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Universities and colleges --- Universités --- History --- Histoire --- Universités
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« Ce livre devenu un classique », selon Owen Chadwick, comprend deux parties dont seule la seconde est traduite ici, la première ayant déjà fait l’objet d’une traduction en 1968. John Henry Newman, nommé recteur fondateur, en 1851, d’une université catholique à Dublin, réfléchit aux objectifs d’une telle institution. Il met au premier plan la formation de l’esprit tout autant que l’acquisition du savoir afin de parvenir à une véritable culture humaniste. Il traite des rapports entre raison et foi, science et théologie, il insiste sur les liens qui unissent langue et littérature, il aborde les problèmes d’éthique médicale ; il préconise une recherche libre de tout préjugé mais éclairée par une pensée chrétienne qui a assimilé la culture antique. Cependant il n’ignore pas les applications pratiques qu’entraîne une telle création. Un ensemble de facultés, complémentaires les unes des autres, devra se développer à partir du noyau initial qu’est la Faculté des Arts et des Lettres, élément essentiel de tout enseignement universitaire. Celui-ci sera ainsi vivifié par la recherche et maintiendra le rapport d’un savoir particulier à une connaissance plus générale. À notre époque où l’Université s’interroge sur sa raison d’être, l’idéal exigeant de Newman reste tout à fait d’actualité.
Universities and colleges --- Universités --- 378.4 --- Universiteiten --- 378.4 Universiteiten --- Universités --- History --- éducation --- université
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Universities and colleges --- Universités --- History --- Congresses --- Histoire --- Congrès --- Universités --- Congrès --- Education --- professeur --- enseignement --- enseignement supérieur --- étudiant --- Espagne --- Amérique latine --- université
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Outre la présentation de la réalité actuelle des Maisons des Sciences de l'Homme dans ses diverses déclinaisons, les textes réunis dans cet ouvrage offrent à travers des expériences croisées un aperçu précis des potentialités de ce type de structure et des enjeux que ses modes originaux de fonctionnement comportent non seulement pour son propre avenir mais pour celui de l'ensemble de la recherche en sciences humaines et sociales.
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"Higher Education Careers Beyond the Professoriate is one of the first collections to explore PhD career versatility within higher education. The twenty-three contributors represent diverse disciplines, institution types, professional roles, and intersectional identities. Each thoughtful and personal essay explores firsthand what it means to remain in higher education, yet not in the traditional role of a professor. Topics include establishing new career paradigms, well-being and work-life balance, blended roles and identities, and professional work around advocacy and inclusion. Unifying the essays is the idea that career diversity is intertwined with other diversity discourse, yielding a broad-based but critical examination of careers in higher education administration. Though the doctoral landscape continues to change, a self-determined, values-driven attitude remains essential. This book offers powerful insight into cultural and structural barriers that inhibit institutional transformation and obscure the real range of PhD futures. Frank about both challenges and opportunities, these essays reveal how letting go of "track" thinking opens a constellation of possibilities and many paths to meaningful work and a fulfilling life"--
Universites --- Doctorants --- Universities and colleges --- Doctoral students --- Graduate students --- Études des 2e et 3e cycles. --- Orientation professionnelle --- Graduate work. --- Vocational guidance --- Employment
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Ce livre propose une analyse des rapports socialement différenciés des étudiants au travail universitaire. S'appuyant sur une enquête comparative conduite, au sein des universités lyonnaises, entre deux filières d'études contrastées, la médecine et la sociologie, l'auteur porte le regard sur les apprentissages étudiants et examine tour à tour les emplois du temps, les dispositifs d'organisation écrits, les pratiques de lecture et d'écriture de ces deux groupes d'étudiants. L'ouvrage montre que les matrices disciplinaires et la nature spécifique des savoirs transmis (leur organisation, leurs traditions...) sont, en plus de la composition sociodémographique des publics, au principe de variations significatives dans les pratiques du travail universitaire et les rapports des étudiants à ce dernier. La sociologie a beaucoup fait pour la mise au jour d'inégalités dans les rapports aux savoirs selon les conditions sociales d'origine des étudiants et pour l'analyse des fonctions de reproduction exercées par le système scolaire dans son ensemble. Elle n'a en revanche guère insisté sur les partages sociaux (dans les manières d'apprendre et dans les rapports aux savoirs) qui peuvent résulter de la fréquentation de savoirs socialement et cognitivement différenciés. C'est à l'aune de cette question, et dans la double optique d'une sociologie de l'éducation et des savoirs, que l'auteur se propose d'analyser les pratiques du travail universitaire des étudiants.
