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Cervical cancer is the second most usual cancer in the world among young women. The cancer is linked to the HPV virus in 99 percent of cases and this kind of virus is transmitted via sexual intercourse. The pathogenesis acts in different stages which are detectable with regular screening. The most usual methods of screening are summarily described in this report. Two preventive vaccines are currently available: Gardasil (tetravalent) and Cervarix (bivalent) which are administered in 3 injections. These VLP (Virus Like Particles) are morphologically similar to the native virion and are made of L proteins. These VLPs are HPV type specific. These two vaccines need to be administered to women who have never had sexual relations and who are aged between 9 and 26 years old. They show similar secure and efficacy profiles. Nevertheless, Gardasil is efficient against anogenital warts, and Cervarix can avoid more cervical cancer cases. Studies are necessary to evaluate long term efficiency and the most appropriate number of injections. Le cancer du col de l’utérus représente le deuxième cancer dans le monde chez les femmes en termes d’incidence et de prévalence. Il est lié au papillomavirus humain dans plus de 99 pourcents des cas. Ces virus se transmettent lors de contacts sexuels. Le processus de pathogénie évolue en différents stades qui sont détectables par un dépistage fréquent. On dispose actuellement de deux vaccins préventifs : le GARDASIL (tétravalant) et le CERVARIX (bivalent) qui sont administrés en trois injections. Ce sont des VLP ( Virus Like Particles) qui sont morphologiquement similaires au virion natif et sont formés de l’auto assemblage de la protéine L1 formant la capside du virus. Ces VLP sont spécifiques d’un type de HPV donné. Gardasil et Cervarix doivent être administrés chez des jeunes filles de 9 à 26 ans n’ayant encore jamais eu de rapport sexuel afin d’éviter toute transmission de HPV précédant la vaccination. Les deux vaccins présentent des profils d’efficacité et de sécurité similaires. Toutefois Gardasil cible les verrues anogénitales et Cervarix permet d’éviter plus de cancers du col utérin. Des études supplémentaires sont encore nécessaires pour évaluer l’efficacité sur le long terme et la nécessité d’augmenter ou de diminuer le nombre d’injections.
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Uterine Cervical Neoplasms --- Adolescent Health Services --- Female
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Genital Infection with Human Papillomavirus (HPV) is one of the most common sexually transmitted infectious diseases.
About 70% of cervix cancers in the world are caused by HPV types 16 and 18, while HPV types 6 and Il cause about 90% of genital warts.
Since 2007, a bivalent vaccine, Cervarix®, developed to prevent HPV types 16 and 18, and a quadrivalent vaccine, Gardasil®, for HPV 6, 11, 16 and 18 are available on the Belgian market.
Although these vaccines are both made of virus-like particles (VLP) , they differ on many points such as their indications, the additives used, their immunogenicity and the cross protection induced.
Their clinical studies point to the same conclusion : an excellent clinical efficacy on the injuries caused by HPV types 16 and 18, a high level of tolerance and an immunity extended towards other HPV types.
Sespite the broader indication and a promising clinical efficacy of Gardasil®, immunogenicity studies have demonstrated that antibody levels induced by Cervarix® are significantly higher than those of Gardasil® and persist for at least 6,4 years.
However, observation show, that vaccination with Gardasil® causes a gradual decrease in antibody anti-HPV 6, 11 and 18 to finally reach serum levels equivalent to natural infection levels (non protective).
The aim of prophylactic vaccination being to induce specifie types of antibodies to be maintained throughout the period in which women are likely to be contaminated, we can easily understand the importance of local rate and immune memory system.
With an innovative adjuvant in Cervarix®, that allows higher and more constant neutralizing antibody levels, we can only but recommend this as preferred treatment L'infection génitale aux Papillomavirus Humains (HPV) est l'une des maladies infectieuses sexuellement transmissibles les plus fréquentes.
