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Monnaies grecques --- Numismatique --- Monnaies romaines --- Monnaie --- Frappe --- Numismatique - Grece --- Numismatique - Grece - Corinthe --- Monnaies romaines - Grece - Corinthe. --- Monnaie - Frappe - Grece - Corinthe.
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À ce jour, les notices de près de 180 000 monnaies ont été publiées dans les Trésors monétaires. Si l’on compte les 8 ensembles publiés dans ce nouveau volume de TM, le vingt-cinquième de la collection, on dépasse désormais les 200 000 notices. Rien ne relie cette fois-ci ces différents ensembles entre eux, mais ils offrent, du iiie au xixe siècle, un échantillon de ce qui est régulièrement porté à la connaissance du département des Monnaies, Médailles et Antiques. Découvert en 1995, le trésor de Saint-Jean-d’Ardières (Rhône), restauré dans l’atelier du département, d’une qualité et d’une ampleur exceptionnelle (plus de 4 100 antoniniens auxquels se mêlaient 3 deniers) se clôt en 252 et offre l’occasion de revenir sur le classement des antoniniens frappés entre 238 et 252. Le dépôt double de Magny-Cours (Nièvre) s’achève autour de l’année 303, même si la composition des deux ensembles diverge. Ceux-ci ont fait l’objet d’un démontage stratigraphique qui apporte un éclairage intéressant sur leur mode de constitution. Ils permettent également de réexaminer des questions telles que celle du fonctionnement de l’atelier de Lyon de sa réouverture à la réforme de Dioclétien. Le trésor de Chitry (Yonne), qui vient buter sur la réforme de 318, est le premier trésor bien documenté de ce type pour la Gaule intérieure et vient compléter, par sa masse (quelque 2 500 nummi), notre connaissance des émissions produites dans les ateliers gallo-britanniques. Plus modeste (57 nummi), le dépôt de Roquemaure (Gard) offre un aperçu du stock monétaire en circulation au milieu des années 320. Le trésor de Gisors (Eure), formé d’environ 10 000 monnaies, est l’un des plus importants de son époque. Contenu dans un sac déposé dans un chaudron métallique, il regroupait pour l’essentiel des parisis royaux et baronniaux, des deniers rémois et, à part dans une bourse de cuir, des esterlins. Sa constitution donne ainsi une image de la circulation monétaire dans le Nord-Ouest du royaume au milieu…
Monetary unions. --- Gold coins. --- Coins --- Common currencies --- Currency areas --- Currency unions --- Optimum currency areas --- Currency question --- Money --- numismatique --- trésor monétaire --- monnaies --- archéologie
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Nous écrivons l’histoire politique de l’Empire romain avec des lambeaux de texte. Nous nous fondons sur une bibliothèque lacunaire pour tisser les récits de notre civilisation. Et pourtant, nous avons à notre disposition un texte quasi intégral et qui émane directement de l’autorité impériale : la monnaie. Aucune autre entité de l’histoire humaine n’a produit un corpus aussi cohérent, aussi structuré, que l’Empire romain. Cet ouvrage entreprend, pour la première fois, de le considérer comme un texte autonome, c’est-à-dire relié aux autres formes de discours publics, notamment l’épigraphie, la glyptique et la statuaire, mais aussi appartenant à son propre espace, et surtout, presque complet. Mobilisant les derniers apports de l’histoire économique et financière des mondes anciens et de l’histoire des images, cette recherche en radicalise les leçons pour ouvrir un nouveau champ : celui de l’étude du monnayage impérial comme texte. Ce texte, par son unité conservée, permet de penser la structure même du régime impérial, et d’accéder au discours de l’Empire, à son autobiographie, au travers et au-delà de chaque règne. On découvrira dans ce livre de nouvelles approches du monnayage, sous la forme d’études de cas ; on se rendra compte de la présence, dans le monnayage même, d’une méthodologie textuelle ; on pourra lire, pour la première fois, un rassemblement de sources impériales et ainsi contredire un lieu commun trop fréquent, selon lequel le monnayage romain n’apparaissait pas dans les sources épigraphiques et littéraires. La contribution la plus importante de La mémoire numismatique de l’Empire romain, cependant, est méthodologique : en associant méthodes philologique, iconographique et analyse littéraire, c’est l’étude du discours impérial lui-même qui est ici proposée.
Numismatique romaine. --- Épigraphie. --- Rome
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Numismatics --- Numismatique --- Dictionaries --- French. --- Dictionnaires français --- 737 --- AA / International- internationaal --- 331.150 --- 033.1 --- 7 --- Numismatiek. Muntkunde --- Geschiedenis van het geldwezen: algemeenheden. --- Geschiedkundige encyclopedieën. --- Schone kunsten - Kunst als vrijetijdsbesteding. --- Beaux-arts - Arts d'agrément. --- Fine arts. Art as a way of using leisure. --- 7 Schone kunsten - Kunst als vrijetijdsbesteding. --- 7 Beaux-arts - Arts d'agrément. --- 7 Fine arts. Art as a way of using leisure. --- 737 Numismatiek. Muntkunde --- Dictionnaires français --- Archaeology --- Auxiliary sciences of history --- History --- History, Ancient --- French --- Geschiedkundige encyclopedieën --- Geschiedenis van het geldwezen: algemeenheden --- Schone kunsten - Kunst als vrijetijdsbesteding --- Numismatics - Dictionaries - French. --- Dictionnaires
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Découvert lors de la construction de l'autoroute A5, le site paléométallurgique des Clérimois (Yonne) a livré les vestiges d'une dizaine d'ateliers qui ont produit du fer du IVe s. av. J.-C. au Ve s. de n.è. Les résultats publiés sont multiples : description et typologie des structures (18 bas fourneaux étudiés), anthracologie, analyses du minerai et des scories. L'étude des ferriers a permis une estimation de la production : 5 000 t de fer pour 15 500 t de minerai réduit, les quatre cinquièmes du fer étant produits entre La Tène finale et le IIe s. ap. J.-C par de grands fourneaux munis d'un système d'évacuation des scories. Ces données constituent d'ores et déjà une référence pour la recherche sur la métallurgie antique. Discovered during the construction of the A5 motorway, the early metalworking site of the Clérimois (Yonne) delivered the remains of some ten workshops which produced iron between the 4th century B.C. and the 5th century A. D. The published results are many: descriptions and typologies of the structures (18 furnaces studied), anthracology and analyses of the ores and slags. The study of the forges has allowed an estimation of the overall production: 5 000 tonnes of iron from 15 500 tonnes of smelted ore. Four fifths of this iron was produced between the end of the La Tène period and the 2nd century A.D. by large furnaces equipped with systems for removing the slag. These data can already be considered as a reference in the study of ancient metallurgy.
Steel --- Romans --- Celts --- Excavations (Archaeology) --- Metallurgy --- History. --- Iron-works --- Les Clérimois (France) --- Antiquities, Roman. --- Antiquities, Celtic. --- Steel - Metallurgy - History. --- Romans - France - Les Clerimois. --- Celts - France - Les Clerimois. --- Excavations (Archaeology) - France - Les Clerimois. --- Archaeology --- Bourgogne --- paléométallurgie --- IVe s. av. J.-C.-IVe s. ap. J.-C. --- bas fourneau --- ferrier --- scorie --- susceptibilité magnétique
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