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UCLouvain (13)


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Film
Ce bureau, toute une vie
Author:
Year: 2012 Publisher: Paris: L'Harmattan vidéo,

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Abstract

Le bâtiment est emblématique : la tour E.D.F. d’Issy-les-Moulineaux, construite par l’Atelier de Montrouge, le cabinet d’architecture. Trois histoires nourrissent le film : celle de la construction avec Gérard Thurnauer, l’un des architectes, celle de la technologie avec l’ingénieur qui nous conte les débuts de l’informatique, celles des hommes avec les salariés d’EDF qui ont travaillé là pendant 30 ans. Le documentaire est tourné au moment où le chantier de démolition commence.


Film
Shame
Author:
Year: 2012 Publisher: [Paris]: MK2,

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Abstract

Brandon est un trentenaire new-yorkais, vivant seul et travaillant beaucoup. Son quotidien est dévoré par une seule obsession: le sexe. Quand sa soeur Sissy, chanteuse un peu paumée, arrive sans prévenir à New York pour s'installer dans son appartement, Brandon aura de plus en plus de mal à dissimuler sa vraie vie...Après son magnifique "Hunger", Steve McQueen réussit une fois de plus un grand film formellement très maîtrisé, troublant et porte une fois encore un intérêt tout particulier à l'humain.


Film
Les palais de Monsieur Isozaki
Author:
Year: 1990 Publisher: New York: Michael Blackwood Production,

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Abstract

Le film montre plusieurs réalisations majeures d'Arata Isozaki : le Musée d'Art contemporain de Los Angeles (1988), des maisons individuelles, un musée, un centre d'art et une salle de concert au Japon, une grande boîte de nuit à New York, un bâtiment administratif pour Disney à Orlando et le Palais des Sports olympiques à Barcelone. A l'écran : visites de bâtiments en compagnie de l'architecte, qui expose sa pensée, dessins, plans, maquettes, autres images de chantiers et de bâtiments réalisés, interviews de clients (directeurs de musées...), du critique Koji Taki. Les commentaires sont de l'historien et critique de l'architecture Kenneth Frampton.


Film
Fagus : Walter Gropius und die Fabrik der Moderne
Author:
Year: 2011 Publisher: Berlin: NDR,

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Abstract

En 1911, Walter Gropius est chargé par l'entrepreneur Carl Benscheidt de concevoir l'usine Fagus à Alfeld an der Leine, près de Hanovre. Conçu en collaboration avec Adolf Meyer, ce bâtiment devait être un "Palast der Arbeit" ("Palais du Travail") : une usine modèle constituant une image de marque pour l'entreprise et offrant des conditions de travail modernes et un style architectural complètement nouveau. L'édifice, dans lequel des chaussures sont encore aujourd'hui fabriquées, contient les prémices du Mouvement Moderne et symbolise les liens qui existaient alors entre avant-garde architecturale et aspirations sociales. Il a été inscrit en 2011 au patrimoine mondial de l'UNESCO. A l'écran : images d'archives et actuelles de l'usine Fagus et de l'usine AEG de Peter Behrens, qui fut une référence pour Gropius, ainsi que d'autres bâtiments de Gropius, comme le Bauhaus de Dessau. Commentaire en voix off et interviews d'employés de l'usine.


Film
Inside Piano
Authors: ---
Year: 2013 Publisher: [Lieu de publication inconnu]: BêkaPartnersFloirac,

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Abstract

"Inside Piano" se compose de trois documentaires. "The little Beaubourg" est le bâtiment administratif d'une usine B&B Italia, à Novedrate, construit entre 1971 et 1973, à peu près en même temps que le Centre Pompidou Beaubourg à Paris. La comparaison entre les deux réalisations tient à leur structure constructive métallique permettant le plan libre. Le film offre des visites guidées par différents employés, dévoilant le vécu des espaces intérieurs et extérieurs, les questions d'entretien, et la qualité de transparences apportées par des cloisonnements en verre ; "The submarine", c'est ainsi qu'est nommé dans le film le bâtiment de l'IRCAM (Institut de Recherche et Coordination Acoustique/Musique) construit en 1976 par Piano et Richard Rogers place Beaubourg à Paris. La visite se fait d'abord par le truchement de la maquette, puis par la rencontre de chercheurs et techniciens dans leurs locaux de travail.; "The power of silence" est une bonne définition du bâtiment de la Fondation Beyeler, musée d'art contemporain construit par Piano dans la périphérie de Bâle en Suisse. Conservateur, responsable d'entretien, de sécurité, de la lumière et d'éclairage artificiel rendent hommage à l'architecte pour la sobriété et le génie du silence de ce bâtiment.


