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UCLouvain (4)


Resource type

film (4)


Language

French (2)

Italian (2)


Year
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2018 (1)

2013 (1)

2010 (1)

2001 (1)

Listing 1 - 4 of 4
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Film
Dive! : Lidia Borelli, Francesca Bertini
Authors: --- --- ---
ISBN: 9788899196578 8899196575 Year: 2018 Publisher: Bologna: Cineteca Bologna,

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Abstract

Quatre chefs-d'œuvre du cinéma muet italien pour découvrir la fascination du diva-film. Quatre films habités par des femmes et des actrices formidables, devenues il y a un siècle les protagonistes absolues de la culture de l'image.-Ma l'amor mio non muore :Un espion dérobe les plans de défense du Duché de Wallenstein. Accablé, le colonel en charge se suicide, sa fille est condamnée à l’exil.-Rapsodia satanica : Une variation de l'histoire de Faust : Alba, une vieille aristocrate, conclut un pacte avec Méphistophélès et retrouve sa jeunesse et son charme à condition de ne plus jamais tomber amoureuse. Bien entendu, deux jeunes hommes tombent rapidement amoureux de la nouvelle belle dame. Tandis que l'un d'eux se tue, elle se prépare à épouser l'autre. Pour cette rupture du pacte, Méphisto la transforme à nouveau en vieille femme.-Sangue bleu : Elena, princesse de Monte Cabello, se rend compte que son mari a une liaison avec la comtesse de La Croix. Le prince convainc sa femme d'accepter le divorce mais doit lui laisser la garde de leur fille. La comtesse de La Croix engage des détectives pour rapporter des photos compromettantes montrant la princesse en compagnie de l'acteur Jacques Wilson. Lorsque sa fille lui est retirée, la princesse désespérée accepte de suivre à Monte-Carlo l'acteur qui l'a vainement courtisée jusqu'alors.-Assunta Spina :Assunta et Michele s'aiment, mais d'autres s'interposent entre eux et la jalousie est grande. Ils se disputent et Michele est envoyé en prison pour deux ans pour agression. Néanmoins, parce qu'Assunta aime toujours Michele, elle est vulnérable lorsque Federigo propose d'aider Michele, mais seulement si Assunta devient sa maîtresse.


Film
3 films de Pippo Delbono
Author:
Year: 2013 Publisher: Bois Colombes: Les Films du paradoxe,

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Abstract

-Amore Carne :Armé de son portable ou de petites caméras, en tournée avec sa troupe ou seul dans les rues du monde, Pippo Delbono livre quelques fragments de sa vie et de sa pensée. "Amore Carne" est un voyage dans le temps présent, en compagnie de plusieurs figures amicales (Bobò et Irène Jacob, Tilda Swinton et Marie-Agnès Gillot). -La Paura :Tourné entièrement avec un téléphone portable, "La Paura" dévoile des images captées par Pippo Delbono, artiste italien connu pour son travail au théâtre. Au fil des séquences de ce long métrage, une poésie incisive prend forme. Journal intime en images dont les appositions créent plusieurs moments cocasses, "La Paura" témoigne également de l'état général de la péninsule italienne et de sa culture politique si vive à stigmatiser l'autre : Roms et étrangers en l'occurrence. Oscillant entre gravité et anecdotique, la société du spectacle est disséquée sans ménagement. Saisi de près, le monde exposé ne souffre d'aucun embellissement, ni d'aucun artifice...-Grido :Le film est une autobiographie filmée du metteur en scène de théâtre et réalisateur Pippo Delbono. Il y revient sur des rencontres et des moments importants de sa vie, en compagnie des personnages qu'il rencontre sur sa route. Récit poétique et portrait de son parcours à travers le théâtre et la réalité. Pippo Delbono évoque en particulier sa rencontre et son amitié avec Bobò, un ancien interné psychiatrique qui participe, depuis leur rencontre, à tous ses spectacles...


