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Après l'effondrement économique de la cité ouvrière du Nevada où elle vivait, Fern décide de prendre la route à bord de son van aménagé et d'adopter une vie de nomade des temps modernes, en rupture avec les standards de la société actuelle. De vrais nomades incarnent les camarades et mentors de Fern et l'accompagnent dans sa découverte des vastes étendues de l'Ouest américain.
Réalisatrice --- Années 2020 --- Nomade --- Voyage --- Road movie --- Crise économique --- États-Unis --- Nevada
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Charlot devient employé dans une usine. Mais très vite aliéné par les conditions du travail à la chaîne, il se retrouve sans travail, puis en prison. A sa sortie, il fait la connaissance d'une gamine orpheline et recherchée par la police. L'homme et la jeune fille s'allient pour affronter ensemble les difficultés de la vie...Suite au krach boursier de 1929, Charles Chaplin quitte Hollywood pour parcourir le monde. Il en revient marqué par la montée des nationalismes, le chômage, l'automatisation du travail et n'a alors qu'une envie : produire un grand projet qui servira de creuset à des idées politiques....
Industrie --- Sociologie --- Chomâge --- Crise économique --- Histoire sociale --- Industrialisation --- Ouvrier --- Travail --- Usine --- Capitalisme --- États-Unis
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Kuhle Wampe est le premier film ouvertement communiste de la République de Weimar. Co-écrit et réalisé par Bertolt Brecht et Slátan Dudow, il décrit de façon quasi-documentaire les conditions de vie précaires d'une famille d'ouvriers et retrace en quatre parties l’histoire de la colonie ouvrière autonome “Kuhle Wampe” à Berlin dans les annés 20. Chaque partie est portée par une musique propre, composée par Hanns Eisler (compositeur de la musique de plusieurs pièces de Brecht). A sa sortie, le film fut censuré pour son caractère propagandiste, communiste, et “insulte de la justice et la religion”, bien que ces deux points n’étaient pas évoqués dans le film. Bertolt Brecht complimenta ironiquement le censeur, en déclarant qu’il était le seul à avoir vraiment compris le film.
Histoire --- Années 1920 --- Années 1930 --- Crise économique --- Ouvrier --- Communauté --- Lutte des classes --- Communisme --- Berlin (Allemagne) --- Allemagne
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-God's country :Courant 1979, Louis Malle caméra au poing fait étape à Glencoe, Minnesota (États-Unis), bourgade de cinq mille habitants. Essentiellement tournée vers l'agriculture et peuplée de descendants d'immigrés allemands, la vie de cette petite ville du Middle-West des États-Unis, donne l'occasion à Louis Malle d'en dresser un portrait exceptionnel d'une Amérique profonde. Lorsqu'il y retourne en 1985 pour terminer son film, c'est la crise dans le milieu agricole, et les mentalités ont quelque peu changé...À l'écoute de l'Amérique profonde, Louis Malle montre "comment un pays bascule dans l'intolérance lorsque les difficultés économiques surgissent. Il montre l'évolution des esprits en six ans, sans juger. Et c'est là toute sa force" (Raphaël Bassan). Un double regard passionnant. -À la poursuite du bonheur:Pendant trois mois, Louis Malle parcourt les États-Unis pour rencontrer quelques-uns des millions d'immigrés venus du monde entier, d'Asie, du Moyen-Orient, d'URSS, d'Afrique, de Cuba... qui sont récemment arrivés dans le pays.
Crise économique --- Comportement --- Exploitation agricole --- Sociologie --- Comportement social --- Migration --- Travail --- Années 1980 --- Etats-Unis --- Minnesota
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Le capital au XXIème siècle est l'adaptation d'un des livres les plus importants de ces dernières années. En mélangeant références à la pop culture et interventions d'experts parmi les plus influents de notre époque, le film est un voyage à travers l'histoire moderne de nos sociétés. Il met en perspective la richesse et le pouvoir d'un côté, et de l'autre le progrès social et les inégalités. Une réflexion nécessaire pour comprendre le monde d'aujourd'hui.