Students --- Universities and colleges --- Etudiants --- Elèves --- Universités --- Social conditions --- Time management --- Sociological aspects --- Conditions sociales --- Budgets temps --- Aspect sociologique --- Elèves --- Universités --- Sociology --- université --- travail universitaire --- étudiant --- éducation --- apprentissage --- système scolaire --- condition sociale --- analyse sociologique
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Après la seconde guerre mondiale, les universitaires français furent aussi sévèrement épurés que la police ou la magistrature. Ont-ils davantage collaboré ? Furent-ils l’objet d’une sévérité particulière ? Pourquoi eux ? Les universitaires, à la fois libres de leur position et de leur engagement, occupent une place prestigieuse dans l’appareil d’État sans guère subir de pression du pouvoir politique. Ils représentent un champ d’observation singulier dans les rapports qu’entretient l’élite républicaine avec la France de Vichy. François Rouquet tente donc ici de cerner les logiques individuelles pour mieux comprendre l’aveuglement de ces fonctionnaires de la pensée. Ce livre cherche d’abord à connaître la spécificité des universitaires épurés, comparés aux fonctionnaires ordinaires et, plus généralement, à ce qu’il est convenu d’appeler « les intellectuels » ; ensuite, il s’attache à révéler les causes motivant leur engagement avec Vichy ainsi que la nature exacte de leur compromission. Enfin, il vise à élucider leurs justifications en étudiant les mémoires de défense souvent imposants et empreints d’une grande habileté. Cette source inédite et très riche où abondent les plaidoyers pro domo illustre la perception de l’époque. De ses troubles, de ses infamies et du destin de cette élite républicaine au service d’un régime qui, précisément, renversa la République. Au fil des cas évoqués, la singularité des parcours apparaît, les écarts se mettent en lumière, les explications se renforcent, et pour quelques professionnels de la rhétorique éclate le talent déployé pour s’exonérer de fautes au moment de l’épuration politique. Et cela va de la discrète pirouette qui métamorphose collaboration en résistance, aux tonitruants changements de cap pour rechercher, sans toujours l’obtenir, le même résultat : l’acquittement sinon le brevet de civisme.
Universities and colleges --- Education, Higher --- Higher education and state --- World War, 1939-1945 --- French universities --- History --- World war 2 to early 50s --- Collaboration. --- France --- Politics and government --- épuration --- régime de Vichy --- Résistance --- universitaires --- universités --- intellectuels --- intellectuels français --- élite
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C'est de la culture savante, c'est-à-dire, latine, scolaire et universitaire qu'il s'agit ici. Telle qu'elle se définit aux XIIe et XIIIe siècles, sur la base d'un stock canonique d'« autorisés », cette culture a des contours précis et des limites assez étroites. Mais à l'intérieur de celles-ci, elle a élaboré des méthodes de travail intellectuel d'une grande rigueur. C'est aussi de l'école urbaine et de l'université qui prend sa suite au XIIIe siècle, qu'il sera question. Sans remettre ouvertement en cause le contrôle traditionnel de l'Église, les institutions d'enseignement s'affinent aux XIIe et XIIIe siècles et acquièrent leur autonomie, non sans attirer bientôt, d'ailleurs, l'attention du prince. Transmission des savoirs et formation des hommes, recherche de la vérité et défense de l'orthodoxie, ces vocations souvent contradictoires sont également le fruit de l'essor scolaire. Des foyers majeurs - Paris, Bologne, Oxford - émergent, mais c'est tout autant la multiplication des studio secondaires et des petites écoles qui, en permettant partout l'élévation du niveau d'éducation des populations, balise les progrès de la culture écrite au Moyen Age. Et c'est bien de ces populations qu'en dernière instance nous aurons aussi à nous occuper. Car enseignement et culture n'évoluent que sollicitées par les attentes sociales, lesquelles peuvent à leur tour ressentir les effets des avancées éducatives et des mutations scolaires. Les relations sociales, les pratiques politiques, les attitudes religieuses portent la marque d'un arrière-plan culturel façonné dans les écoles et les universités. D'ailleurs, les gens de savoir, à travers la diversité de destinées quasi professionnelles - juristes, médecins, prédicateurs, secrétaires, etc. -, commencent aux XIIe et XIIIe siècles à installer en Occident sur le devant de la scène et à y imposer la renaissance des compétences intellectuelles comme facteur essentiel de l'ordonnancement social.
