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Utilisation de la technique ultrasonographique (échographie) pour l'étude de la langue dans la cavité buccale. L'analyse structurale de la langue est envisagée. Ensuite, l'analyse fonctionnelle de la langue est réalisée pour les deux fonctions de déglutition et de phonation. L'étude quantitative est complétée d'une étude qualitative. L'examen porte sur quatre sujets normaux (groupe contrôle) et sur trois patients atteints de pathologies différentes : fente palatine, troubles orthodontiques, problèmes neurologiques (dysarthrie).
ECHOGRAPHIE --- LOGOPEDIE --- PHONATION --- ECHOGRAPHIE --- LOGOPEDIE --- PHONATION
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Le mastocytome représente la tumeur cutanée la plus fréquente chez le chien et présente la particularité de métastaser préférentiellement au niveau du foie et de la rate. La question de l’utilité d’un bilan d’extension échographique ainsi qu’une ponction à aiguille (FNA) en routine a souvent été posée avec des réponses diverses selon les différentes études présentes dans la littérature. L’échographie du foie et de la rate est généralement considérée comme un examen peu spécifique. Toute variation échographique peut en effet être issue d’un large diagnostic différentiel dont les néoplasmes ne représentent qu’une petite partie. La plupart des études n’ont donc pas su mettre en lien image échographique anormale et présence de néoplasmes et suggèrent donc une FNA en routine afin d’optimiser les chances de mettre des métastases en évidence. Cette cytoponction en routine est toutefois remise en cause par d’autres études suggérant que le déséquilibre de la balance bénéfice /risque est trop important. Enfin, une étude a pour sa part mis en évidence une corrélation entre FNA et images échographiques. Dans l’étude rétrospective menée à la CVU, les résultats obtenus penchent plutôt pour des résultats non-spécifiques en matière d’échographie et de FNA vis-à-vis de la présence ou non de néoplasmes. Sur les 28 cas de mastocytomes (les trois gardes ont été réprésentés) recensés, une seule FNA est revenue positive et de très nombreuses variations échographiques ont été observées. Ces résultats n’ont donc pas permis de mettre en évidence un lien entre bilan échographique, FNA et présence de métastases.
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Dogs. --- Minimally invasive surgical procedures --- Ultrasonography --- Lumbosacral Region --- Chien --- Chirurgie mini-invasive --- Échographie en médecine vétérinaire --- Vertèbres lombaires --- Sacrum --- veterinary --- ultrasonography. --- Chez les animaux --- Echographie --- Minimally Invasive Surgical Procedures --- veterinary. --- Chien. --- Échographie en médecine vétérinaire. --- Chez les animaux. --- Echographie. --- Animaux --- Échographie. --- Dogs
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Dogs --- Lumbar Vertebrae --- Lumbosacral Region. --- Spinal Puncture --- Ultrasonography --- Chien --- Vertèbres lombaires --- Injections péridurales --- Échographie en médecine vétérinaire --- anatomy and histology. --- ultrasonography. --- methods --- veterinary --- Anatomie --- Échographie --- Méthodologie --- Chez les animaux --- methods. --- veterinary. --- Échographie en médecine vétérinaire. --- Anatomie. --- Échographie. --- Méthodologie. --- Chez les animaux. --- Animaux --- Lumbosacral Region --- anatomy & histology --- anatomy & histology.
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Testicule --- Testicule --- Échographie --- Thèses et écrits académiques. --- Maladies chez l'enfant --- Thèses et écrits académiques.
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La pancréatite aiguë est l’affection la plus fréquente du pancréas chez le chien. Elle se définie par une inflammation aiguë du pancréas caractérisée par de l’œdème et de la nécrose avec des lésions généralement réversibles. Les signes cliniques ne sont pas spécifiques de la maladie et se manifestent par des signes gastro-intestinaux d’intensité variable pouvant aller jusqu’au décès de l’animal. Ainsi, le diagnostic de la pancréatite aiguë peut être un réel défi. L’histopathologie est considérée comme le gold standard mais est rarement pratiquée du fait de son invasivité. Par conséquent, l’échographie s’avère être un outil extrêmement utile dans le diagnostic de la pancréatite aiguë, en plus d’être accessible dans la pratique. Ce travail s’attache à analyser les connaissances actuelles à propos de la pancréatite aiguë chez le chien, ainsi que l’utilisation de l’échographie dans le diagnostic et le suivi de cette maladie. En complément, un questionnaire soumis à 179 vétérinaires ainsi que 18 cas cliniques de la clinique vétérinaire de l’Université de Liège ont été analysés afin de cerner la place de l’échographie dans le diagnostic et le suivi de la pancréatite aiguë chez le chien dans la pratique courante. Le questionnaire et le rapport relèvent une certaine hétérogénéité dans l’utilisation de l’échographie dans le contexte diagnostique et une absence de consensus en termes de suivi de la pancréatite aiguë chez le chien.