Film
Bruxelles Requiem / Hebden Bridge2
Authors: ---
Year: 2015 Publisher: [Lieu de publication inconnu]: [éditeur inconnu],

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Abstract

-Bruxelles Requiem (1994, 1h09) : À Bruxelles, le quartier Léopold, chef d'œuvre de l'urbanisme du XIXe siècle aux styles si divers, s'est transformé depuis trente ans en zone de bureaux. Terrés entre de hautes murailles de béton et de verre, se terrent quelques rares joyaux architecturaux. Les hôtels de maîtres, les ateliers d'artisans, les écoles : tout a été sacrifié au profit de bureaux anonymes dont on chuchote déjà que, rapidement obsolètes, ils ne feront pas de vieilles pierres.Le film retrouve le sens de la flânerie pour redécouvrir les richesses d'une cité si dévastée par les promoteurs que dans les écoles d'architecture, on parle de "bruxellisation". André Dartevelle prête aussi l'oreille aux habitants qui ont été les témoins impuissants de ces destructions massives. Ni Strasbourg, ni Vienne, ni Luxembourg, ni Genève n'ont commis de telles erreurs. Mais à Bruxelles, les autorités se sont obstinées à concentrer, quelqu'en soit le coût humain, les institutions européennes au cœur de beaux quartiers habités, riches en patrimoine et en lieux de mémoire-Hebden Bridge (1995, 0h26) : Sur les hauteurs, au sommet des plateaux qui forment la chaîne Pennine, quelques fermes isolées, des moutons éparpillés dans les landes. A l'inverse, dans les vallées qui entaillent ces plateaux, les hommes s'entassent, les traces de leurs activités industrielles s'accumulent... Ce paysage raconte la Révolution industrielle, cette profonde mutation qui transforma radicalement l'Angleterre, pour gagner ensuite le reste du monde développé...


Film
Les grands projets : Paris
Author:
Year: 1987 Publisher: Paris: Centreville productions,

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Abstract

Document d'information à vocation promotionnelle présentant les grandes réalisations architecturales de Paris en 1989. Ce document est composé de deux parties. Dans la première, les bâtiments sont présentés sur un fond musical : la Grande Arche, le Grand Louvre, le Musée d'Orsay, l'Institut du Monde Arabe, le Ministère des Finances à Bercy, l'Opéra Bastille, le parc de La Villette et la Cité des Sciences et de l'Industrie. Sur un portrait photographique des architectes, une phrase en sous-titre résume la conception de l'architecte de la Grande Arche, J. Otto von Spreckelsen : "un cube ouvert, une fenêtre sur le monde comme un point d'orgue provisoire sur l'avenue avec un regard sur l'avenir."


Film
État des lieux
Author:
Year: 1985 Publisher: Paris: FR3,

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Abstract

Ce document présente un panorama de la recherche contemporaine à travers douze oeuvres de l'architecture internationale. Chaque oeuvre présentée est prétexte à une petite mise en scène destinée à mieux faire découvrir l'ambiance du bâtiment, l'originalité de la réalisation : L'Illinois State Center à Chicago, construit en 1985 par Charles et Helmut Jahn ; Rokko Housing, un immeuble d'habitation de luxe de vingt appartements, construit en 1983 à Kobe (Japon) par Tadao Ando ; la station de métro Alma, à Bruxelles, construite en 1982 par Lucien Kroll ; l'hôpital Neues Klinikum à Aix-la-Chapelle (R.F.A.) construit en 1984 par les architectes Weber, Brand & Partners ; le California Aerospace Museum à Los Angeles, conçu par Frank Gehry ; la "passerelle dans un tunnel", construite en 1981 dans le parc du Grand Lancy à Genève par Georges Descombes ; le marché municipal Do Laranao à Braga (Portugal) par Eduardo Souto Moura ; l'ensemble de logements sociaux Fraenkelufer construit à Berlin Ouest en 1984 par les architectes Henrich et Inker Baller ; le Research Center Schlumberger construit en 1985 à Cambridge (G.-B.) par Michael Hopkins ; le site des Compteurs de la Schlumberger Company à Montrouge rénové en 1985 par Renzo Piano ; la tour du siège de la HKSBC construit à Hong-Kong en 1985 par Norman Foster ; le siège de la PFA à la Défense, construit par Jean Willerval.


