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A bord du "Normandie", au Havre, s'embarquent un certain nombre de passagers, à destination de New York. Le manager Sinclair emmène Miss Deauville en Amérique dans l'espoir de lui faire recontrer un milliardaire. Le banquier américain Billingham rentre chez lui, avec sa fille Jane, que suit le journaliste Paul Landry, amoureux d'elle. Quant à l'inspecteur Boucheron, il convoie le Diamant de la Couronne, une pierre de grande valeur qui va mystérieusement disparaître pendant cette traversée mouvementée.
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Le télégraphiste qui apporte une dépêche dans ce bel immeuble de rapport au coeur de Paris découvre dans l'ascenseur le cadavre de la propriétaire, assassinée d'un coup de couteau. Le commissaire de police du quartier, Boucheron, bonhomme et malin, va mener l'enquête assisté de l'inspecteur Lambert, sec et froid. L'assassin ne peut être le vieux Martin, aveugle et ruiné, à qui sa fille Madeleine essaie de faire croire que la pauvreté ne s'est pas incrustée dans l'appartement. Picking, lui, est un bonhomme pas très avenant et plutôt mal embouché, artiste de music-hall, virtuose du lancement de couteaux. Suspect peut-être comme M. Corbeau, kleptomane distingué, chez qui on retrouve un couteau de Picking ensanglanté. Suspect aussi André Laurent, qui avoue spontanément, lorsque les enquêteurs apparaissent, qu'il a volé de l'argent à la banque où il travaille...
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Elsa est entretenue par un riche banquier. Elle est sur le point d'être impliquée dans une escroquerie, et un ami lui propose un mari de paille. Celui-ci tombe amoureux de sa femme.
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Au début de la guerre, quelques dames des plus huppées imaginent, lors d'une descente à l'abri, de fonder une œuvre pour les soldats sans famille. À cette occasion, elles décident d'entrer en relation avec la riche Mme Marion, qui n'est pas de leur monde et a mené une vie légère. Cancans, potins, mesquineries, brouilles vont se succéder.
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Drôle de Ministère dont les fonctionnaires passent leur journée à jouer aux courses, à souffler dans un cor de chasse ou à monter des revues en auditionnant de charmantes jeunes femmes levant la jambe entre les dossiers poussiéreux...
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Réveillon au Café de Paris. A minuit un homme est assassiné! Tous les fétards qui avaient l'air de sympathiser doivent se montrer sous leur véritable jour. L'assassin découvert, la gaité revient et avec elle, l'hypocrisie.
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Film à sketches de Robert Vernay avec Noël-Noël, Mireille Balin, René Lefèvre. Pour consoler un jeune homme, qui éprouve un chagrin d'amour et s'apprête à se donner la mort, son oncle et ses amis évoquent, à tour de rôle, la femme qu'ils ont le plus aimée et dont la perte les a désespérés. Le chirurgien (Noël-Noël), venant récupérer les loyers impayés d'une locataire (Arletty), se laisse enjôler et finit par vouloir l'épouser mais, au moment de partir pour la mairie, celle-ci refuse de se laisser mettre en cage. L'industriel (René Lefèvre), parfait fils à papa, séduit la fiancée (Renée Devillers) du fondé de pouvoir de son père et pense à se jeter à l’eau parce qu'il doit renoncer à elle. Ayant pris la succession de son père, il les emploie tous les deux et se réjouit de ce à quoi il a échappé en voyant leur vie de ronds-de-cuir sans joie et sans grâce. L'avocat (André Luguet), tombé amoureux d'une sculptrice (Michèle Alfa), se ridiculise en devenant son modèle comme gladiateur. Son obstination finit par la séduire et ils vivent un an d’amour passionné, mais délaissent, lui le prétoire, elle la création, jusqu’à ce qu'elle le quitte pour renouer avec son art. Le directeur de théâtre (Jean Tissier) a débuté comme huissier et venait saisir l’auteur dramatique (Raymond Rouleau), alors inconnu. Il est reçu par sa femme (Mireille Balin) qui, par jeu, se fait passer pour lui, et il tombe sous son charme : il annule la saisie, abandonne son métier et achète un théâtre qu’il met à la disposition de celle qu’il croit l’auteur. Il tombe des nues lors du triomphe de la générale lorsqu’elle lui révèle la supercherie. Le peintre (Lucien Baroux), un jour qu’il rentre ivre-mort, est enterré un peu vite par sa femme qu’il adore (Simone Berriau), mais qu'il voit depuis son « lit de mort » se consoler un peu vite avec son meilleur ami. Écœuré, le mort se relève et les quitte non sans avoir pensé à quitter la vie. Après avoir écouté les déboires amoureux des six invités de son oncle, le neveu renonce à ses projets morbides, tous ayant finalement connu des jours meilleurs après avoir pensé au suicide. Réalisé sous l’occupation, cette comédie dédiée à la glorification du célibat est composée de cinq sketches sur le thème de l’amour déçu. On doit à Yves Mirande le scénario et les dialogues, et la réalisation porte la signature de Robert Vernay. Il faut reconnaître qu’à aucun moment le film ne décolle et les histoires sont un peu trop prévisibles. “La Femme que j’ai le plus aimée” n’a pour seul intérêt que d’avoir été l’occasion de réunir sur un même plateau quelques grandes figures du cinéma de l’époque.
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