pancréatite aiguë --- chien --- echographie --- suivi --- diagnostic --- Sciences du vivant > Médecine vétérinaire & santé animale
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La PIF est une maladie systémique causée par une mutation dans le coronavirus entérique félin. Les signes cliniques peuvent être variables avec plusieurs formes de la maladie reportées rendant le diagnostic parfois délicat. Dix-sept cas ont été sélectionnés dans les dossiers de la Clinique Vétérinaire Universitaire de Liège, leur inclusion a été basée sur un diagnostic de certitude de la PIF ou sur une forte suspicion face au signalement, la présentation clinique et les résultats d’examen complémentaire obtenu. Chacun d’entre eux a reçu une échographie abdominale effectuée dans le service d’imagerie de la clinique. La lymphadénomégalie abdominale, l’épanchement péritonéal ou rétro-péritonéal, la rénomégalie, les reins bosselés et une atteinte diffuse ou multifocale du tractus digestif sont tous des éléments fortement cités dans la littérature comme image de la PIF. Ceux-ci ont également été souvent observés dans cette étude confirmant que la présence d’un voire plusieurs de ces éléments peut augmenter le niveau de suspicion de la PIF. Le « medullary rim sign » et une bande d’épanchement sous capsulaire sont également des éléments souvent décrits pour la PIF et ils ont effectivement été observés mais dans très peu de cas. Une majorité des cas a présenté une stéatite, une hépatomégalie subjective et/ou une hypoéchogénicité hépatique qui sont des éléments peu reportés dans la littérature mais qui correspondent avec la pathologie et peuvent également permettre d’affiner le diagnostic s’ils sont combinés avec d’autre images anormales citées ci-dessus. Sur les dix-sept cas repris dans cette étude, seul un n’a pas présenté d’épanchement montrant une nette majorité de la forme humide de la PIF présenté en échographie. Ceci pourrait être dû à un sous-diagnostique de la forme sèche ou d’une préférence pour d’autres examens complémentaire dans le cas de cette présentation clinique.
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L’omphalite, inflammation des structures ombilicales, concerne les artères ombilicales, la veine ombilicale, l’ouraque ou les tissus environnants. Les options thérapeutiques et le pronostic varient selon les structures ombilicales impliquées. Le but de cette étude est de souligner l’importance de l’examen échographique dans la prise en charge des cas d’omphalite chez le veau et de déterminer la prévalence des différents types d’omphalites chez le veau. La période néonatale représente une phase critique pour les nouveaux nés. Les pathologies ombilicales représentent la troisième cause de mortalité chez le veau durant la période de 0 à 6 mois. Le diagnostic des pathologies ombilicales, en plus du diagnostic clinique, repose sur l’utilisation précoce de l’échographie. En effet il constitue l’examen complémentaire le plus sensible. L'échographie permet de visualiser de manière claire les modifications pathologiques et lésionnelles des différents vestiges ombilicaux, d’évaluer leur sévérité et leur extension aux organes adjacents. L’échographie permet donc de poser un diagnostic précis afin de choisir la meilleure option thérapeutique et de juger du pronostic de l’animal. Dans cette étude rétrospective, réalisée à la Clinique Vétérinaire Universitaire de l’Université de Liège, 55 veaux souffrant de problèmes ombilicaux ont été étudiés. L’échographie a permis de prendre en charge de manière efficace les cas d’omphalite. Nous avons pu voir que les omphaloourachites présentent la prévalence la plus importante, par contre les omphalophlébites présentent un taux de mortalité et de complications plus élevé.
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Les chiens brachycéphales étant très répandus, les vétérinaires sont souvent confrontés aux pathologies qui leurs sont associées. Le caractère invasif de l’endoscopie chez ces patients à risque nous pousse à nous interroger sur d’autres méthodes d’évaluation. L’échographie montre alors tout son intérêt. Dans un premier temps, des rappels sur l’anatomie et la mécanique du larynx sont indispensables pour comprendre les pathologies associées ainsi que les images obtenues via les méthodes d’imagerie. Ensuite l’endoscopie laryngée sera développée : des images physiologiques seront comparées à des images pathologiques en mettant l’accent sur les principales pathologies laryngées liées aux brachycéphales. Dans une dernière partie nous détaillerons l’échographie laryngée. Comme à ce jour, aucune étude n’a été faite sur des races brachycéphaliques, nous utiliserons des images provenant de médecine humaine pour faire des liens, des comparaisons. Cela permettra d’entamer une discussion sur l’apparence du larynx que l’on s’attendrait à observer chez des chiens brachycéphales. A la fin, des pistes seront envisagées pour aider ceux qui souhaiteraient réaliser une étude dont l’objectif serait d’obtenir et d’analyser des images de larynx de chiens brachycéphales en échographie.
Larynx --- Chiens --- Brachycéphales --- Echographie --- Endoscopie --- Collapsus laryngé --- Sciences du vivant > Médecine vétérinaire & santé animale
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L’ostéochondrose chez le cheval est une pathologie fréquente faisant partie des anomalies ostéoarticulaires juvéniles. Il s’agit d’une dyschondroplasie qui se développe tôt dans la vie de l’animal et dont l’origine est multifactorielle : alimentation, génétique, activité physique etc. Les chevaux atteints peuvent être asymptomatiques ou présenter des signes cliniques de degré variable. Un dépistage précoce est essentiel car une régression spontanée est possible mais également car un traitement précoce permet un meilleur pronostic. Le dépistage et le diagnostic de lésions est donc capital. Plusieurs études issues de la littérature permettent de comparer deux techniques d’imagerie, à savoir la radiographie et l’échographie. Bien que l’échographie ait une meilleure sensibilité que la radiographie, chacune présente des avantages mais aussi des limites. C’est pourquoi elles se complètent et que de plus en plus de praticiens combinent les deux. Enfin, un plan utile pour le praticien sur la façon de dépister l’ostéochondrose au niveau du grasset et du jarret chez le poulain est proposé.
ostéochondrose --- cheval --- radiographie --- echographie --- diagnostic --- Sciences du vivant > Médecine vétérinaire & santé animale
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