Capitalisme --- Colonialisme --- Consommation --- Crise économique --- Histoire --- Discrimination --- Travail --- Comportement social --- Démocratie --- Lutte des classes --- Ouvrier --- Politique --- Spéculation immobilière --- Mondialisation
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C’est d’abord la marotte d’un étudiant marseillais sortant de l’INSAS qui ne connaissait de la Belgique que ce qu’en avait écrit Rimbaud. Et qui caressa peu à peu le projet de refaire le trajet de sa seconde fugue (1870), de Charleville-Mézières jusqu’à Charleroi. En 2006, la fermeture des ateliers Thomé-Génot à Nouzonville vient ajouter un épisode à la série des pillages d’industries à laquelle semble abonnée la vallée de la Meuse, et rappelle au cinéaste que ce qui se passe là fait suite à ce qu’il est en train de filmer ailleurs : la destruction systématique des restes du monde ouvrier pour son pur et simple recyclage financier, la gentrification des villes, des espaces, des imaginaires. Une situation qui résonne avec l’un des poèmes écrits par Rimbaud au moment de son trajet, à l’aube de l’ère industrielle. Le film se précise peu à peu comme un aller-retour passé-présent, marchant d’un pied tout aussi bien littéraire que politique. Rimbaud est ici un moyen de transport qui permet au cinéaste de circuler à la frontière de son monde et de rendre compte de la façon dont vivent des gens du peuple en France et en Belgique, dans la vallée de la Meuse et à Charleroi…Un livret (12 pages) accompagne cette édition : notes du cinéastes (démarche du film), notes sur la fugue de Rimbaud, le trajet (du film et de la fugue), une "chronologie très partielle d'une vallée industrielle en chute libre", fiche technique du film.
Chomâge --- Crise économique --- Grève --- Industrie --- Littérature --- Pauvreté --- Poésie --- Travail --- Ouvrier --- Politique --- 19e siècle --- Années 2000 --- Belgique --- Charleroi --- France --- Hainaut --- Meuse --- Ardennes
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Film après film, Bensmaïl s’attache à dessiner les contours des enjeux sociaux d’un pays complexe, bousculé cette dernière année par les mouvements révolutionnaires de ses voisins. En quatre films (Des vacances malgré tout, Aliénations, Le Grand Jeu et La Chine est encore loin), il aborde divers thèmes qui dessinent en creux l’évolution de la société algérienne : le quotidien dans un hôpital psychiatrique, la campagne politique d’Ali Benflis, ancien secrétaire général du FLN, le retour aux sources avec la famille partie en France ou une plongée historique dans les Aurès de 1954. Ce sont donc huit heures 15 minutes de pur cinéma sur l'Algérie, société et histoire. Ces films sont le fruit d’un passion travail du réalisateur. Bensmaïl représente le nouveau cinéma algérien, plus actuel, tourné vers le quotidien, la vie et l’avenir. Ce coffret est une plongée inédite dans l’Algérie contemporain. L’écriture cinématographique de Malek Bensmaïl tranche résolument avec ce qu’on connaît du cinéma algérien. Malek c’est l’oreille, les yeux pour une société en perpétuelle construction.
Bâtiment hospitalier psychiatrique --- Histoire sociale --- Années 2000 --- Crise --- Crise économique --- Islam --- Années 1950 --- Mémoire --- Immigré --- Enfant --- Analyse de l'art --- Rapports sociaux --- Politique --- Constantine --- Algérie
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Mémoire d'un saccage : Durant les vingt-cinq années qui ont précédé le film, l'Argentine a subi l'un des effondrements économiques et sociaux les plus brutaux qu'un pays ait pu connaître en temps de paix. Ce pays riche en matières premières et sa population ont vécu de plein fouet l'ensemble des traumatismes dénoncés par les alter-mondialistes: ultralibéralisme éhonté, spoliation des biens de l'État, corruption, explosion de la dette extérieure... Une série de processus mis en branle par une classe politique corrompue et démagogique (autour des présidents Menem et De La Rùa), reniant régulièrement ses promesses électorales, avec la connivence de multinationales et sous le regard des institutions financières et monétaires internationales. Jusqu'à ce qu'en septembre 2001, la population révoltée descende en masse dans la rue et y reste - malgré les victimes de la répression policière - pour obtenir le départ de De La Rùa.Avec "Mémoire d'un saccage", ce film sous-titré "Le Hold-up du siècle" et "dédié à tous ceux qui résistent avec dignité et courage", le réalisateur et député argentin Fernando E. Solanas démonte scrupuleusement un à un les mécanismes qui, de la fin de la dictature en 1983 aux révoltes populaires de 2001, ont ruiné le pays et abouti à ce que le cinéaste pamphlétaire présente comme un "véritable génocide social".La dignité du peuple : Après le documentaire "Mémoire d'un saccage", qui démontait les mécanismes politiques ayant conduit l'Argentine à la crise économique de 2001, "La Dignité du peuple" montre les conséquences de la crise sur la population. Le film dépeint par petites touches, à travers tout le pays, le portrait d'hommes et de femmes qui ont su relever la tête et combattre pour retrouver, malgré la faim et la misère, leur dignité.C'est un film sur le pouvoir de la résistance sociale et sur la volonté d'un peuple blessé qui cherche à reconstruire son pays.
