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" Il supporte mal toute image de lui-même, souffre d'être nommé. Il considère que la perfection d'un rapport humain tient à cette vacance de l'image: abolir en soi, de l'un à l'autre, les adjectifs ; un rapport qui s'adjective est du côté de l'image, du côté de la domination, de la mort. "
Semiotics --- Barthes, Roland, --- Barthes, Roland, - 1915-1980
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Museum labels. --- Semiotics. --- Étiquettes (Expositions) --- Sémiotique
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Iconography --- Semiotics --- Sémiotique --- Mallarmé, Stéphane, --- Semiotics. --- Sémiotique --- Mallarmé, Stéphane, --- Semiotique et litterature --- Illustrations, images, etc. --- Analyse, interpretation, appreciation
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Visual perception --- Visual communication in art --- Art and literature --- Perception visuelle --- Communication visuelle dans l'art --- Art et littérature --- Congresses. --- Congrès --- Semiotics and art --- 76:655.5 <44> --- Grafische kunsten. Grafiek. Prentkunst-:-Geïllustreerde boeken (boekillustraties)--Frankrijk --- 76:655.5 <44> Grafische kunsten. Grafiek. Prentkunst-:-Geïllustreerde boeken (boekillustraties)--Frankrijk --- Art et littérature --- Congrès --- Art --- Art and semiotics --- Visual perception - Congresses. --- Visual communication in art - Congresses. --- Art and literature - Congresses. --- Semiotics and art - Congresses.
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En Europe, depuis le milieu du xixe siècle, les signes lapidaires furent qualifiés de marques de tâcheron. Cette appellation s’est répandue et s’est imposée un peu partout. Or, trente ans de recherches nous ont montré que cette dénomination est trop restrictive et bien souvent erronée. Elle recouvre en fait une variété de situations, de statuts sociaux, de contenus à connotation juridique, etc.Ce livre décrit, textes archivistiques à l’appui – dont il établit pour la première fois un corpus –, la diversité, la pluralité, la multiplicité de sens à donner à ces signes qu’une observation lacunaire a classé, par facilité et faute d’une analyse approfondie, sous un même vocable univoque.L’auteur y établit la typologie des signes, les différents modes de représentation (en creux, en relief, peints) et ce, dans une optique européenne.
Glyptics --- Glyptiek --- Glyptique --- Glyptographie --- Glyptography --- Inscriptions --- Artists' marks --- Semiotics --- Sculpture --- tomb slabs --- lapidary work --- Inscriptions - Europe --- Glyptics - Europe --- Artists' marks - Europe --- Bouwhistorisch onderzoek--handleiding --- Bouwmaterialen--steen --- 711.3
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Mythologies est un recueil de 53 textes rédigés par Roland Barthes entre 1954 et 1956 au fil des mois et au gré de l'actualité, publié aux éditions du Seuil en 1957. Dans l'avant-propos, Barthes précise son projet : « Le matériel de cette réflexion a pu être très varié (un article de presse, une photographie d'hebdomadaire, un film, un spectacle, une exposition), et le sujet très arbitraire : il s'agissait évidemment de mon actualité ». Dans Mythologies, il décrit des mythes aussi divers que la Citroën DS, le catch, le vin, le visage de Greta Garbo, le steak-frites et le discours colonial français. Mais il analyse également le phénomène même du mythe. Le mythe pour Barthes est un outil de l'idéologie, il réalise les croyances, dont la doxa est le système, dans le discours : le mythe est un signe. Son signifié est un idéologème, son signifiant peut être n'importe quoi : « Chaque objet du monde peut passer d'une existence fermée, muette, à un état oral, ouvert à l'appropriation de la société ». L'analyse emprunte à la sémiologie, mais aussi à l'observation sociologique. Cet essai a exercé une certaine influence sur des journalistes et écrivains de langue française, par exemple Georges Perec et Jérôme Garcin. Il a été traduit en anglais dans les années 1970, sous le titre de The Eiffel Tower and Other Mythologies (1979), par Richard Howard. Ce volume contient l’intégralité du texte des Mythologies et l'enrichit d'environ 120 illustrations. Parues en 1957, les Mythologies de Roland Barthes constituent un cas à part dans l’édition : depuis plus de cinquante ans, elles ont eu des centaines de milliers de lecteurs ; attachées à saisir une époque, elles n’ont pourtant pas pris une ride. Bref, les Mythologies sont désormais inscrites dans notre patrimoine littéraire. Pourquoi illustrer les Mythologies ? Avant tout parce que leur objet est très souvent visuel. On sait l’intérêt que Barthes portait à la photographie. Son regard sur la presse (Paris-Match, Elle), la publicité, etc. est tout aussi omniprésent dans le livre. Ce volume entend donc donner à voir l’univers visuel de Barthes, le texte caché en quelque sorte. Le résultat est fort, surprenant, parfois drôle.
