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Film
L'homme qui rétrécit
Author:
Year: 2018 Publisher: [Nanterre]: Elephant Films,

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Abstract

Suite à un passage en pleine mer dans une nappe de brouillard radioactif, Scott Carey voit avec effarement son corps diminué de taille ! Il consulte les plus grandes sommités scientifiques qui ne peuvent que constater le phénomène... De plus, Scott retrécit toujours et nul ne peut prévoir jusqu’où le processus ira. Sa femme lui installe une petite maison de poupée, il ne mesure plus que 20 centimètres... Un jour, seul à la maison, Scott est attaqué par le chat de la maison...La carrière cinématographique de Jack Arnold débute dès 1950 avec le méconnu With These Hands. C’est à partir de 1953 que le réalisateur américain s’illustre avec Le Météore de la Nuit. Jack Arnold vient de trouver son style de prédilection, la science-fiction obnubilée par la peur de la Guerre Froide. Cette angoisse ineffable se traduit par la suite en une araignée géante sourdant du néant dans le terrible Tarantula ! Dès 1955, Jack Arnold évoque nos peurs contemporaines à travers l’histoire de ce monstre radioactif qui préfigure l’avènement de l’ère atomique. Impression corroborée par la sortie de L’Homme qui rétrécit en 1957. A l’origine, le long-métrage est l’adaptation d’un roman homonyme de Richard Matheson publié en 1956.Premier constat, Jack Arnold respecte les grandes lignes de l’opuscule original. Certes, les contempteurs pesteront et tonneront après quelques petites peccadilles et différences notables. Par exemple, le roman se centre davantage sur la vie familiale et professionnelle de Scott Carey. Toutefois, Jack Arnold s’approprie le livre de Richard Matheson et propose une réflexion à la fois sociale, sociologique et même cosmologique sur ce mal étrange qui ronge cet homme sans histoire. Le speech est donc le suivant. Suite à un voyage en mer, le corps de Scott Carey est traversé par une immense brume radioactive.Quelques semaines plus tard, son corps se délite et diminue progressivement de taille. Pour Scott Carey, c’est un long calvaire qui commence.Non seulement, il devient la risée des journaux et des médias mais en plus, il doit supporter les railleries et les quolibets de son entourage, au grand dam de son épouse. Ainsi, L’Homme qui rétrécit se divise en deux parties bien distinctes. La première se veut résolument scientifique et rationnelle, cherchant à tout prix une explication à l’insondable. Hélas, même les médecins les plus érudits se heurtent à une barrière inextricable.Réduit à quia et à un vulgaire cacochyme, Scott Carey doit désormais s’adapter un environnement hostile. Il doit alors affronter l’appétit pantagruélique d’un félin qui se tapit dans la maisonnée. Puis, suite à de nouvelles péripéties, il se retrouve quelque part dans sa cave. C’est la seconde partie du film.Dès lors, Scott Carey doit survivre coûte et coûte et surtout obéir à ses besoins les plus élémentaires. Ainsi, un simple morceau de gruyère devient un véritable périple homérique. Chaque goutte d’eau se transforme en rivière quasi infranchissable. Chaque petit trou se transmute en immense précipice. Et gare à ne pas contrarier les appétences d’une araignée aux incroyables rotondités !Si le film impressionne par sa technicité, sa virtuosité et son ingéniosité, le long-métrage étonne davantage par sa sagacité. La présence d’un félin et d’un arachnide ne sont que des simulacres pour mieux se centrer sur les émotions et la psyché en déliquescence de Scott Carey. Ainsi, le film nous convie dans l’autoscopie mentale de cet homme accaparé par son instinct de survie. L’Homme qui rétrécit s’apparente alors à une allégorie sur la condition humaine.Contrairement aux apparences, ce n’est pas l’homme qui domine Dame Nature, mais l’inverse. Au mieux, il la dompte et s’adapte à son milieu naturel. Au fil du récit, le périple de Scott Carey se transmue en épopée spirituelle, philosophique et cosmologique. Hagard, le héros n’a d’autre choix que d’accepter sa condition infinitésimale, celle qui le réduit à la taille d’une poupée, puis d’un vulgaire insecte pour ensuite revêtir les oripeaux d’un atome.Le spectateur découvre alors un personnage à la fois médusé et opiniâtre qui ratiocine sur cette singularité primordiale, celle qui régit à la fois les préceptes énigmatiques de notre vaste univers, quelque part entre le Big Bang et ce néant indicible. Pour Jack Arnold, il existe un lien intrinsèque, un chaînon manquant entre ce vide incommensurable et les lois inexplicables de l’infiniment petit. Finalement, bien avant les théories de Stephen Hawkins sur la singularité des rayonnements cosmiques émis par les trous noirs, Jack Arnold pointait déjà les anfractuosités de notre vaste univers. Certes, par la suite, L’Homme qui Rétrécit inspirera de nombreux épigones, notamment Chéri, J’ai Rétréci les Gosses (Joe Johnston, 1989), mais sans atteindre la quintessence du chef d’œuvre de Jack Arnold.