Film
How much does your building weigh, Mr. Foster ?
Authors: ---
Year: 2010 Publisher: [Lieu de publication inconnu]: Bodega films,

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Portrait de l'architecte britannique Norman Foster : bref résumé de son enfance, études, parcours professionnel, et présentation, commentée en voix off ou par Foster lui-même, de ses principales réalisations. Le film est ponctué d'interviews de ses collaborateurs, d'architectes (Richard Rogers, Buckminster Fuller, Carl Abbott), de critiques de l'architecture, d'artistes (Anish Kapoor, Richard Serra, Anthony Caro, Richard Long). Tourné dans 11 pays différents, le film montre 26 ouvrages ou bâtiments emblématiques de son travail, comme le Viaduc de Millau, le siège de Swiss Re à Londres, la tour Hearst à New York, le Sainsbury Center à Norwich, le nouveau Reichstag à Berlin, la tour HSBC à Hong Kong, les aéroports de Stansted, de Chek Lap Kok à Hong-Kong, de Pékin, l'éco-ville de Masdar à Abou-Dhabi... A l'écran : vues intérieures, extérieures et aériennes des projets présentés, dessins, maquettes, 3D, images d'archives.


Film
Architectures. 3
Authors: --- ---
Year: 2003 Publisher: Paris: Arte,

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Abstract

Ce DVD contient 6 épisodes de la série "Architectures". Chaque film analyse un bâtiment à travers des prises de vue réelles, des plans, des maquettes, et en retrace l'histoire tout en le situant dans le contexte de la production architecturale de son époque.1-Le Musée Juif de Berlin : Le bâtiment construit à Berlin entre 1993 et 1998 pose d'emblée une question que l'architecture n'a pas l'habitude d'aborder : celle de ses propres limites. Comment l'architecture peut-elle construire là où tout a été détruit, comment peut-elle se confronter à l'histoire et surtout à cette histoire là ? La réponse de Daniel Libeskind (dont ce fut le premier bâtiment construit), est à la fois littérale et secrète. Elle est littérale dans la forme extérieure du bâtiment, un zigzag, une extraordinaire ligne brisée, qui plie tout son volume d'un bout à l'autre de la parcelle et qui incarne pour l'architecte toute la violence, toutes les cassures de l'histoire des Juifs en Allemagne. Ce n'est pas une aimable promenade muséale mais un trajet aux allures d'épreuve, dont les jalons s'appellent La Tour de l'Holocauste, Les Jardin de l'Exil, Les Vides. Ces Vides sont des tours de béton, totalement invisibles de l'extérieur, qui traversent le bâtiment sur toute sa hauteur. Il en y en a six de forme différente, elles ne contiennent rien, on n'y entre pas. Au sein du musée, envahi par une collection pléthorique qui évoque la longue histoire de la présence juive en Allemagne, elles incarnent la dernière figure du judaïsme allemand, celle de l'absence. Et le refus de toute nostalgie, de tout commentaire. Surnommé le Blitz, l'éclair, par les Berlinois, le musée juif qui a connu une histoire institutionnelle particulièrement tourmentée, est aujourd'hui l'un des bâtiment les plus visités de Berlin.2-L' Opéra Garnier :Charles Garnier fait ses classes à l'école des Beaux-Arts puis devient lauréat du prestigieux Prix de Rome. Alors qu'il est encore quasiment inconnu du grand public, il remporte le concours ouvert par Napoléon III pour l'édification d'un nouvel opéra. Les travaux durent de 1862 à 1875. Dans cette oeuvre, devenue le symbole du style Second Empire, Garnier révèle un tempérament de tendance baroque. Il use d'une décoration éclectique, surchargée et fastueuse, qui masque la structure interne en fer. S'y mêlent les arts décoratifs et les disciplines qui constituent les beaux-arts, peinture, sculpture, gravure, tous au service de l'architecture. La volonté du concepteur : construire une bulle qui isolerait les spectateurs du monde extérieur pour les préparer à entrer dans l'univers fantastique de l'opéra. Garnier rêvait d'un palais-spectacle capable de rivaliser avec les oeuvres qui allaient