Environ 70% des cancers du col de l'utérus dans le monde sont provoqués par les HPV de types 16 et 18 tandis que les HPV de types 6 et 11 sont responsables d'environ 90% des verrues génitales.
Depuis 2007, le Cervarix®, vaccin bivalent, dirigé contre les types d'HPV 16 et 18 et le Gardasil®, vaccin quadrivalent dirigé contre les HPV de type 6, Il, 16 et 18 sont disponibles sur le marché belge.
Bien que ces vaccins soient tous deux constitués de pseudo-particules virales (VLP), ils diffèrent en de multiples points tels que leurs indications, les adjuvants utilisés, leurs immunogénicités et protections croisées induites.
Leurs études cliniques aboutissent à la même conclusion: une excellente efficacité clinique sur les lésions causées par les HPV de types 16 et 18, une bonne tolérance et une immunité élargie à l'égard d'autres types d'HPV.
Malgré une indication plus large et une efficacité clinique tout aussi prometteuse du Gardasil®, les études d'Immunogénicité ont pu démontrer que les titres d'anticorps induits par le Cervarix® sont nettement supérieurs à ceux du Gardasil® et se maintiennent durant au moins 6,4 ans. Après vaccination du Gardasil®, on observe, par contre, une diminution progressive des titres d'anticorps anti-HPV 6, 11 et 18 jusqu'à atteindre finalement des taux sériques équivalents à ceux d'une infection naturelle (non protectrice).
Le but de la vaccination prophylactique étant d'induire des anticorps spécifiques de types qui seront maintenus pendant toute la durée où les femmes sont susceptibles d'être contaminées, on comprend aisément l'importance du taux local et de la mémoire immunitaire.
Puisque le nouvel adjuvant contenu dans le Cervarix® permet un taux d'anticorps neutralisants plus élevé et plus soutenu dans le temps, nous affichons une préférence pour le Cervarix®.
Papillomavirus Infections --- Papillomavirus Vaccines --- Uterine Cervical Neoplasms
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Introduction :En Belgique en 2014 le cancer du col de l'utérus a été le 12e cancer en fréquence chez les femmes (1.88%) et le 4e cancer gynécologique. Il est responsable de 190 décès par an selon les chiffres reçus de la fondation pour le cancer.90% d'entre eux pourraient être évités grâce à un dépistage régulier. En 2012 en Wallonie, seuls 2.6% des frottis ont été prélevés par les médecins généralistes contre 97.4% par les gynécologues pour un taux de couverture globale de 56 %. Objectif : Les objectifs de ce travail de fin d'études (TFE) sont d'une part de mettre en évidence les facteurs qui entravent le dépistage du cancer du col de l'utérus chez les femmes de 25 à 65 ans dans une pratique de 1ère ligne et d'autre part d'esquisser les solutions envisagées. Méthode :Après avoir effectué une revue de la littérature, j'ai procédé à un sondage auprès d'un échantillon de médecins généralistes dans la province du Hainaut. Résultats : L'étude réalisée a montré que des freins existent tant du côté des médecins que des patientes :-du côté du médecin les freins retrouvés sont : la difficulté à gérer plusieurs motifs de consultation, le manque de temps et de formation, le frein financier (prix du matériel élevé pour une rémunération faible),du côté des patientes les obstacles sont le manque d'information d'une part en ce qui concerne le fait que le médecin traitant puisse réaliser un frottis de col et d'autre part en ce qui concerne l'intérêt du frottis de col, le milieu socio-économique défavorisé qui explique qu'elles ne réalisent pas de dépistage, la pudeur. Les solutions envisagées en médecine générale sont : l'amélioration de la formation des médecins généralistes et de l'information aux patientes, la mise en place d'un dépistage systématique comme c'est déjà le cas en Flandre, enfin l'instauration d'une rémunération à la performance constitue une piste intéressante pour revaloriser cet acte technique.
Uterine Cervical Neoplasms --- General Practice --- Vaginal Smears
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