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Rwanda --- Tutsi (African people) --- Hutu (African people) --- Hotelkeepers --- Genocide --- Rusesabagina, Paul, - 1954 --- -Rwanda
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Genocide --- Tutsi (African people) --- Hutu (African people) --- Rwanda
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Genocide --- Transitional justice --- Reparation (Criminal justice) --- International criminal courts --- Rwanda
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Colonie --- Cinéma --- Sources --- Ethnographie --- Congo belge --- Rwanda - Ruanda
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Colonie --- Cinéma --- Sources --- Mariage --- Congo belge --- Rwanda - Ruanda --- Burundi - Urundi
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Ce film ethnographique reconstitue les relations sociales existantes entre paysans Hutus et éleveurs Tutsis au royaume du Ruanda (Rwanda) vers 1900, à l'époque où la colonisation n'avait pas encore fait sentir ses effets. Misago, un paysan pauvre perd sa vache et se rend à la cour du grand seigneur dont il est le client...
Colonie --- Cinéma --- Sources --- Ethnographie --- Congo belge --- Rwanda - Ruanda
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Colonie --- Cinéma --- Sources --- Congo belge --- Rwanda - Ruanda --- Burundi - Urundi
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Ce documentaire, réalisé par les cinéastes du Service de l'Information du Ruanda-Urundi (Cinérudi), est probablement la première partie d'une série de films consacrés à l'enseignement au Ruanda-Urundi. Il se penche sur le grand Centre Pédagogique d'Usumbura.Usumbura compte parmi les villes les plus importantes du pays, elle est «le symbole du développement rapide» du Ruanda-Urundi. La ville est soignée, «moderne» et connaît une intense activité. Le gouvernement y a mis en place une politique tout particulièrement axée sur la jeunesse, afin de dispenser le savoir à ceux qui deviendront les adultes de demain. Ainsi, plus de 3 000 écoles d'enseignement général, pédagogique, post-primaire et des arts et métiers sont réparties dans tout le pays, comprenant un total de 250 000 élèves, chiffre qui permet, comme l'indique le commentaire, «d'entrevoir l'avenir avec le plus grand enthousiasme».Le Centre Pédagogique d'Usumbura représente un bon exemple de l'investissement du gouvernement dans ce domaine. Le collège du Saint-Esprit, dirigé par des ecclésiastiques, accueille 450 élèves, principalement originaires du Ruanda et du Burundi bien que toutes les autres ethnies y soient les bienvenues. Le film met aussi en avant la remarquable architecture moderne dont il est doté : de gigantesques bâtiments de formes, couleurs et matériaux différents, autant d'éléments «qui lient confort et esthétique», offrant ainsi un cadre d'apprentissage des plus favorables.Après l'enseignement catholique, l'enseignement laïc est représenté par l'Athénée royal qui accueille 500 élèves, dont 250 pensionnaires, garçons et filles. Les classes sont occupées par des élèves d'origines souvent très différentes: 49 % d'Africains, 28 % d'Européens et 13 % d'Asiatiques. Les lieux sont dotés d'une architecture simple et aérée.Le film insiste enfin sur la richesse en matériels divers mis à disposition des élèves, leur permettant de s'adonner aux sports et d'apprendre la chimie, la physique ou encore, les arts plastiques. Le documentaire, dans son ensemble, tend à démontrer l'atmosphère de «joie de vivre» et de paix qui est sensé unir la jeunesse des communautés présentes dans la cité
Colonie --- Cinéma --- Sources --- Enseignement --- Architecture --- Communaute raciale --- Vie sociale --- Ville --- Rwanda - Ruanda --- Burundi - Urundi --- Bujumbura - Usumbura
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Charles Rudahingwa Mutara III est subitement décédé le 25 juillet 1959 d'un accident cérébral. Cette mort inattendue, entraîna la rumeur d'un assassinat commandité par les Belges. Elle se répandit au sein de la population rwandaise, déjà touchée par le vent d'indépendance qui soufflait sur toute la colonie.Ce reportage sur les funérailles du Mwami du Rwanda est inachevé: exempt de son, il s'arrête avant la fin de la cérémonie. De plus, le réalisateur ne s'est visiblement intéressé qu'à la manifestation du point vue belge et non local. Ainsi le film commence par la descente d'avion de Jean-Paul Harroy, gouverneur général du Ruanda-Urundi, et d'autres hauts dignitaires belges. Après avoir passé les troupes en revue, ceux-ci arrivent devant l'église où se déroulera la célébration. Succèdent à la longue série de personnalités belges et rwandaises les célébrants ecclésiastiques. L'arrivée de la famille royale du Rwanda n'est que très brièvement filmée, mais toute empreinte de solennité. Le cercueil royal est couvert du drapeau belge, symbole fort d'un sentiment d'appartenance à la Belgique. La cérémonie à l'intérieur de l'église n'est pas filmée, supposant ici que le cinéaste n'en a pas eu l'autorisation. La caméra retrouve les personnalités à la sortie de l'office religieux, elles se dirigent alors vers le cimetière afin d'assister au discours du Gouverneur général de la province et à la mise en terre. La population locale n'est pas très nombreuse. Il est toutefois étonnant de constater que rien ne transparaît de l'émotion des Rwandais, dans le climat politique instable de l'époque, alors que certains témoignages attestent d'une grande tension au sein de la population qui croit en l'assassinat du Mwami et attend la nomination de son successeur. L'impression dominante qui se dégage du film est le sentiment d'une cérémonie rapidement achevée, voire expédiée, qui célèbre et reconnaît l'autorité royale, à qui ce film fait honneur
Colonie --- Cinéma --- Sources --- Rwanda - Ruanda --- Burundi - Urundi --- Funérailles --- Cérémonie --- Royauté --- Congo belge --- Belgique
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