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La rhétorique, discipline phare de l'Antiquité, est l'art de parler et d'argumenter en public. Cette pratique est tout aussi centrale aujourd'hui. Cet Essentiel présente les nouvelles théories qui la mettent en phase avec notre modernité par les meilleurs spécialistes du domaine. Il offre aussi un glossaire très complet décrivant dans un langage clair les concepts les plus pointus de ces théories. Indispensable pour qui veut comprendre ce qui constitue toujours le cœur de la communication humaine.
Communication --- communication --- modernité --- public --- rhétorique
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Écrit vraisemblablement vers 386/385, le Ménéxène s'attache à l’éloquence politique lors d’oraison funèbre en l’honneur de citoyens morts au combat. Dans ce dialogue, Socrate indique au jeune Ménéxène qui entre en politique, comment se moquer des orateurs en lui récitant une oraison funèbre provenant de sa maîtresse Aspasie, épouse de Périclès. L’ouvrage décortique l’un des premiers dialogues de Platon.
Classics --- Philosophy --- rhétorique --- dialogue --- Socrate --- aspasie --- oraison
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L’une des caractéristiques majeures de la fin du XXe siècle, dans les sociétés occidentales, aura été la médiatisation de la parole — outre celle, évidente, de l’image. Après plusieurs siècles d’un règne écrasant de l’écrit dans la diffusion des idées, la parole médiatisée (par la télévision, la radio, etc.) est l’outil privilégié d’accès aux informations, aux idées et aux connaissances pour des millions de personnes. Cette révolution dans les usages pose un problème, auquel nous ne sommes pas nécessairement préparés : celui du pouvoir de la parole. Pourquoi une société donnée, dans un contexte donné, donne-t-elle à la parole cette place ? Faut-il croire en une efficacité particulière de cette médiatisation ? Quelles attitudes avoir vis-à-vis de la parole détournée, reprise, véhiculée ? Ces questions, nous nous les posons aujourd’hui chaque fois que nous regardons un journal télévisé, un débat, ou que nous entendons, repris, les propos tenus par une tierce personne. Le présent volume se propose d’enquêter sur quelques-uns des antécédents historiques de cette médiatisation, et de leur poser ces questions contemporaines. Entre l’héritage laissé par l’Antiquité et la fin du XVIIe siècle, siècle de l’éloquence, mais aussi de la popularisation du livre, la parole a fait en effet l’objet de spectaculaires traitements médiés, que ce soit dans le théâtre, l’opéra, l’écriture littéraire, politique ou historique. Les textes qu’on trouvera rassemblés ici sont le fruit d’un séminaire initié en 1999 par la composante « baroque » de l’équipe Marenbar (Moyen Âge, Renaissance, Baroque) de l’université de Montpellier III, prolongé sous la forme de journées d’études. La caractéristique essentielle du séminaire du Marenbar étant son interdisciplinarité, on lira donc ici des contributions issues de la littérature, mais également de la linguistique, de la philosophie, de l’histoire et de la musicologie…
Literature --- littérature --- langage --- littérature française --- XVIème siècle --- XVIIème siècle --- rhétorique
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Linguistics --- figure de style --- figure stylistique --- figure grammaticale --- linguistique --- analyse stylistique --- littérature --- analyse textuelle --- rhétorique
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La rhétorique est à la mode. Son champ d'application, replié depuis longtemps sur le langage littéraire dans ce que Gérard Genette a pu appeler naguère une "rhétorique restreinte", semble se généraliser à nouveau au point qu'elle colonise à présent des domaines aussi divers que l'architecture et la publicité, ou revient chasser sur ses vieux territoires que sont la politique et la philosophie. Si la mode est à la rhétorique, le mode dominant du langage en cette fin de siècle est bel et bien le rhétorique.
Language & Linguistics Theory --- Communication --- rhétorique --- langage --- architecture --- publicité --- politique --- philosophie
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Ce volume correspond au premier grand volet d’une action consacrée à la double question de la Violence et de l’identité. Le rapprochement de ces deux termes fait apparaître une problématique qui propose dans le domaine des sciences humaines un objet anthropologique riche de sens et qui intéresse à la fois des spécialistes de la littérature, des arts et de la langue, des sociologues, des historiens, des philosophes, des psychologues et des spécialistes de la rhétorique et de la communication. L’interaction de ces deux notions contient de multiples enjeux : philosophiques, psychologiques et sociologiques, idéologiques, politiques et institutionnels, esthétiques enfin. Le présent volume interroge toutes les dimensions de l’écriture violente et pas seulement au niveau de ses effets, il examine la tension de l’écriture de la violence entre exhiber et cacher, entre voiler et dénuder, il soulève plusieurs enjeux et de multiples questions. Les rapports violence et identité posent inévitablement des problèmes de rhétorique qui nous conduisent à nous interroger sur le discours de la violence, sur la construction d’une rhétorique et en même temps sur les limites de cette rhétorique. En même temps comment ne pas ressentir la rhétorique comme un piège, un écran à la sincérité ? Comment ne pas espérer revenir à un état brut, simple de la langue, sans contour et sans artifice ? La rhétorique, dans ces divers textes, on le verra, est rarement une fin en soi. Le discours ou le récit sont un moyen de communiquer la vérité subjective d’une expérience traumatique, sont un moyen de représenter le sujet victime de la violence dans son rapport avec l’Autre, visent à impliquer le lecteur en le dotant des éléments nécessaires pour voir, imaginer et penser la violence, fût-ce dans la déchirure de la représentation. Interroger ce discours c’est donc interroger aussi la violence dans ses fondements ontologiques. Se pencher sur la problématique « violence et écriture », c’est inévitablement…