Film
Odile Decq : at work
Author:
Year: 2010 Publisher: [Rennes]: Vivement lundi,

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Abstract

Odile Decq, un "look", une architecte. Elle construit en France, mais surtout à l'étranger où sa notoriété est grandissante. Dans son agence de Paris, où les concours s'enchaînent, les bâtiments prennent forme sous des doigts qui froissent du papier, les idées s'échangent en chuchotant, et Odile Decq pilote son équipage de ses mots. Sur l'unité de temps du concours pour une gare près de Naples, l'agence comme port d'attache, les protagonistes du lieu donnent à percevoir, dans l'action et en temps réel, la naissance d'une architecture. Ailleurs, les projets en cours : le Musée d'art contemporain de la ville de Rome et le Fonds régional d'art contemporain de Bretagne, travail sur le parcours et la déstabilisation du corps. Derrière les apparences, une façon d'explorer dans l'action, la pensée d'une architecte qui, comme les rockeurs qui ont accompagné ses débuts, dit "que pour créer il faut avoir de la colère".


Film
Architectures. 2
Authors: --- ---
Year: 2001 Publisher: Paris: Arte,

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Abstract

Ce DVD contient 6 épisodes de la série "Architectures". Chaque film analyse un bâtiment à travers des prises de vue réelles, des plans, des maquettes, et en retrace l'histoire tout en le situant dans le contexte de la production architecturale de son époque :1- La Villa Dall'Ava : Rem Koolhaas a construit une villa particulière sur les hauteurs de Saint-Cloud : une entreprise mythologique dans une banlieue cossue. l'architecte commente l'ensemble de son projet : commande, conception, analyse de site et architecturale.2- Le Bâtiment Johnson : Frédéric Compain retrace l'histoire de la commande d'un projet hors norme, la construction des bâtiments administratifs de l'entreprise Johnson dans le Wisconsin en 1937-1938, l'une des oeuvres maîtresses de l'architecte Frank Lloyd Wright. De prime abord, le bâtiment surprend : pas de fenêtres mais des façades de pyrex, de longs murs de brique, des courbes. Partout il se dérobe, on ne sait par où entrer. Vu d'en haut, il a ce profil caréné comme le fuselage d'un avion ou la coque d'un bateau. Vu d'en bas, il cache et il protège. Fermé aux sollicitations du monde extérieur, il est le monde - un lieu qui incite à la concentration et au travail -. Un espace autosuffisant. Et pourtant, il n'y a rien d'oppressant dans ce lieu qui favorise la concentration. C'est un lieu sensuel, aux couleurs chaudes - le fameux rouge Cherokee inventé par Frank Lloyd Wright - et aux volumes arrondis. L'architecte avait promis à Johnson une construction où chacun pourrait se sentir comme dans une forêt de pins ; il a imaginé une forêt de colonnes en forme d'arbres : un sabot de métal, une colonne cylindrique très fine qui monte en s'élargissant pour se terminer par une élégante coupe circulaire. Le documentaire montre combien cette oeuvre fut incroyablement novatrice dans sa conception3- La Galleria Umberto I : C'est à partir de 1820 qu'apparaissent les passages couverts qui vont, dès lors, se multiplier en Europe. Il s'agit de créer au coeur des villes des espaces protégés répondant à deux objectifs : percer de nouvelles rues exclusivement piétonnes pour désengorger l'ancien tissu et offrir au commerce de détail un lieu ouvert à tous. La Galleria Umberto 1er, conçue par Emmanuele Rocco, appartient à la dernière génération de "passages". Sa création, après la terrible épidémie de choléra qui a ravagé l'Italie en 1884, symbolise, pour Naples, la modernité et le progrès. Une occasion de rivaliser avec Milan qui a inauguré la mode des passages monumentaux. Le projet est de mettre en place un quartier luxueux et autonome, fonctionnant comme une ville miniature avec ses appartements, ses cafés-restaurants, son théâtre. La galerie ne parviendra jamais à s'imposer comme cette enclave de luxe dont rêvaient ses promoteurs. Les appartements, inadaptés au climat napolitain, se vendront mal. Ils seront progressivement occupés par des ateliers et des bureaux, tandis que le théâtre du sous-sol deviendra un cinéma de quartier, puis un cinéma porno