y prendre place, jusqu'à souhaiter devenir le directeur de l'opéra et non pas seulement son architecte.3-Le Couvent de la Tourette :Le couvent de la Tourette est l'un des rares édifices religieux conçus par Le Corbusier. Une oeuvre de maturité qui frappe par sa force, sa richesse et sa complexité. Construit entre 1953 et 1960 à Eveux, près de Lyon, le couvent de la Tourette est la dernière grande oeuvre de Le Corbusier en France. Le couvent doit abriter quatre-vingts étudiants, être à la fois lieu d'habitation, lieu d'étude et lieu de prière. Au lieu d'élever le bâtiment depuis le sol, Le Corbusier l'abaisse à partir de la ligne horizontale du toit et va à la rencontre de la pente qu'il touche "comme il peut". Il construit sur un plan classique un quadrilatère autour d'une cour fermée. Les cellules des moines, qui disposent chacune d'une loggia, occupent les deux étages supérieurs. Les salles d'étude et les espaces de vie commune sont largement ouverts vers le paysage. L'église fait volume à part, un bunker de béton aux proportions subtiles. C'est le cloître qui surprend, avec ses allées qui forment une croix.4-La Casa Milà : En 1906, des fabricants de céramique commandent à Gaudí un immeuble d'habitation qu'ils veulent monumental. L'architecte conçoit la Casa Milá comme un édifice dédié à la Vierge du Rosaire : le bâtiment ressemble à un immense piédestal qui doit accueillir une sculpture de la Vierge sur le toit. La polychromie, très présente dans les réalisations de Gaudí, est ici plus limitée en façade et s'efface au profit d'un seul et même matériau, une pierreblanc-crème qui donne son surnom, La Pedrera (la carrière de pierre), à l'édifice. C'est dans les détails que l'architecte laisse libre cours à son goût de la décoration : ferronnerie des balcons qui évoquent la végétation, polychromie des balustrades, cheminées travaillées avec des fragments de marbre et de céramique, escaliers coiffés de formes arrondies.5-L' Auditorium Building de Chicago : L'architecte Louis Henry Sullivan est la personnalité la plus marquante de cette École de Chicago. Le Chicago Auditorium Building, construit en association avec l'ingénieur Adler est sa première oeuvre d'envergure et le premier grand chef d'oeuvre de l'histoire de l'architecture américaine. C'est un complexe rassemblant dans un seul bâtiment un hôtel de luxe, des bureaux, et une salle d'opéra. L'idée des commanditaires étant que l'hôtel et les bureaux allaient combler le déficit de l'opéra qu'on voulait populaire. A l'époque de sa construction ce fut le bâtiment de tous les records - le plus haut du monde, grâce à sa tour de 17 étages et abritant en son sein la salle de spectacle la plus grande des USA - 4500 places assises. Si la tour, construite en maçonnerie traditionnelle, fut rapidement dépassée par l'apparition du gratte ciel à charpente métallique, la salle de spectacle reste aujourd'hui encore extraordinaire tant par ses dimensions vertigineuses et sa perfection acoustique que par le traitement architectural et décoratif qui rompt radicalement avec la tradition de la salle d'opéra européenne.6-Le Centre Municipal de Säynätsalo : La commune de Säynätsalo s'étend sur trois petites îles du plus grand lac de Finlande. Ses habitants travaillent tous pour une grande usine de transformation du bois installée sur l'une des îles. En 1949, le maire communiste et le directeur de l'usine demandent à Alvar Aalto, enfant du pays et l'un des plus grands architectes du XXe siècle, de concevoir un centre municipal. La petite commune a un projet modeste : un hôtel de ville, quelques logements de fonction, des commerces et une bibliothèque, le tout rassemblé dans un même complexe. Pour Alvar Aalto, l'enjeu est double : bâtir au milieu de la forêt un monument urbain inspiré par la cité idéale de l'Italie de la Renaissance et affirmer la supériorité des bâtiments civiques sur les bâtiments commerciaux.

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