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Droit --- Phenomenologie --- Philosophie
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Feuerbach (ludwig), philosophe allemand, 1804-1872 --- Anthropologie --- Phenomenologie --- Existentialisme
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Phenomenology. --- Phénoménologie --- Heidegger, Martin, --- Husserl, Edmund, --- Criticism and interpretation. --- Influence. --- Phénoménologie
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Perception (Philosophy) --- Phenomenology. --- Perception (Philosophie) --- Phénoménologie --- Phenomenology --- Perception (philosophie) --- Phénoménologie. --- Phénoménologie.
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Les recherches scientifiques tendent à montrer l’efficacité des programmes de pleine conscience. Toutefois, peu de place est laissée dans la littérature scientifique à la question du vécu et de l’expérience des participants vis-à-vis de ces programmes de pleine conscience. C’est de ce constat qu’émerge notre projet de recherche, à savoir l’intérêt pour le vécu et l’expérience subjective, sur un plan qualitatif, de la participation à un programme de pleine conscience. Sachant que la pleine conscience comporte une dimension pleinement phénoménologique, cela nous amène à poser la question suivante : quelle est l’expérience vécue, dans une perspective phénoménologique, de la participation à un programme de pleine conscience ? Pour y répondre, nous nous appuyons sur une méthode d’analyse en recherche qualitative, l’Interpretative Phenomenological Analysis, visant à explorer, au travers d’entretiens semi-directifs, la manière dont les personnes donnent du sens à leurs mondes personnel et social. L’analyse de ces entretiens dévoile que la pratique de la pleine conscience semble être vecteur de changement pour les participants au travers de différents processus psychologiques, et ce dans le sens d’un mieux-être au quotidien. Les résultats de l’analyse sont alors discutés de manière transversale, en établissant des liens avec les concepts d’agency et d’ownership, et en construisant ainsi une réflexion sur base de cette articulation. Nous sommes enfin amenés à interroger l’apport clinique de cette réflexion sur la pleine conscience, ainsi qu’à considérer les pistes visant à poursuivre notre travail, et ouvrir de nouvelles perspectives.
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Introduction. Les psychopathologies sont actuellement définies sur base de symptômes quantitatifs et observables répertoriés au sein de manuels classificatoires tel que le DSM-V. Hélas, les patients ne se sentent pas toujours en accord avec leur diagnostic, créant un fossé entre eux et le corps professionnel. Et si les psychopathologies pouvaient être définies par les patients eux-mêmes ? Nous pouvons ainsi envisager la schizophrénie au travers d’une panoplie d’anomalies de l’expérience de soi et du monde. Objectifs. Les objectifs de cette recherche étaient de faire émerger la structure organisatrice du spectre schizophrénique en adoptant un point de vue phénoménologique. Il était indispensable de rendre la parole aux principaux intéressés, les patients eux-mêmes. Méthodologie. Afin de procéder à l’évaluation des anomalies de l’expérience, nous nous sommes emparé de des outils EASE et EAWE, échelles d’orientation phénoménologique, afin de structurer no entretiens. Résultats. Malgré une importante hétérogénéité, ce travail nous a permis de faire émerger les pôles communs au spectre schizophrénique tels que le trouble de l’ipséité de la pensée, la perturbation de la perspective en première personne ou des difficultés liées à la démarcation entre soi et autrui. Conclusion. Ces échelles se sont montrées capables de dégager une structure sous-jacente à la schizophrénie, basée sur le vécu subjectif des patients. Il nous paraitrait pertinent de tenter d’imbriquer les deux échelles au sein d’une même passation
Psychologie --- phénoménologie --- schizophrénie --- psychiatrie --- EASE --- EAWE --- Sciences sociales & comportementales, psychologie > Psychologie animale, éthologie & psychobiologie
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A travers ce mémoire, nous explorons l’être-au-monde anorexique à l’aune de la question de la liberté, soutenue par le concept d’insoumission. Notre propos s’articule autour d’une mise en tension entre la fin et la faim de liberté dans l’existence anorexique. A cet égard, l’hypothèse qui nous guide est la suivante : la personne anorexique aspire à une existence libre et manifeste cette quête tant au niveau temporel, spatial que corporel. Adoptant une démarche résolument qualitative, alliant phénoménologie, analyse par théorisation ancrée et anthropologie, nous nous sommes rendue dans une clinique spécialisée dans la prise en charge des troubles du comportement alimentaire. Notre immersion de deux semaines au coeur du dispositif hospitalier nous a permis d’aller à la rencontre de la subjectivité des personnes anorexiques hospitalisées. Avec six d’entre elles, des entretiens semi-structurés ont été réalisés. Notre premier chapitre étudie le rythme anorexique sous l’angle physiologique et social de même qu’il en révèle la radicalité. Aussi, il interroge ce rythme au sein du dispositif clinique. D’un point de vue physiologique, la quête de mettre fin au rythme endogène de la faim se veut acharnée comme vaine. Socialement, le rythme vécu par le sujet anorexique s’avère être désaccordé. La dimension radicale, quant à elle, prend sens en regard de l’hyper-rythme anorexique. Aussi, l’analyse du dispositif envisage une désubjectivation. Le second chapitre traite du corps-à-corps. Le corps en tant que pour-soi y est étudié sous l’angle de l’objectification, de l’extériorité, du sentiment d’étrangeté, de l’hyperconscience corporelle et de la perturbation de l’incarnation. Aussi, le corps-à-corps avec autrui y est discuté à partir du corps-pour-autrui sartrien, des messages véhiculés par le corps anorexique, mais aussi du poids des attentes et des émotions. Intercorporéité, intersubjectivité et fondamentalement, interaffectivité y prennent corps. Quant au troisième chapitre, il déploie le concept de territorialisation au sens de Deleuze et Guattari (1980) en appréhendant le sujet anorexique en tant que sujet territorialisant. Par le biais de l’appropriation de son corps à travers la maigreur, ainsi que par ses cachettes de nourriture, il s’agit de voir de quelle manière l’individu anorexique peut « faire territoire ». Notre quatrième et dernier chapitre consiste en une réflexion autour de la singularité du vécu du sujet parmi d’autres individus anorexiques au sein du dispositif clinique. Le « corps-à-corps anorexique », entre enjeux de compétition, violence identitaire et marques de soutien, s’y trouve développé. Pour finir, nous revenons sur la question de la liberté, à laquelle nous répondons à la lumière des réflexions déployées à travers nos différents chapitres.