Literature (General) --- violence --- engagement --- écriture --- rhétorique --- témoignage --- voix --- identité --- sacré --- indicible --- altérité --- barbarie --- fêlure --- cri --- mutisme
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La forme de l’ἀγών est inhérente à l’esprit grec. Aussi loin que l’on puisse remonter dans l’histoire de la civilisation grecque, on retrouve l’amour de la compétition, et une cité ne connaissait pas plus grande gloire que de voir un de ses enfants vainqueur aux jeux panhelléniques. La passion des procès et de la plaidoirie n’est qu’un autre aspect de la même tendance : il y a dans toute affaire une cause à gagner, un adversaire à écraser. Le même tour d’esprit se retrouve dans le domaine intellectuel : une idée ne vaut que dans la mesure où elle prévaut sur l’idée adverse, un point de vue n’est satisfaisant que s’il l’emporte, après mûre délibération, sur le point de vue opposé. Aussi le penseur, l’historien, le poète comique, dans la mesure même où ils ne prennent pas eux-mêmes parti, sont-ils amenés à tout concevoir et à tout représenter sous la forme contradictoire. A cet art du pour et du contre, les sophistes ont donné ses règles d’expression. Dans ce domaine, l’historien de la tragédie est amené à faire des constatations et à se poser un problème. Les constatations qui, au premier abord semblent s’imposer de façon massive, sont en réalité d’une nature assez délicate. Il est certain que l’ἀγών est très richement représenté dans la tragédie : il suffit de feuilleter un exemplaire de Sophocle ou d’Euripide pour craindre d’être écrasé sous l’abondance de la matière. Mais dès que l’on essaye, très simplement, de déterminer quelles tragédies possèdent des scènes d’ἀγών et lesquelles n’en possèdent pas, les difficultés commencent. On s’aperçoit alors que la notion technique d’ἀγών est très fuyante, que les variétés sont nombreuses, les règles complexes, et l’on se trouve souvent en présence de scènes dont on se demande si elles méritent ou non le nom d’ἀγών. A cette question on ne peut, à vrai dire, répondre que quand on a étudié de près la structure de l’ἀγών et établi, sinon des lois, au moins des constatations suffisamment précises et générales.
Classics --- Literature --- tragédie grecque --- rhétorique --- littérature grecque --- analyse littéraire --- théâtre antique
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Au Moyen Age, nombre de métaphores circulaient à propos de Dieu. Mais peu ont été aussi répandues et aussi décriées que l’identification de l’Etre suprême à une sphère « dont le centre est partout, la circonférence nulle part ». Ce livre suit les méandres de cette histoire au xiiie siècle telle qu’on ne l’a pas encore vue : à la fois littéraire (Jean de Meun), théologique (Alain de Lille) et scientifique (Vincent de Beauvais) ; latine et vernaculaire. Il questionne sa provenance, ses liens avec la philosophie antique et la rhétorique, ainsi que les concepts de nature et d’infini. Grâce à des analyses détaillées de textes encore mal connus, tels que les traductions et abrégés en moyen français du Speculum maius, l’ouvrage aboutit au constat d’une richesse irréductible et, en même temps, au refus de voir dans cette micro-histoire une linéarité, voire même une progression.
Medieval & Renaissance Studies --- Literature (General) --- rhétorique --- concept --- métaphore --- nature --- infini --- Moyen-Âge --- être suprême --- speculum maius
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La paraphrase est aujourd’hui bannie de toute approche savante de la littérature : en témoigne l’interdit – rarement contesté – dont elle est frappée dans le commentaire de texte. Cet ouvrage veut mettre en cause l’évidence d’une telle disqualification, en montrant qu’elle implique des conceptions de la littérature et de son enseignement moins fondées sur des arguments que sur des croyances. À l’analyse, le discours disqualifiant la paraphrase se révèle sans grande cohérence, bien qu’il ne cesse de la définir comme répétition du texte. En fait, le mot désigne une réalité aux contours imprécis et il ne sert qu’à stigmatiser une démarche, en recourant à des critères variables selon les époques et les lieux. Si l’on s’attache à définir objectivement la paraphrase, on ne peut qu’observer sa légitimité dans une culture rhétorique mais aussi sa nécessité discursive dans tout commentaire de texte littéraire. C’est ce qui permet, dans la perspective didactique où se place l’auteur, d’entreprendre un éloge de la paraphrase, à réhabiliter comme une pratique d’apprentissage des discours critiques sur la littérature.
Literary rhetorics --- Paraphrase. --- 82.07 --- Literatuur: verklaring van teksten --- 82.07 Literatuur: verklaring van teksten --- Paraphrase --- Literature, Romance --- Linguistics --- rhétorique --- littérature --- lecture --- pédagogie --- didactique --- paraphrase
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En 1983, paraît dans le très sérieux Journal of Economic Literature un article au ton pour le moins iconoclaste. Signé par un auteur jusqu'alors reconnu pour ses travaux classiques dans le domaine de l'histoire économique quantitative, ce papier traite de la rhétorique des économistes. D.N. McCloskey y assène, entre autres, que l'étude des textes économiques relève avant tout de la critique littéraire ; que les modèles mathématiques, tant prisés par les économistes, sont essentiellement méta.
Business & Economics. --- Economic Theory. --- McCloskey, Deirdre N. --- Economic theory --- Political economy --- Social sciences --- Economic man --- Business economics --- Economics --- Industrial management --- Management --- Microeconomics --- rhétorique --- argument scientifique --- Managerial economics. --- Economics.
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