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Abbaye --- --France --- --répertoire --- --Abbaye --- France
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L'abbaye Saint-Victor de Paris, qui fut aussi un lieu d'enseignement et l'un des foyers de la "renaissance du XIIe siècle" , a vu s'épanouir des formes spirituelles spécifiques, notamment par l'élaboration conceptuelle dont elles furent l'objet. Les victorins, disciples de la scola caritatis, ont trouvé dans le thème du jardin mystique ce qui pouvait au mieux décrire les états intérieurs qu'ils avaient pu connaître ; mais, disciples également d'une école de pensée, ils en ont aussi tenté une présentation doctrinale au moyen des architectures bibliques, que leur herméneutique leur recommandait comme instruments d'investigation et d'expression.A ces deux dimensions - jardins et constructions - ce volume accorde une attention centrale, sans préjudice d'une étude synthétique sur chacun des deux grands victorins, Hugues et Richard.
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Na vele gesprekken en bezoeken, na lang luisteren en van gedachten wisselen, hebben de trappistenbroeders de reali- satie van dit boek toevertrouwd aan twee kunstenaars die duidelijk blijk geven van een stille verstandhouding. Het oplettende oog van Jean-Marie Lecomte en de tactvolle pen van Joseph Orban leiden ons langzaam langs de weg van de stilte die de monniken al meer dan duizend jaar volgen. Tekst en beeld laten ons kennismaken met een wereld van delen, nederigheid, respect en openheid. Want het zou fout zijn te denken dat monniken zich afzonderen om de wereld te ontvluchten. "Bid en werk" is hun lijfspreuk. Je zou eraan kunnen toevoegen: "beschouw". Dit boek nodigt uit tot beschouwing...
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C’est sur un espace utilisé depuis la fin du ixe siècle, occupé aux environs de l’an mil par une étonnante construction de bois à sol de béton et à vocation funéraire, que s’implante au xiie siècle la nouvelle cuisine de l’abbaye Saint-Philibert de Tournus. Lié au réfectoire voisin, le bâtiment empiète à l’époque sur des niveaux de circulation extérieure. Sa conception architecturale est ambitieuse, avec un plan centré sur un octogone entouré de vastes cheminées à contrecœur semi-circulaire qui évoque des modèles de l’ouest de la France - disparus pour la plupart, à l’exception ou presque de la cuisine de Fontevraud en Anjou. Toutefois, au contraire de ces exemples connus uniquement pour leur architecture, c’est la conservation en place des dépôts d’utilisation intérieurs, compressés à force d’accumulation et de piétinements, qui fait la richesse du spécimen tournusien, illustrant de façon saisissante le quotidien de cette cuisine jusqu’au milieu du xvie siècle. Pendant quatre siècles, c’est autour de grandes langues de cendres témoignant d’une cuisson dans la braise, étalées depuis les quatre foyers jusqu’au milieu de la pièce, que se concentre l’essentiel de l’activité. Les postes de préparation sont trahis par autant de tas de déchets spécialisés : coquilles d’œufs, fragments d’os, écailles de poisson… Une conduite d’eau et un drain de pierres traversent la pièce, portiques ou paravents de bois sont déplacés sans cesse. La permanence de déchets de consommation carnée sur le même site depuis la fin du ixe siècle, l’abondance des restes de poisson dans la cuisine, permettent de retracer l’évolution de l’approvisionnement et de l’alimentation des moines et de leurs familiers laïcs. Quant aux nombreux fragments de poteries, également présents depuis les premiers niveaux, ils offrent sur huit siècles, avec d’autres sites tournusiens, un référentiel de productions en usage dans la région. À cela s’ajoutent quelques restes d’ustensiles en métal, verre ou pierre, tels…
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L’abbaye bénédictine d’Anchin, née d’un groupement d’ermites, est fondée en 1079 avec le concours de l’évêque de Cambrai Gérard II. Son spectaculaire essor s’affirme avec l’abbatiat d’Alvise (1111-1131). Le xiie siècle est un véritable âge d’or. Au siècle suivant, l’abbaye vit encore sur sa splendeur mais n’échappe pas aux difficultés à partir des années 1270. Pour écrire ce livre, il a fallu interroger une documentation considérable. Le nécrologe et le coutumier inédits ont permis de faire revivre ce monastère dans ses membres comme dans sa pratique. Le cadre monumental grandiose, aujourd’hui disparu, l’important réseau de curtes et de paroisses, les trois prieurés attestent de l’indiscutable puissance de l’abbaye. Le magistère spirituel exercé auprès de nombreux monastères et le vaste réseau de confraternités manifestent le dynamisme d’Anchin, insérée dans la société de son temps par de considérables possessions foncières et des dîmes. La position de l’abbaye sur la Scarpe, à la frontière entre Flandre et Hainaut, et l’enjeu qu’elle constitue dans la progression capétienne définissent la spécificité de ses rapports avec les puissants. Pendant deux siècles et demi, malgré des vicissitudes et en dépit de la densité monastique de la région, l’omniprésence des moines d’Anchin illustre la place éminente tenue dans un espace qui dépasse de beaucoup le cadre d’origine.
History --- histoire --- abbaye --- abbaye d’Anchin --- Moyen-Âge --- histoire religieuse --- bénédictin --- coutume --- pratique --- cistercien --- trappiste
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#BIBC:bibl.Lemaire R.M. --- Abbeys --- History --- Fontevrault-l'Abbaye (France) --- Fontevrault-l'Abbaye (France). --- #BIBC:bibl.Lemaire R.M --- Fontevrault (France) --- Fontevraud (France) --- Fontevrault-l'Abbaye, France
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Alors que se profilait à l’horizon la commémoration en 1970 du « neuvième centenaire » de l’abbaye d’Orval, la tradition d’une triple fondation monastique était remise en question. Les cisterciens arrivés en 1131 ou 1132 ne se situeraient pas dans la continuité de bénédictins venus de Calabre en 1070 auxquels auraient succédé des chanoines réguliers en 1110. Un dialogue « difficile » s’instaurait alors entre partisans de l’une et l’autre « écoles ». Quatre décennies plus tard, de nouveaux acteurs sont entrés en jeu et l’archéologie médiévale dispose de techniques inédites ou radicalement renouvelées. Un colloque tenu à Orval en juillet 2011 a tenté de faire le point des connaissances. Après quelques exposés consacrés au contexte politique et religieux de l’implantation monastique, une table ronde offrit l’occasion de fructueux échanges entre des archéologues, des historiens et un historien du bâti impliqués dans le dossier de plus ou moins longue date. Quelques avancées significatives sur les origines d’Orval s’inscrivent à l’actif de la rencontre.
Abbaye d'Orval --- Cistercians --- History --- 271.12 --- Conferentie
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