Narrow your search

Library

ULiège (5)

KBR (2)

ARB (1)

KU Leuven (1)

UGent (1)

UHasselt (1)

VDIC (1)


Resource type

dissertation (7)

book (2)


Language

French (5)

Dutch (2)


Year
From To Submit

2019 (1)

2018 (2)

2014 (2)

1990 (2)

Listing 1 - 7 of 7
Sort by

Multi
Acute keelpijn in de eerste lijn : een beschrijvende en experimentele studie over epidemiologie, diagnose en beleid : proefschrift...
Authors: ---
ISBN: 9080039136 Year: 1990 Publisher: Gent Rijksuniversiteit te Gent. Faculteit van de Geneeskunde

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract


Dissertation
Etude de la prévalence des troubles de la déglutition chez les patients ayant bénéficié d'une chirurgie thyroïdienne
Authors: --- --- --- ---
Year: 2018 Publisher: Liège Université de Liège (ULiège)

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract

En Belgique, en 2013, les maladies thyroïdiennes sont en neuvième place des pathologies les plus fréquentes dans la population féminine. En Wallonie, 69,1% des pathologies nodulaires de la thyroïde sont traitées par une chirurgie thyroïdienne.
Avant ou après ce type d’intervention, des troubles de la déglutition apparaissent fréquemment. Avant l’intervention, ils peuvent être dus à un phénomène de compression du goitre sur les voies aériennes, digestives et/ou sur le larynx. 
A la suite de la chirurgie, les troubles de la déglutition peuvent survenir avec ou sans lésions des nerfs laryngés. Sans atteinte nerveuse, les adhérences postopératoires engendrent une diminution du mouvement vertical de l’os hyoïde et donc un temps de déglutition plus lent. Lorsqu’un nerf est endommagé, des fausses routes peuvent apparaître.
Après une thyroïdectomie, les patients souffrent souvent d’inconforts au niveau du cou. Ces symptômes pourraient s’expliquer par le reflux pharyngo-laryngé. 
Cette étude a deux objectifs : déterminer quel est le taux de prévalence des personnes souffrant de troubles de la déglutition avant et après la thyroïdectomie et déterminer si les éventuels troubles de déglutition postopératoires peuvent être liés à l’intervention elle-même ou à l’intubation.
Nous avons donc tenté de répondre à diverses hypothèses : 
-La thyroïdectomie est un facteur de risque de difficultés de déglutition postopératoires par rapport aux autres types de chirurgie.
-Les troubles de la déglutition se rencontrent plus fréquemment dans la population présentant une pathologie thyroïdienne en phase préopératoire. 
-L’intubation peut engendrer des troubles de la déglutition par des effets directs et indirects de la sonde d’anesthésie.
-Le reflux pharyngo-laryngé sera plus important à la suite de la thyroïdectomie.
Les participants ont été recrutés au CHU de Liège. Ils sont âgés de 18 à 65 ans et allaient bénéficier d’une thyroïdectomie ou d’une chirurgie nécessitant une intubation. Les participants ont complété le « deglutition handicap index » et le « reflux symptom index » avant la chirurgie, 10 jours et 3 mois après l’intervention. 
Les analyses statistiques nous ont permis de déterminer le taux de prévalence des troubles de la déglutition et de reflux avant et après l’intervention. La seule hypothèse confirmée est celle concernant l’impact de la sonde d’anesthésie sur la déglutition. La dysphagie est plus fréquente après une chirurgie nécessitant une intubation. 
Nos résultats montrent donc un faible risque de développer un trouble de la déglutition ou de reflux à la suite d’une thyroïdectomie ou d’un autre type de chirurgie.


Dissertation
Création et validation d'un questionnaire d'évaluation de la dysphagie destiné à l'accompagnant du patient
Authors: --- --- ---
Year: 2019 Publisher: Liège Université de Liège (ULiège)

