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Communication. --- Dominance (psychologie) --- Petite enfance.
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BIOPHYSICS --- EQUILIBRIUM (PHYSICS) --- Laterality --- DOMINANCE, CEREBRAL --- GYMNASTICS --- BIOPHYSICS --- EQUILIBRIUM (PHYSICS) --- Laterality --- DOMINANCE, CEREBRAL --- GYMNASTICS
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Dominance, Cerebral --- Dyslexia --- Functional Laterality --- Testosterone --- physiology --- physiopathology
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Agnosia --- Dyslexia, Acquired --- Visual Perception --- Dominance, Cerebral --- physiopathology --- physiology
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Discrimination Learning --- Visual Cortex --- Pattern Recognition, Visual --- Form Perception --- Dominance, Cerebral --- physiology --- physiology --- physiology --- physiology --- physiology
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Cette étude, menée auprès de 123 participants, s’intéresse au phénomène de Manterruption, terme décrivant l’interruption intempestive et/ou inutile des femmes par les hommes. Ce phénomène a été mis en lumière par de nombreux exemples de la scène publique et testé par différentes études. Dès lors, nous avons mis en lien le temps de parole laissé à un locuteur fictif avec diverses variables telles que le niveau de sexisme ambivalent et de dominance sociale des participants. Nous nous sommes également intéressés à l’impact de la perception du visage des locuteurs et du sujet abordé sur le processus d’interruption. Nos principales hypothèses reposaient donc sur le fait que les participant.e.s haut.e.s en sexisme ambivalent et dominance sociale interrompraient plus rapidement les femmes que les hommes. Une hypothèse alternative suggérait que les femmes seraient davantage écoutées que les hommes quand le sujet de conversation abordé concernait les femmes. Les résultats de cette recherche ne mettent pas en évidence une différence de traitement des femmes par rapport aux hommes. En revanche, les diverses variables étudiées ont eu un impact sur l’interruption en général : le fait d’augmenter le score sur les échelles de sexisme ambivalent et de dominance sociale réduit le temps avant interruption en général, et les locuteurs perçus comme compétents ont été interrompus après davantage de temps.
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Cette étude va tenter de démontrer qu’il existe une différence entre hommes et femmes concernant les mythes du viol. Elle va également explorer le rôle du sexisme ambivalent et de la dominance sociale dans le blâme de la victime de viol. Pour ce faire nous avons composé un échantillon de 100 sujets dans la population générale dont 50 hommes et 50 femmes. Nous leur avons administré l’échelle de sexisme ambivalent (ESA, Dardenne, Delacollette, Grégoire & Lecocq, 2006), l’échelle de dominance sociale (SDO, Pratto, Sidanus, Stallworth & Malle, 1994) ainsi que l’échelle d’acceptation des mythes du viol (RMAS, Burt, 1980). Nous leur avons également administré l’échelle de désirabilité sociale de Marlowe et Crowne (1960) dans le but d’éviter un biais. Les résultats n’ont pas confirmé notre hypothèse selon laquelle il existait une différence entre les hommes et les femmes dans l’acceptation des mythes du viol. Néanmoins, nous avons constaté que le sexisme ambivalent et la dominance sociale étaient de puissants prédicteurs de l’acceptation des mythes du viol.
Viol --- Sexisme --- Dominance (psychologie) --- Jugement moral --- Différences entre sexes --- Sciences sociales & comportementales, psychologie > Psychologie sociale, industrielle & organisationnelle --- Sciences sociales & comportementales, psychologie > Traitement & psychologie clinique
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Introduction : Tous les visages sont constitués de la même manière, ils ont tous deux yeux, une bouche et un nez mais pourtant chacun d’entre eux est unique. Ils sont accessibles à tous et représentent une source extrêmement riche d’informations sociales. Ces informations que nous percevons du visage d’une personne déterminent notre comportement futur. De nombreux critères influencent cette perception, notamment la familiarité d’un visage. Cette étude permet d’apporter des contributions à propos de la perception des visages selon un degré de familiarité (peu familier, très familier et moyennement familier) dans une condition « manipulée » et dans une condition « naturelle ». La condition de familiarité manipulée correspond à l’exposition répétée de visages inconnus au départ tandis que la condition de familiarité naturelle prend en compte la familiarité des visages célèbres. Ce mémoire étudie également l’influence, sur la perception, de deux caractéristiques propres à l’individu qui sont : 1) l’impact de la crise de la Covid-19 et 2) le rapport à l’inégalité basée sur les groupes sociaux. Matériel et méthode : Afin d’évaluer les deux types de familiarité, nous avons réalisé deux expériences. Au total, 126 participants tout-venants âgés entre 18 et 72 ans ont répondu à un des deux questionnaires en ligne (un questionnaire par expérience). Ils ont été recrutés à partir de différents réseaux sociaux. Dans un premier temps, les sujets ont répondu à l’échelle sur l’orientation à la dominance sociale. Ensuite, il leur a été demandé de juger différents visages selon les 5 dimensions suivantes : la chaleur, la dominance, la confiance, la compétence et l’attractivité. Enfin, l’impact subjectif du confinement et de l’isolement social a été mesuré. Uniquement en condition « manipulée », les participants ont été exposés à une vidéo présentant certains visages 2 fois et d’autres 12 fois avant d’accéder à la partie du jugement. Résultats et conclusion : Les résultats ont montré que lors d’une exposition répétée à un stimulus, plus nous sommes exposés à un visage, plus nous l’apprécions et l’évaluons comme étant plus dominant et plus digne de confiance. Dans le cadre de la familiarité naturelle, nous observons que les visages perçus comme étant très familiers sont plus appréciés et jugés plus dominants et plus compétents que les visages perçus très peu familiers. Concernant l’impact de la situation du Covid-19, nos données soutiennent difficilement l’hypothèse d’une influence négative sur le jugement d’un visage. Enfin, les résultats écartent la possibilité d’une relation entre la tendance à légitimer les inégalités sociales et le jugement positif des personnes célèbres.
Perception des visages, familiarité, orientation à la dominance sociale, confinement et isolement social --- Sciences sociales & comportementales, psychologie > Psychologie sociale, industrielle & organisationnelle --- Sciences sociales & comportementales, psychologie > Traitement & psychologie clinique
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