Criminalité --- Dictature --- Histoire --- Budget --- Dette --- Economie --- Entreprise multinationale --- Finance --- Gouvernement --- Institutions --- Politique --- Mondialisation --- Crise économique --- Pauvreté --- Résistance --- Malnutrition --- Sociologie --- Comportement social --- Amérique du sud --- Argentine
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-La flèche ardente :"[...] En 1911, j'avais treize ans. Cette année-là, je me suis brusquement pris d'intérêt pour une sorte de gros cube en bois verni agrémenté d'une manivelle sur un côté et d'un verre d'optique sur un autre... lorsque l'assistant de mon père m'eut fait comprendre que cette boîte n'était pas autre chose qu'une caméra, et qu'il suffisait d'y placer un rouleau de pellicule et de tourner la manivelle pour lui redonner tout son sens, j'avais tout de suite pensé : "Mais si la machine est là, on peut faire un film...". Mon premier film, c'est une histoire d'Indiens évidemment."-Etudes des mouvements à Paris :Des études de mouvements filmés dans les rues de Paris.-Le pont :Un pont, quelque part en Hollande. Mais il ne s'agit pas de n'importe quel pont ; certainement une construction récente de l'époque, filmée sous tous les angles, sous toutes les coutures.-La pluie :Amsterdam, un ciel qui se couvre, le vent, les premières gouttes de pluie dans les canaux...-Symphonie industrielle : "Philips Radio", baptisé "Symphonie industrielle" par les Français, est à la fois un éloge au progrès technologique et une démonstration de la monotonie du travail à la chaîne.-Komsomol : le chant des héros :Entièrement tourné à la gloire des travailleurs de l'Union Soviétique, ce film nous montre la construction d'un haut fourneau dans une région quasiment désertique.-Nouvelle terre :En 1934, Joris Ivens remonte et modifie Zuyderzee (reportage tourné pour le gouvernement néerlandais sur l'assèchement du Zuyderzee) et l'enrichit d'un commentaire et d'une musique de Hanns Eisler. Du documentaire initial, Joris Ivens conserve la construction de la digue, la fermeture de l'ultime brèche entre la mer libre et la mer intérieure d'Ijssel, le traitement des sols et les premiers labours. L'hymne au travail devient accusation politique quand des plans d'actualité de la Crise - destructions de récoltes, files de chômeurs, enfants mourant de faim - s'interposent entre les images des premières moissons du Wieringermeer qui, par sacs entiers, seront jetées à la mer.
Communisme --- Condition de travail --- Pont --- Image de la ville --- Digue --- Crise économique --- Chômage --- Politique --- Paysage urbain --- Pauvreté --- Ouvrier --- Paysage rural --- Mouvement social --- Sociologie --- Automobile --- Années 1920 --- Années 1930 --- Construction --- Matériau --- Zuydersee --- Pays-Bas --- Amsterdam --- Russie --- Paris (France)
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Des immeubles en ruine, des fenêtres fracassées, des voitures abandonnées, des toits effondrés et des rues désertes. Un vrai décor d'apocalypse ou un paysage d¹après-guerre, aux états-Unis et plus précisément à Détroit. La ville du Michigan semble comme vidée de ses habitants. Sous l¹objectif du réalisateur français, Florent Tillon, ce sont seulement quelques fantômes qui déambulent entre les gratte ciels. Une gardienne de parking endormie, un pianiste dans un vieux café, un employé qui attrape les chiens errants ou encore un sans abri qui traîne son caddy. Toute l¹âme de Détroit s¹est évaporée. En l¹espace de cinquante ans, la ville a perdu plus d¹un million d¹habitants. Détroit ville sauvage est plus qu¹un simple portrait urbain, c¹est aussi une réflexion sur la nature qui reprend ses droits, c'est un regard différent. Un regard réaliste mais chargé d¹espoir. De ses cendres industrielles, la ville renaît à sa manière. Cultiver un petit lopin de terre, partager des légumes, participer à un pique-nique communautaire, les habitants résistent et inventent un nouveau style de vie.
Décroissance urbaine --- Friche industrielle --- Pratique urbaine --- Agriculture urbaine --- Participation de l'usager --- Sociologie urbaine --- Reconversion de site --- Restructuration urbaine --- Jardin potager --- Démolition --- Paysage urbain --- Désindustrialisation --- Histoire des villes --- Crise économique --- Ruine --- 21e siècle --- 20e siècle --- Detroit --- Etats-Unis
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