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract

Il existe de nombreux questionnaires d’auto-évaluation de la déglutition. Il semblerait toutefois qu’aucun d’entre eux ne soit destiné à interroger de façon reproductible et fiable les proches de patients dysphagiques. Ce type de questionnaire pourrait cependant s’avérer très informatif. Il a en effet été établi que de nombreux patients étaient anosognosiques et de ce fait, incapables de répondre à un questionnaire d’auto-évaluation de manière fiable. Dans ce contexte et compte tenu du fait que les questionnaires constituent une part importante de l’évaluation de la dysphagie, il semblait pertinent de pouvoir faire appel à l’accompagnant du patient. C’est pourquoi, cette étude visait à créer, valider et déterminer les possibilités d’application d’un questionnaire d’évaluation de la déglutition à destination des proches des patients. Le nouvel outil d’évaluation, élaboré sur base du Deglutition Handicap Index (DHI), se nomme Deglutition Handicap Index – Accompagnant (DHI-A).
Soixante-deux participants (31 patients dysphagiques, un accompagnant par patient) ont pris part à cette étude. Ceux-ci ont été recrutés dans les consultations ORL du CHU de Liège. La participation à l’étude impliquait trois tests supplémentaires par rapport à la prise en charge habituellement proposée. Ainsi, les patients étaient amenés à répondre au MMSE et au DHI et les accompagnants, au DHI-A. En plus de ces trois tests, nous déterminions pour chaque patient un score de stase, un score de fausse route et un score représentant la sévérité de la dysphagie. Pour finir, nous nous informions sur la fréquence à laquelle l’accompagnant assistait au repas du patient.
Le DHI-A a montré une bonne corrélation du score total aux mesures externes de la déglutition, une bonne corrélation inter-domaines, une absence d’effet plafond, une consistance interne satisfaisante et une bonne stabilité test-retest. Toutefois, aucune corrélation n’a pu être observée entre le domaine physique du DHI-A et les résultats de l’examen ORL. En outre, nous n’avons trouvé aucun lien entre le nombre de repas partagés par semaine et la fiabilité des réponses données par les accompagnants. Pour finir, les résultats au DHI-A semblaient plus proches de la réalité que ceux obtenus au DHI.
De manière générale, les conclusions de cette étude sont assez positives. Dans le futur, il pourrait être intéressant de modifier notre pratique d’évaluation de la dysphagie en y intégrant le DHI-A.


Multi
Ciliogenesis and ion channels in human nasal epithelial cells cultured in vitro
Authors: ---
ISSN: 07707703 ISBN: 9061863953 Year: 1990 Volume: vol 27 Publisher: Leuven Leuven University Press


Dissertation
Analyse de l'évolution de la pression sous-glottique estimée au bilan initial et au bilan final. Etude sur 152 patients dysphoniques
Authors: --- --- ---
Year: 2014 Publisher: Liège Université de Liège (ULiège)

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract

Le but de cette étude est d'étudier l'évolution de la pression sous glottique estimée au bilan initial et au bilan final chez 152 patients dysphoniques. Nos données de PSGE ont été récoltées dans le cadre des bilans vocaux, réalisés entre décembre 2009 et janvier 2014, par l'Unité de Phoniatrie du CHU de Liège Méthodologie Des 2314 bilans disponibles, nous en avons extrait 348 pour 174 patients. Ils ont été, par la suite, regroupés en fonction du diagnostic établie par l'oto-rhino-laryngologiste et leurs données (évaluation objective et subjective) ont étaient reprises dans un fichier excel. Les analyses approfondies ont été effectuées sur les groupes ayant un effectif supérieur à 20 patients ce qui a réduit notre échantillon à 130 patients. Hypothèses Nos hypothèses de départ étaient que la PSGE, en tant qu'indicateur du forçage vocal (Giovanni & al, 2000), serait significativement supérieure aux valeurs de référence lors du bilan initial mais moins élevée après le traitement vocal (quel qu'il soit). Nous avons postulé pour l'absence d'un effet du genre, de l'âge et de la pathologie diagnostiquée. Nous avions pour hypothèse l'existence d'une corrélation positive entre la PSGE et le niveau de pression sonore, entre la PSGE et le V.H.I mais également entre la PSGE et facteur G'. Enfin, nous avons postulé l'existence d'une corrélation négative entre la PSGE et le TMP ainsi qu'entre la PSGE et le D.S.I. Résultats et conclusions Lors du bilan initial, la PSGE des personnes dysphoniques est significativement plus élevée que celle des personnes normophoniques. Si nous observons une baisse de celle-ci lors du bilan final, nous constaterons que les valeurs restent toujours significativement supérieures aux valeurs de référence de Holmberg & al (1988) et de Zraick & al (2012) Nous obtenons un effet de la pathologie et du genre mais pas de l'âge. Nous rapportons l'existence, après traitement vocal, d'une corrélation positive entre la PSGE et le facteur G' ainsi qu'entre la PSGE et le niveau de pression sonore. Nos résultats sont plus mitigés pour ce qui est des corrélations avec le V.H.I, le D.S.I et le TMP.