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A travers ce mémoire, nous explorons le vécu schizophrénique dans son expression la plus primaire, le corps. Notre recherche qualitative s’articulera autour de trois axes de recherche ; Le rapport au corps, à son identité et aux autres. Le schizophrène rencontrant des troubles de l’expérience et du vécu à ces trois niveaux (Englebert et al, 2016), il serait autant plus intéressant de les étudier dans un processus dansé. Ainsi, cette recherche sera traversé de trois grand courant qui est la phénoménologie clinique, la phénoménologie dansé et la psychomotricité. L’objectif de cette étude est de mettre la subjectivité du sujet schizophrène au centre de toute analyse. Afin de pouvoir observer et comprendre ce vécu neuf entretiens semi-directif on était mené auprès de trois usager d’un centre de revalidation psychosocial. Chaque participant aura suivi huit séances de Danse-Thérapie en groupe, de six personne. Les exercices sont pensés pour ne pas être intrusifs pour le sujet (ex : pas de contact physique) et les séances seront animées par une ergothérapeute travaillant au centre. Notre méthodologie repose sur l’utilisation de la Grounded Theory Method afin de structurer le plus finement possible notre approche qualitative. Englebert, J., Jean-Marie, G., Weber, Y.,& Vermeylen, F. (2016). Le corps partagé : approche clinique de la psychose. EME Éditions. Louvain-la-Neuve.Graham-Schmidt, K.,
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Un des problèmes les plus importants dans les institutions psychiatriques est que les patients ont des difficultés à s’investir dans leur projet de soins. Des outils, tel que ELADEB, ont été développé pour aider à réduire ce problème. Cette recherche vise à décrire le vécu et l’expérience des membres de l’équipe interdisciplinaire du Centre Hospitalier Spécialisé CDNA suite à l’utilisation d’ELADEB. Après une formation avec des personnes qualifiées, les membres de l’équipe interdisciplinaire ont utilisé ELADEB pendant un an. Après cette pratique, des entretiens semi-dirigés ont été organisés pour collecter l’expérience des intervenants. Les données collectées ont été analysées par la méthode qualitative de Giorgi. Les paramètres étudiés étaient : le ressenti des intervenants concernant l’impact de l’utilisation de l’outil sur la qualité des soins, l’empowerment des patients, leur alliance thérapeutique avec ceux-ci et les répercussions sur leur collaboration avec les membres de l’équipe interdisciplinaire. A l’issue de l’analyse, les résultats obtenus mettent en évidence qu’à l’heure actuelle les intervenants travaillent davantage en pluridisciplinarité et que ELADEB pourrait représenter un moyen pour amorcer un changement vers l’interdisciplinarité, en vue d’améliorer la qualité des soins.
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Ce mémoire investigue le dispositif de soin particulier de la psychothérapie institutionnelle et du milieu de vie communautaire. L'objectif de notre recherche est de saisir les qualités de l'écologie humaine propre au milieu communautaire institutionnel: comment un tel milieu contribue-t-il au mieux-être de ses résidants ? Notre hypothèse de départ est la suivante: la nature thérapeutique du milieu institutionnel réside dans les conditions de possibilité offertes par l'écologie humaine du collectif qui l'habite. Les résultats de cette recherche sur l'écologie humaine en milieu institutionnel sont ensuite envisagés selon la perspective de la cognition incarnée (ou embodied cognition). Ce paradigme, issu des sciences cognitives (Varela, Gallagher, Fuchs), modélise la structure de l'expérience subjective et propose une vision plus précise de la relation sujet-monde. Cette perspective actuelle, qui postule que cerveau, corps, action et environnement constituent un seul système unifié, s'avère propre à la mise en valeur ainsi qu'à la compréhension des dynamiques d'intervention et des pratiques éthiques de la psychothérapie institutionnelle.
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