Education, Medieval --- Learning and scholarship --- Universities and colleges --- Civilization, Medieval --- Education médiévale --- Savoir et érudition --- Universités --- Civilisation médiévale --- Social aspects --- History --- Aspect social --- Histoire --- History of Education --- Education --- Social Sciences --- Education médiévale --- Savoir et érudition --- Universités --- Civilisation médiévale --- Universities and colleges - Europe - History - 12th century --- Universities and colleges - Europe - History - 13th century --- Education, Medieval - Social aspects - Europe --- Learning and scholarship - History - Medieval, 500-1500 --- enseignement supérieur et de la recherche --- Moyen Âge --- XIIe-XIIIe siècles --- culture --- histoire de l'enseignement --- civilisation --- vie intellectuelle --- théologie --- SAVOIR ET ERUDITION --- EUROPE --- UNIVERSITES --- MOYEN AGE --- VIE INTELLECTUELLE --- HISTOIRE
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Création de la chrétienté occidentale, l'université, dans son évolution, a tout à la fois reflété et façonné l'histoire culturelle de l'Europe. L'institution universitaire est ici examinée à la lumière de quatre problématiques : l'insertion des universités dans la société, leurs rapports avec les pouvoirs, leurs modèles de représentation et la construction d'un espace spécifique.
History of education and educational sciences --- Higher education --- Europe --- Universities and colleges --- Education --- Universités --- History --- Congresses --- Histoire --- Congrès --- Education, Medieval --- History of education --- European universities --- Middle ages-20th century --- 378.4 <4> --- Universiteiten--Europa --- 378.4 <4> Universiteiten--Europa --- Universités --- Congrès --- Universities and colleges - Europe - History - Congresses --- Education, Medieval - Congresses --- université --- vie intellectuelle --- objet historique --- enseignement supérieur --- institution --- sociologie historique --- construction européenne
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Institution séculaire s'il en est, l'université est aujourd'hui dans la tourmente au sein de la plupart des pays européens. Doit-elle s'incliner devant les impératifs du marché et, comme d'aucuns le souhaitent, souscrire aux seules valeurs de l'utilité, de la rentabilité, de l'efficacité, de la performance et de la compétitivité ou bien peut-elle encore s'intéresser à la faculté de l'inutile propre à l'humain et la développer ? Déjà soulevée à la fin du XVIIIe siècle avec la création d'Écoles professionnelles supérieures en France et en Allemagne, cette question relative à l'orientation fondamentale de l'université est loin d'être tranchée aujourd'hui. On peut même dire, en n'élargissant nullement le débat, que plus de deux siècles après la révolution industrielle, nos sociétés vivant quasiment au lendemain de la révolution électronique se déchirent toujours sur la priorité des valeurs et sur les rapports à établir entre l'économique, le culturel, le politique et le social.
Universities and colleges --- Universités --- -Education, Higher --- Postsecondary education --- Sociology of education --- Higher education --- Education, Higher --- Education and globalization. --- Social aspects --- Aims and objectives --- Education and globalization --- College students --- Globalization and education --- Globalization --- Education --- Education [Higher ] --- Philosophy --- Education, Higher - Social aspects - Europe. --- Education, Higher - Aims and objectives - Europe. --- institution --- orientation --- crise --- université --- utilité --- Enseignement superieur --- Universites --- Europe --- Congres et conferences
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