Popular culture. --- Semiotics. --- Culture populaire --- Sémiotique --- Sémiotique --- Sociologie de la culture --- Littérature --- Sémiologie --- Mythe --- Barthes, Roland --- Barthes, Roland, --- Barthes, Roland, 1915-1980 --- Myth --- Social aspects
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Imagine a world without things. There would be nothing to describe, explain, remark on, interpret, or complain about. Without things, we would, in short, stop speaking ; we would become as mute as objects are alleged to be. In nine original essays, internationally renowned historians of art and of science seek to understand how objects become charged with significance without losing their gritty materiality. Things That Talk aims to escape the opposition between positivist facts and cultural readings that bifurcates the current historiography of both art and science. Confronting this impasse from an interdisciplinary perspective, each author singles out one object for close attention : a Bosch drawing, the freestanding column, a Prussian island, soap bubbles, early photographs, glass flowers, Rorschach blots, newspaper clippings, paintings by Jackson Pollock. Each object is revealed to be a node around which meanings accrete thickly. But not just any meanings: what these things are made of and how they are made shape what they can mean. Neither the pure texts of semiotics nor the brute objects of positivism, these things are saturated with cultural significance. Things become talkative when they fuse matter and meaning; they lapse into speechlessness when their matter and meanings no longer mesh.
Art and science. --- Semiotics and art. --- Object (Aesthetics) --- Object (Philosophy) --- 7.01 --- 7.03 --- Pollock Jackson --- Grosz George --- collage --- montage --- krantenknipsels --- rorschachtest --- Rorschach Hermann --- plantkunde --- botanica --- fotografie --- zeepbellen --- Pfaueninsel --- eilanden --- zuilen --- architectuur --- Bosch Hieronymus --- designtheorie --- productdesign --- perceptie --- waarneming --- kunsttheorie --- kunst en wtenschap --- kunst --- Philosophy --- Aesthetic object --- Aesthetics --- Art and semiotics --- Art --- Science and art --- Science --- Art et sciences --- Sémiotique et art --- Objet (Esthétique) --- Objet (Philosophie) --- Object (Aesthetics). --- Sémiotique et art --- Objet (Esthétique) --- Art and science --- Semiotics and art --- Semiotics --- Object (Philosophy). --- Sémiotique --- Objet --- Analyse de l'art --- Culture
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Le structuralisme a constitué un moment marquant de la pensée du XXe siècle opérant un nouage stimulant entre la linguistique, l’anthropologie, la psychanalyse et la philosophie. La notion de structure et ses postulats ont ainsi conduit à une critique à l’égard de la "forme". Dans l’article décisif "La structure et la forme", Lévi-Strauss écrit que si la forme se définit par opposition à la matière, la structure est le contenu même, "appréhendé dans une organisation logique conçue comme propriété du réel". Si le structuralisme s’est parfois érigé en doctrine, il désigne d’abord, comme le rappelait Derrida, "une aventure du regard" et "une conversion dans la manière de questionner devant tout objet". Y compris lorsqu’il s’agit de l’histoire. Comme en témoigne de nombreuses publications et expositions de cette dernière décennie, il existe un regain d’intérêt pour les pratiques artistiques et théoriques qui investissent le passé au profit d’une écriture plurielle et plastique de l’histoire. Parallèlement, et dans ce contexte, de nombreux chercheurs tentent de redonner une place à l’approche structurale pour souligner sa fécondité historique et méthodologique comme en atteste les travaux de Giovanni Careri ou encore de Patrice Maniglier qui contribuent à ce dossier. Les contributions ici rassemblées réinterrogent la notion de structure comme outil d’interprétation dans le domaine de la création. Il s’agit d’en examiner les ressources et les limites en prenant pour point d’attention principal les relations entre l’œuvre d’art et l’histoire. Trois dossiers d’artistes viennent apporter leur éclairage sensible. La seconde partie de ce volume est consacrée à l’une des figures marquantes de l’analyse structurale. Les contributions rassemblées autour de l’œuvre d’Algirdas Julien Greimas montrent à quel point les hypothèses théoriques avancées par le sémioticien constituent encore aujourd’hui des outils d’analyse pour penser les arts plastiques. Si Greimas est connu pour ses recherches visant à formaliser l’univers du récit, certains de ses écrits abordent plus directement l’image et ses processus de signification. Partant de l’article de Greimas, "Sémiotique figurative et sémiotique plastique", les contributions de ce dossier opèrent une mise à l’épreuve et un prolongement des intuitions de Greimas. Jean-François Bordron, par exemple, esquisse une analyse de quelques notions de cet article pour appréhender une théorie de l’image dans le cadre d’une épistémologie structuraliste, tandis qu’Angela Mengoni tente de montrer en quoi les auteurs qui se réclament aujourd’hui d’un "tournant iconique" empruntent des chemins déjà tracés par Greimas.
Semiotics and the arts --- Greimas, Algirdas Julien --- Criticism and interpretation --- Sémiotique et art. --- Illustrations, images, etc. --- Interprétation. --- Critique et interprétation. --- Illustrations
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"Parce que les musées et les expositions sont désormais moins souvent des lieux d'apprentissage que de mise en éveil des curiosités, l'écriture de l'exposition doit se réinventer. Cet ouvrage s'emploie à en dessiner les nouveaux contours, à fouiller le langage des concepteurs et fait surgir les nouvelles configurations du rapport avec les visiteurs." [Source : 4e de couv.]
Museology --- Exhibitions. --- Museums --- Museum techniques. --- Semiotics. --- Expositions --- Sémiotique et musées --- Scénographie d'exposition --- Muséologie --- Recherche --- Exhibitions --- Museum techniques --- Semiotics --- Applied museology --- Museography --- Museum practices --- Museum studies --- Exhibits --- Expos (Exhibitions) --- Industrial arts --- Industrial exhibitions --- International exhibitions --- Technology --- World's fairs --- Sales promotion --- Fairs --- Technique
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