Keywords


Film
L'hypothèse Aldo Rossi
Author:
Year: 2012 Publisher: Paris: Productions du Effa,

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Au début des années 70, l'architecte italien Aldo Rossi a enseigné quelques mois à l'école d'architecture polytechnique de Zürich. Aujourd'hui, les suisses Jacques Herzog, Peter Zumthor, Marcel Meili, Quintus Miller, Miroslav Sik, Roger Diener et Bruno Reichlin, ainsi que Xavier Fabre, le seul français, témoignent de l'onde de choc que fut sa venue. «Sans lui, rien n'aurait existé» dira même l'un d'entre eux. Qu'a donc pu leur raconter cet homme pour générer une telle veine créatrice ?


Film
Artistes et architectes
Author:
Year: 2006 Publisher: Paris: Les productions du Effa,

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Ce document traite de la méthode et de la place de l'intervention artistique sur des bâtiments publics ou dans l'espace urbain, qu'il s'agisse de commande publique, dans le cadre du 1% artistique, ou de commande privée, et des modes de collaboration entre artistes et architectes. Il réunit autour de ces questions les témoignages du peintre Gérard Traquandi, des architectes Olivier Tampon-Lajariette, Matthieu Poitevin, José Moralès, Corinne Vezzoni, et montre plusieurs réalisations exemplaires de mise en couleurs ou de mise en lumière de bâtiments dans la région Provence-Côte d'Azur : les Archives des Bouches-du-Rhône à Aix-en-Provence (architectes : Jean-Michel Battesti et RCT architectes), les bureaux provisoires en Algéco de la friche de la Belle de Mai à Marseille (architectes : Matthieu Poitevin et Pascal Reynaud), le collège Ubelka, à Auriol (architecte : Rudy Ricciotti), le Palais de victoires à Cannes (architecte : Roberto Ferreira), les Archives et bibliothèque départementales de Marseille (architectes : Corinne Vezzoni et Pascal Laporte), la Fondation Albers-Honegger à Mouans-Sartoux (architectes : Annette Gigon et Mike Guyer).


Film
Fabricants du visible
Author:
Year: 2009 Publisher: Paris: Les productions du Effa,

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Marseille et Nice se préparent toutes deux à accueillir le tramway, après plusieurs années de travaux qui ont mis une partie de la ville sens dessus dessous. Pour toutes les deux, un important programme d'art urbain doit accompagner le parcours du transport en commun. Comment se transforme ou perdure l'identité d'une ville face à des travaux d'une telle ampleur ? Tel est le point de départ du film qui se promène entre Nice et Marseille durant l'année 2007 dans le sillage de ces "fabricants du visible". Ces hommes, politique, architecte, artiste, aménageur, médiateur artistique, qui, à des titres divers et chacun à leur manière, façonnent le quotidien de nos villes. Le film capture ainsi dans ses filets un peu de la compexité à faire la ville aujourd'hui...


Film
The cineseizure (1989-1998) : 01: Pièce touchée; 02: Passage à l' acte; 03: Alone. Life wastes Andy Hardy; Bonustrack I: Don't - Der Österreichfilm; Bonustrack II: Trailer - Jesus walking on screen; Bonustrack III: Trailer - Kunstraum Remise
Author:
Year: 2007 Publisher: S.l. : Arge Index,

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Arnold, Martin


Film
The incredible shrinking man [1957]
Author:
Year: 2005 Publisher: [s.l.] : Universal Studios,

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Keywords

Arnold, Jack


Film
The Cineseizure
Author:
Publisher: Autriche, Martin Arnold,

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Le titre cet opus (Cineseizure), contenant trois films d?une dizaine de minutes chacun, est d?ailleurs significatif ; "seizure" pourrait se traduire par "capture" ou "saisie", ou même par "attaque". Et c?est bien à une capture du cinéma, voire à une attaque en règle, dont il s?agit ici. Dans le vocabulaire du cinéma expérimental, on appelle cette technique le found footage (littéralement morceau de pellicule trouvée, archives). "Pièce touchée" (1989) (15 min.) / "Passage à l'acte" (1993) (12 min.) / "Alone. Life Wastes Andy Hardy" (1998) (15 min.)

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Film
Fish Tank
Author:
Year: 2010 Publisher: [place of publication not identified] Artificial Eye

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Film
American Honey
Author:
Year: 2017 Publisher: [place of publication not identified] Universal

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Film
Een Vlaams retabel in Evora
Author:
Year: 1992 Publisher: Leuven KU Leuven. Audiovisuele dienst [prod., real., dist.]

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