avant de fermer définitivement dans les années cinquante. Pourtant le projet est une formidable réussite. Il n'est pas de lieu à Naples dans lequel les napolitains de toutes les couches sociales se reconnaissent mieux que dans cette galerie aux airs de palais renaissance, mâtiné d'arc de triomphe romain.4- Satolas-TGV, un monument à la campagne : En 1994, la région Rhône-Alpes lance un concours international pour la construction d'une nouvelle gare-TGV. Conçue comme un noeud dans les réseaux de communication, une interconnexion en rase campagne, la gare TGV de Satolas relie le réseau TGV à l'aéroport de. Maquettes et images numériques décortiquent le projet d'aménagement. Le programme est complexe puisqu'il y a trois clients différents, chacun avec ses contraintes particulières. Le Conseil Régional veut un monument qui soit le symbole de la région, la SNCF une gare qui célèbre le TGV, train des temps modernes, et la Chambre de Commerce et d'Industrie de Lyon ne veut surtout pas que la nouvelle gare masque l'aéroport, auquel elle devra être reliée. C'est compter sans le quatrième mousquetaire, l'architecte lauréat Santiago Calatrava, qui tout en satisfaisant le programme demandé, va pouvoir exprimer là son propre tempérament. Cet architecte singulier, passionné par le mouvement et dont la double formation (Beaux-Arts en Espagne, et Polytechnique à Zurich ), lui permet de pousser au plus loin les forces mises en jeu dans la gare. Au final, l'architecture magnifie la structure et sublime le mouvement : le hall de la gare semble un gigantesque oiseau prêt à prendre son envol, et les quais de la gare sont comme une haie d'honneur d'hommes saluant le passage des TGV qui traversent la gare à 300km/h en l'espace de quelques secondes5- Les Thermes de Pierre : À Vals-les-Bains, entre Zurich et Locarno, on exploite depuis un siècle une eau qui jaillit de la montagne à 29 °. Dans les années 90, la fréquentation du complexe touristique et thermal est en chute constante. La commune décide de construire un nouvel établissement et choisit le projet de Peter Zumthor. Le bâtiment est d'abord un volume : un parallélépipède qui semble à moitié enfoui à flanc de montagne. De la route qui traverse le village, on ne voit qu'un grand mur qui semble fait de pierres plates, avec de larges ouvertures qui ressemblent à des failles. Si l'on s'approche, les couches de gneiss - cette pierre traditionnelle utilisée pour les toits des chalets - se superposent par la tranche, toutes identiques et de la même épaisseur, et tracent des lignes horizontales semblables. Une précision et une horlogerie de pierre qui se développent sur des murs de 60 mètres de long, à l'intérieur des grands bains, le long des terrasses. Partout la même pierre, comme le tissu unique d'une expérience unique, soumis aux variations de lumière et en même temps rassurant et immuable.6- L'Ecole des Beaux-Arts de Paris, une histoire en abyme : Historique des bâtiments de l'Ecole des beaux-arts de Paris, conçus, à l'origine, comme des "mises en abyme" de l'histoire de l'architecture, véritable rébus dont le moindre détail renvoie à un autre lieu, à une autre époque. Située en face du musée du Louvre, l'École des beaux-arts de Paris est l'une des plus anciennes et prestigieuses écoles artistiques. Félix Duban (1797-1870) en devient l'architecte à la faveur de la révolution de 1830. Il va faire de ce haut lieu de la créativité une véritable palette d'architectures. Du portique d'Octavie à Rome aux palais florentins, des loges du Vatican aux fresques polychromes de Pompéi, tout ici est citation, souvenir - du voyage d'étude de Duban en Italie par exemple -, mais aussi ode au passé qui reste exemplaire pour les élèves. Tout est créé pour éduquer l'oeil de ces futurs artistes. Duban organise ainsi la composition générale de l'espace autour de fragments authentiques de monuments de la Renaissance française, faisant cohabiter harmonieusement des traditions et des styles différents. C'est une vision romantique de l'architecture - en rébellion contre l'académisme d'alors -, un hommage à l'art tout entier dont la pérennité s'explique par sa diversité même.

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