Dissertation
Quel est le profil professionnel des patients consultant au CHU de Liège pour un trouble de la voix ?
Authors: --- --- --- ---
Year: 2014 Publisher: Liège Université de Liège (ULiège)

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract

Contexte : Les travaux portant sur le concept des troubles de la voix liés à l'exercice d'une profession (occupational voice disorders) sont en pleine expansion. L'identification du profil professionnel des patients consultant en phoniatrie a fait l'objet de plusieurs études. Cependant, à notre connaissance, aucune recherche de ce type n'a porté sur une population francophone. Objectif : Cette étude rétrospective consiste à faire un premier état des lieux en Belgique francophone, via les patients qui ont consulté pour un problème de voix dans le secteur phoniatrique du CHU de Liège. Pour les travailleurs, nous tentons d'estimer le degré d'exposition aux troubles de la voix selon la profession exercée et de cibler les métiers les plus à risque de développer une dysphonie. Méthode : Nous analysons les dossiers de 1079 patients (754 femmes et 325 hommes) qui se sont présentés pour la première fois au CHU de Liège entre 2009 et 2013 pour une pathologie vocale bénigne. Dans le but d'identifier les professions les plus à risque, nous tenons compte de la consultation initiale des 577 travailleurs ayant consulté en phoniatrie au CHU de Liège et de la représentation de leurs professions respectives parmi la population totale des travailleurs en Wallonie. Résultats : Les résultats montrent que les travailleurs ayant consulté en plus grand nombre au CHU de Liège sont les enseignants (22,4% des travailleurs consultant au CHU de Liège), suivis des employés de bureau (9,5%), des artistes (8,7%), des commerçants (7,1%), des managers (6,8%), des aides de ménage (6,4%) et des ouvriers (6,1%). En outre, nos estimations basées sur deux méthodes de calcul montrent que les travailleurs qui consultent le plus pour un problème de voix en Wallonie et qui sont donc les plus exposés au risque de présenter un trouble de la voix sont, par ordre décroissant : les artistes, suivis par les professeurs de musique, les animateurs, les entraineurs sportifs, les psychologues, les journalistes et les standardistes. En conclusion, cette étude montre que le nombre de patients par profession qui consulte le plus en phoniatrie ne représente pas nécessairement le groupe professionnel le plus à risque.


Dissertation
L'AVQI 03.01 appliqué à la langue française : validité et précision diagnostique dans la population adulte. Cette évaluation objective corrèle-t-elle avec la plainte du patient ?
Authors: --- --- --- ---
Year: 2018 Publisher: Liège Université de Liège (ULiège)

Loading...
Export citation

Choose an application

Bookmark

Abstract

L’Acoustic Voice Quality Index (AVQI) est un outil d’évaluation quantitative du degré général de la dysphonie. Son calcul comprend six paramètres acoustiques collectés via le logiciel gratuit Praat. Il est réalisé sur base des enregistrements d’une voyelle tenue ainsi que d’une partie d’un texte lu à voix haute. Les qualités psychométriques de cet outil ont été confirmées dans de nombreuses publications, et ce en plusieurs langues. Cependant, sa validation en français repose sur une petite cohorte de patients non francophones de naissance. De plus, la version 03.01 de l’AVQI n’a pas encore été validée sur un échantillon en français. Par conséquent, ce travail comporte trois étapes principales. D’abord, une phase préparatoire vise à identifier l’extrait optimal d’un texte français couramment utilisé en clinique journalière. Le second objectif est d’évaluer la validité critérielle ainsi que la précision diagnostique de l’AVQI 03.01 appliqué sur l’extrait identifié dans la phase préparatoire. Enfin, nous étudions la corrélation entre les scores AVQI et le handicap perçu par le patient, évalué à l’aide du VHI.
Ce travail nous permet entre autres d’inviter à la prudence dans l’utilisation de la technologie et de l’informatique pour l’évaluation vocale. À ce jour, l’évaluation à l’écoute par le thérapeute semble rester le seul outil permettant de percevoir dans sa totalité la réalité complexe et multidimensionnelle de la voix. The Acoustic Voice Quality Index (AVQI) is a tool for quantitative assessment of the overall severity of dysphonia. Its computation includes six acoustic parameters, which are all carried out by the freeware Praat. It is based on the recordings of a sustained vowel and a part of a text read aloud. The psychometric qualities of this tool have been confirmed by numerous publications in various languages. However, its validation in French relies on a small cohort of patients, who were not native French speakers. Furthermore, the version 03.01 of the AVQI has not yet been validated at all on a French sample. Hence, this work consists of three main stages. First a preparatory phase is intended to identify the optimal part of a commonly used French text to be used for the validation study. The second aim is to assess the criterion-related concurrent validity and the diagnostic accuracy of the AVQI 03.01 applied to this text extract. Eventually, we investigate the correlation between the AVQI scores and the handicap perceived by the patient, as assessed by the VHI. This work allows us to call for caution in the use of technology and computer science for vocal assessment. To date, the perceptual assessment by the clinician still seems to be the only way to catch the complex and multidimensional vocal reality in its entirety.

Listing 1 - 7 of 7
Sort by