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Book
Juger le faux : (Moyen Âge - Temps modernes)
Authors: --- --- --- --- --- et al.
ISBN: 9782357230217 2357230215 2357231092 Year: 2017 Volume: 35 Publisher: Paris : Publications de l’École nationale des chartes,

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Abstract

Le discrimen veri ac falsi appartient depuis les Temps modernes à l’art de l’historien. Récemment le couple vrai/faux est entré uni dans le langage de l’historien qui a cherché ce que le faux lui apprenait de vrai sur la société qui l’avait vu naître, prospérer et souvent demeurer indétecté. Il est peu fréquent cependant que l’on se penche sur les circonstances qui ont déterminé un faux à être repéré et dénoncé, puis que l’on s’attarde sur la manière dont ce dernier était saisi, discuté, éventuellement puni par la justice. Les contributions rassemblées ici prennent le faux comme point de départ et non comme point d’arrivée, autrement dit s’intéressent moins à sa fabrication, à ses modèles ou aux motivations de son faussaire qu’à l’aval de son histoire, depuis la découverte ou la dénonciation jusqu’à son jugement ou sa condamnation, en passant par les moyens et les hommes qui permettent d’établir son caractère falsifié. Ce livre constitue un élément d’une plus vaste enquête engagée autour de l’écrit comme moteur, et non plus seulement symptôme ou instrument, de la construction de l’État et de ses rapports avec la société.


Book
Droit romain, jus civile et droit français

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Il est une vaste question d’histoire juridique, donc aussi d’histoire politique et sociale, insuffisamment examinée en France, longtemps sujette aux appréciations les plus diverses : avant l’ère des codifications et des constitutions écrites, quel ascendant et quelle influence concrète le droit romain, scientifiquement étudié et réemployé à partir des xie -xiie siècles, a-t-il exercés sur la genèse et l’affirmation de notre droit national ? Ce volume collectif, fort de vingt-et-une contributions, rend compte du regain d’intérêt, des orientations et des acquis les plus récents de la recherche sur cet inépuisable thème. Soucieux de mesurer l’impact du droit romain enseigné dans les écoles puis dans les universités - le jus civile - sur la production des nouvelles normes, publiques et privées, mais désireux aussi de poursuivre l’étude de ce phénomène d’acculturation juridique jusqu’au triomphe tardif du légicentrisme, les auteurs de ce volume souhaiteraient réhabiliter l’histoire du droit romain dans sa longue durée médiévale et moderne. Non qu’ils participent d’une nostalgie européaniste de la romanité mais parce que, dans le traitement national séculaire, doctrinal et pratique du magma normatif justinien, ils voient tout simplement naître et vivre l’ancien droit français. On ne dira jamais assez que la romanisation des droits occidentaux, hors terre d’Empire, s’est opérée libre de toute sujétion, qu’en France aussi les sources du droit romain n’ont jamais fait office que de gigantesque et permanent laboratoire.


Book
Images de la contestation du pouvoir dans le monde normand (xe-xviiie siècle)

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Ce colloque, organisé au centre international de Cerisy-la-Salle par l’Office Universitaire d’Études Normandes de l’université de Caen Basse-Normandie, s’est penché pendant cinq jours sur la question de la contestation dans le monde normand. Selon la définition des dictionnaires, contester c’est « dénier », « récuser » ou encore « refuser ». Autant de termes qui s’appliquent parfaitement à une Normandie qui, de ses origines au XVIIIe siècle, a connu, voire subi, différents pouvoirs : celui des ducs jusqu’en 1204, puis celui de la Couronne de France, sans oublier celui de la Couronne d’Angleterre. De plus, l’extension européenne de cette province, en Angleterre et en Italie, n’a pu que susciter des contestations du pouvoir ou plutôt des pouvoirs, ceux auxquels les Normands étaient soumis ou ceux qu’ils ont exercés. Les organisatrices du colloque ont donc souhaité examiner les différents épisodes contestataires liés à ces grandes phases de l’histoire de la Normandie en choisissant toutefois de s’arrêter à la veille de la Révolution française qui constitue une nouvelle étape, qui affecte la France tout entière. Une étude sur le long terme a paru être à même de dégager une éventuelle spécificité de la contestation normande. Sur ce point, signalons que les dictionnaires donnent également comme synonyme de contester le verbe chicaner. Ne dit-on pas justement que le Normand est chicanier ? La fameuse devise « C’est mon droit et j’y tiens », que l’on attribue traditionnellement au Normand, n’est-elle pas révélatrice d’une mentalité contestataire bien affirmée ?


Book
La volonté Italie-France allers-retours

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La volonté. Voilà une notion qui est la croce e delizia de tout juriste. Elle n’a pas manqué de nourrir la réflexion depuis plusieurs siècles d’histoire juridique et suscite toujours des questionnements contemporains. La dimension diachronique, l’approche comparative et la réflexion collective sont au cœur des rencontres « France-Italie » depuis 2018. Par leur format original et l’ambition d’identifier et d’analyser la circulation des idées juridiques entre les deux pays et leurs juristes, les journées toulousaines de 2021 proposent d’interroger à nouveaux frais un thème déjà fécond. Les contributions réunies dans le présent volume ont permis de croiser les réflexions d’historiens du droit français et italiens pour saisir une notion qui n’est pas univoque ni un principe universel. Ils se sont également interrogés sur les moyens et les éléments qui ont façonné cette variabilité notionnelle en relation avec leur contexte d’élaboration et d’utilisation. Volonté individuelle et volonté collective, volonté juridique et volonté réelle sont quelques-unes des multiples facettes de la notion. Elles ont retenu l’attention d’une vingtaines de juristes historiens pour lesquels « l’une des tâches fondamentales de l’histoire du droit consiste à rappeler aux juristes que les principes et concepts généraux n’ont pas une signification absolue ou intemporelle ».

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