit romain) --- Politique et gouvernement --- 510-30 av. J.-C.
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